Les difficultés que tu cites dans ta première partie ne sont pas spécifiques au seul chercheur algérien mais je crois que c'est le cas pour une majorité de chercheurs de la planète. Toutefois contrairement aux autres ta deuxième partie introduit un début de solution. Oui il faut une contractualisation des échanges et si possible en retenant la seule solution viable, la relation client fournisseur et au niveau labo pas au niveau de l'administration.
L'administration universitaire est gangrénée par la corruption comme ses consoeurs autant dire que l'approbation d'un déplacement revient à demander un logement social et donc impliquant l'intervention du K'tef.
En gros il faut être copain avec le doyen qui lui même doit être copain avec le recteur et ainsi de suite. C'est la chaine pyramidale du véritable système clientéliste en vigueur dans le pays.
Casser ce genre de relation néfaste n'est pas facile je le conçois, mais il est encore plus décevant de découvrir que peu de revendications aillent dans le sens de l'indépendance des laboratoires notamment en ce qui concerne la contractualisation directe avec els entreprises désirant bénéficier des prestations de R&D au sein des laboratoires spécialisés.
Pour moi c'est la meilleure forme qui permettra d'organiser la recherche et la rendre totalement autonome. Les mecanismes permettront aux chercheurs de s'affranchir de la mendicité dont ils usent à chaque participation aux rencontres internationales. J'irai plus loin, un tel dispositif pourra leur ouvrir des marchés inespérés pour les entreprises algériennes qui n'exportent encore rien.
L'administration universitaire est gangrénée par la corruption comme ses consoeurs autant dire que l'approbation d'un déplacement revient à demander un logement social et donc impliquant l'intervention du K'tef.
En gros il faut être copain avec le doyen qui lui même doit être copain avec le recteur et ainsi de suite. C'est la chaine pyramidale du véritable système clientéliste en vigueur dans le pays.
Casser ce genre de relation néfaste n'est pas facile je le conçois, mais il est encore plus décevant de découvrir que peu de revendications aillent dans le sens de l'indépendance des laboratoires notamment en ce qui concerne la contractualisation directe avec els entreprises désirant bénéficier des prestations de R&D au sein des laboratoires spécialisés.
Pour moi c'est la meilleure forme qui permettra d'organiser la recherche et la rendre totalement autonome. Les mecanismes permettront aux chercheurs de s'affranchir de la mendicité dont ils usent à chaque participation aux rencontres internationales. J'irai plus loin, un tel dispositif pourra leur ouvrir des marchés inespérés pour les entreprises algériennes qui n'exportent encore rien.
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