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33 candidats kamikazes, dont une femme, recherchés
La crainte de voir d’autres attentats suicide se produire dans la capitale et ailleurs est omniprésente.
Le déploiement fort important des éléments de la sûreté nationale dans les rues d’Alger renseigne on ne peut mieux sur le degré de ce risque qui est à prendre très au sérieux. La vigilance est à son comble et les services de la police comptent s’appuyer sur la coopération des citoyens afin de parer à un éventuel attentat terroriste. Une affiche comportant 33 noms et portraits de candidats aux actes suicidaires est placardée au niveau de la DGSN ainsi que dans tous les commissariats de police. « En cas d’identification de l’une de ces personnes, contactez le premier poste de sécurité », telle est la mention apposée sur l’affiche et accompagnant les portraits des candidats kamikazes. Nom, adresse, filiation, surnom et date et lieu de naissance accompagnent chaque photo de ces prétendants aux attentats suicide. Ces derniers sont donc au nombre de 33 et leur âge oscille entre 24 et 42 ans. Majoritairement originaires d’Alger, les candidats kamikazes vivaient dans des quartiers comme Hussein Dey, Bourouba, Kouba, Aïn Naâdja et Bab El Oued, ou en dehors de la capitale, à Boumerdès et même à Djelfa. La liste en question comporte aussi le nom et la photo d’une femme, K. Affaf, surnommée Hanane, âgée de 26 ans et habitant la cité Aïn Naâdja à Alger. Avec son visage d’ange et ses cheveux bruns lâchés, rien ne semble prédestiner cette jeune femme à faire partie d’une telle liste. Pourtant, elle y occupe bel et bien sa place, en prouvant ainsi que la terreur n’a pas de visage, ni de sexe, ni de couleur. La vulnérabilité aux discours extrémistes a eu malheureusement à se traduire, et en de nombreuses reprises, à travers les auteurs des derniers attentats kamikazes qui ont prouvé qu’il n’y a pas d’âge pour céder à la violence. Et encore une fois, la liste placardée au niveau des structures de police et mise à la connaissance des citoyens, renseigne sur le fait que la voie de la terreur ratisse large. Le plus jeune candidat de la liste est d’ailleurs âgé de 24 ans et habite Hussein Dey, alors que le plus âgé est originaire de la cité Diar El Khaloua et est né en 1965. Toutes les années de naissance de 1965 à 1984 sont pratiquement consignées sur l’affiche des candidats kamikazes qui semble avoir été conçue après moult recherches au niveau du renseignement. Outre cette affiche, une autre liste est placardée au niveau de la DGSN, celle d’une cinquantaine de terroristes recherchés.
N. B.
source: www.elwatan.com
Le déploiement fort important des éléments de la sûreté nationale dans les rues d’Alger renseigne on ne peut mieux sur le degré de ce risque qui est à prendre très au sérieux. La vigilance est à son comble et les services de la police comptent s’appuyer sur la coopération des citoyens afin de parer à un éventuel attentat terroriste. Une affiche comportant 33 noms et portraits de candidats aux actes suicidaires est placardée au niveau de la DGSN ainsi que dans tous les commissariats de police. « En cas d’identification de l’une de ces personnes, contactez le premier poste de sécurité », telle est la mention apposée sur l’affiche et accompagnant les portraits des candidats kamikazes. Nom, adresse, filiation, surnom et date et lieu de naissance accompagnent chaque photo de ces prétendants aux attentats suicide. Ces derniers sont donc au nombre de 33 et leur âge oscille entre 24 et 42 ans. Majoritairement originaires d’Alger, les candidats kamikazes vivaient dans des quartiers comme Hussein Dey, Bourouba, Kouba, Aïn Naâdja et Bab El Oued, ou en dehors de la capitale, à Boumerdès et même à Djelfa. La liste en question comporte aussi le nom et la photo d’une femme, K. Affaf, surnommée Hanane, âgée de 26 ans et habitant la cité Aïn Naâdja à Alger. Avec son visage d’ange et ses cheveux bruns lâchés, rien ne semble prédestiner cette jeune femme à faire partie d’une telle liste. Pourtant, elle y occupe bel et bien sa place, en prouvant ainsi que la terreur n’a pas de visage, ni de sexe, ni de couleur. La vulnérabilité aux discours extrémistes a eu malheureusement à se traduire, et en de nombreuses reprises, à travers les auteurs des derniers attentats kamikazes qui ont prouvé qu’il n’y a pas d’âge pour céder à la violence. Et encore une fois, la liste placardée au niveau des structures de police et mise à la connaissance des citoyens, renseigne sur le fait que la voie de la terreur ratisse large. Le plus jeune candidat de la liste est d’ailleurs âgé de 24 ans et habite Hussein Dey, alors que le plus âgé est originaire de la cité Diar El Khaloua et est né en 1965. Toutes les années de naissance de 1965 à 1984 sont pratiquement consignées sur l’affiche des candidats kamikazes qui semble avoir été conçue après moult recherches au niveau du renseignement. Outre cette affiche, une autre liste est placardée au niveau de la DGSN, celle d’une cinquantaine de terroristes recherchés.
N. B.
source: www.elwatan.com
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