bidonville
40000 a cote de 300000 ya encore de la marge , Casablanca
300.000 personnes squattent des bidonvilles
Les bidonvilles de la région du grand Casablanca abritent près de 300.000 personnes, ce chiffre représente 8,6 % de la population urbaine de la région.
370 bidonvilles sont recensés dans la région, ils comptent en tout 53.915 logements, soit 7,7 % du parc total des logements urbains de la capitale économique. Ce sont 57.463 ménages et près de 300.000 habitants qui logent ainsi dans des conditions précaires à l’intérieur et aux alentours de la métropole.
Le développement de bidonvilles n’épargne aucune municipalité du grand Casablanca. Une étude du HCP souligne un taux de précarité particulièrement élevé dans certaines municipalités, telles que Ain Harrouda (40,9 %) et Sidi Moumem (33,4 %). Dans ce dernier bidonville habitaient la plupart des jeunes kamikazes qui ont perpétré les attentats suicide du 16 mai 2003 et avril 2007.
L’étude du HCP souligne que les efforts déployés par les pouvoirs publics pour lutter contre ce phénomène, se trouvent confrontés à deux problèmes majeurs :l’épuisement de la réserve foncière de l’Etat et le faible pouvoir d’achat de la population des bidonvilles
40000 a cote de 300000 ya encore de la marge , Casablanca
300.000 personnes squattent des bidonvilles
Les bidonvilles de la région du grand Casablanca abritent près de 300.000 personnes, ce chiffre représente 8,6 % de la population urbaine de la région.
370 bidonvilles sont recensés dans la région, ils comptent en tout 53.915 logements, soit 7,7 % du parc total des logements urbains de la capitale économique. Ce sont 57.463 ménages et près de 300.000 habitants qui logent ainsi dans des conditions précaires à l’intérieur et aux alentours de la métropole.
Le développement de bidonvilles n’épargne aucune municipalité du grand Casablanca. Une étude du HCP souligne un taux de précarité particulièrement élevé dans certaines municipalités, telles que Ain Harrouda (40,9 %) et Sidi Moumem (33,4 %). Dans ce dernier bidonville habitaient la plupart des jeunes kamikazes qui ont perpétré les attentats suicide du 16 mai 2003 et avril 2007.
L’étude du HCP souligne que les efforts déployés par les pouvoirs publics pour lutter contre ce phénomène, se trouvent confrontés à deux problèmes majeurs :l’épuisement de la réserve foncière de l’Etat et le faible pouvoir d’achat de la population des bidonvilles
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