Pour lutter contre le phénomène de la pollution marine par les hydrocarbures, un accord sous-régional entre l’Algérie, le Maroc et la Tunisie a été signé hier au centre business de l’hôtel Hilton.
Cet accord porte sur la lutte contre la pollution marine accidentelle dans la zone du sud-ouest de la Méditerranée. Les représentants du gouvernement des trois pays, à savoir Cherif Rahmani, ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement et président du comité Telbahar national, Nadir Hamada, ministre tunisien de l’Environnement et du Développement durable et Mohamed Meriane, ambassadeur du Maroc en Algérie, ont ainsi procédé à la signature de cet accord, dont l’objectif est «l’instauration, à travers un plan d’urgence commun, de mécanismes de coopération et d’assistance mutuelle en matière de prévention et de lutte contre les déversements massifs d’hydrocarbures qui pourraient affecter des zones situées dans les eaux territoriales des trois pays ou sur les littoraux».
Par ailleurs, interpellé sur les rapports tendus entre l’Algérie et le Maroc, l’ambassadeur marocain «se refusera» à tout commentaire en affirmant : «Nous sommes là pour des questions environnementales. Pour le moment, nous voulons prévenir les accidents […] maritimes.»
Cet accord porte sur la lutte contre la pollution marine accidentelle dans la zone du sud-ouest de la Méditerranée. Les représentants du gouvernement des trois pays, à savoir Cherif Rahmani, ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement et président du comité Telbahar national, Nadir Hamada, ministre tunisien de l’Environnement et du Développement durable et Mohamed Meriane, ambassadeur du Maroc en Algérie, ont ainsi procédé à la signature de cet accord, dont l’objectif est «l’instauration, à travers un plan d’urgence commun, de mécanismes de coopération et d’assistance mutuelle en matière de prévention et de lutte contre les déversements massifs d’hydrocarbures qui pourraient affecter des zones situées dans les eaux territoriales des trois pays ou sur les littoraux».
Par ailleurs, interpellé sur les rapports tendus entre l’Algérie et le Maroc, l’ambassadeur marocain «se refusera» à tout commentaire en affirmant : «Nous sommes là pour des questions environnementales. Pour le moment, nous voulons prévenir les accidents […] maritimes.»
La pollution maritime est très importante en raison de la densité du trafic, 30% du volume commercial maritime international transite par le bassin méditerranéen. Cet accord était nécéssaire dans l'interet commun des trois pays .
A l'heure où la tension maroc algérie s'amplifie, cet accord est une note d'optimisme.
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