Etabli au lendemain de l’attentat suicide qui a visé, mercredi 2 janvier, le commissariat de police de Naciria (Boumerdès), le nouveau plan destiné à sécuriser la Kabylie vient d’entrer en vigueur, a appris « toutsur*********** » auprès de sources sécuritaires.
De nouveaux renforts militaires arrivent dans la région depuis la semaine dernière. On assiste notamment à une arrivée massive de troupes et de matériel militaire. Des hélicoptères de combat survolent également régulièrement la Kabylie, pour appuyer les troupes au sol.
But du nouveau plan décidé et supervisé par les hauts responsables de la première région militaire : renforcer les unités de l’armée nationale déjà en place et installer de nouveaux points de contrôle et de surveillance afin de limiter les possibilités pour les groupes armés du GSPC de mener de nouvelles actions. Les zones qui abritent des refuges du GSPC seront passées au peigne fin dans les prochains jours.
Parallèlement à ce redéploiement, les maquis de Ain El-Hamam, Draa El Mizan et particulièrement ceux de Boumahni au sud de Tizi-Ouzou, sont soumis à des opérations de ratissage et de surveillance intenses. Ces derniers, selon nos sources, abriteraient un des ateliers les plus importants de fabrication de bombes utilisées dans les attentats suicide.
L’opération des forces militaires dans ces fiefs terroristes est destinée à détruire une des plus importantes base-arrières du GSPC. Même les cellules dormantes des groupes armés sont touchées par l'offensive des services de sécurité. Il y a quelques semaines, un individu qui répercutait les communiqués de revendication sur Internet des attaques terroristes perpétrées par le GSPC a été arrêté dans un quartier populaire à Tizi-Ouzou après un travail d'investigation, qui montre bien que l'on a également renforcé les moyens de lutte anti-terroriste sur le plan technologique.
ameziane athali (TSA)
De nouveaux renforts militaires arrivent dans la région depuis la semaine dernière. On assiste notamment à une arrivée massive de troupes et de matériel militaire. Des hélicoptères de combat survolent également régulièrement la Kabylie, pour appuyer les troupes au sol.
But du nouveau plan décidé et supervisé par les hauts responsables de la première région militaire : renforcer les unités de l’armée nationale déjà en place et installer de nouveaux points de contrôle et de surveillance afin de limiter les possibilités pour les groupes armés du GSPC de mener de nouvelles actions. Les zones qui abritent des refuges du GSPC seront passées au peigne fin dans les prochains jours.
Parallèlement à ce redéploiement, les maquis de Ain El-Hamam, Draa El Mizan et particulièrement ceux de Boumahni au sud de Tizi-Ouzou, sont soumis à des opérations de ratissage et de surveillance intenses. Ces derniers, selon nos sources, abriteraient un des ateliers les plus importants de fabrication de bombes utilisées dans les attentats suicide.
L’opération des forces militaires dans ces fiefs terroristes est destinée à détruire une des plus importantes base-arrières du GSPC. Même les cellules dormantes des groupes armés sont touchées par l'offensive des services de sécurité. Il y a quelques semaines, un individu qui répercutait les communiqués de revendication sur Internet des attaques terroristes perpétrées par le GSPC a été arrêté dans un quartier populaire à Tizi-Ouzou après un travail d'investigation, qui montre bien que l'on a également renforcé les moyens de lutte anti-terroriste sur le plan technologique.
ameziane athali (TSA)
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