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algerie dernier rapport de la coface

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  • #16
    Zwina

    Expliques nous d'où tu as tiré le taux spécifique de 13% applicable à l'algerie ? et en quoi c'est spécifique ?

    la politique assurance crédit de la coface pour 2008 n'en fait nulle part allusion http://www.coface.fr/dmt/_docs/PAC2008.pdf
    Dernière modification par jawzia, 25 février 2008, 15h29.

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    • #17
      Jawzia

      Tu fais comme moi tu cherches
      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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      • #18
        A Zwina,

        On ne peut pas nier que l'image de l'Algérie s'est amélioré, et c'est la note pays qui prime, pour preuve la Chine qui a une tres bonne note pays (A3), est classé comme l'Algérie pour le climat des affaires, on ne peut pas dire que la Chine rebute les investisseurs et qu'elle est moins attractive que le maroc ou la tunisie :

        B
        ENVIRONNEMENT
        DES AFFAIRESnotes pays
        @ratingAlgérieBA4ArménieBCArabie SaouditeBA4ArgentineBCCap VertBBChineBA3ColombieBA4EgypteBBEl SalvadorBBJamaïqueBCKazakhstanBBLibanBCPérouBBPhilippinesBBRép DominicaineBBRussieBBSénégalBBSri LankaBB

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        • #19
          Tu fais comme moi tu cherches
          On cherches d'abord, on trouve ensuite et on finit alors par affirmer.

          Toi c'est plutot le tiercé dans le désordre. Tu affirmes puis tu cherches ce qui peut (éventuellement) corroborer. Pas sérieux Zwina.

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          • #20
            algerie

            comment zwina l article poste ai faux je ten reposte un autre faux aussi surement ,
            BE-PARTNERS.VA.Club

            Bienvenue au Club des Entrepreneurs “France-Algérie”
            Colloque international sur le «Risque pays»

            23 01 2008 [IMG]http://slimfari.**********/files/2008/01/coface.jpg[/IMG]La Coface satisfaite de la performance de l'économie algérienne
            23 Janvier 2008
            L'assureur crédit français à l'exportation, Coface, a estimé hier, lors de son colloque international «Risque-pays», que «les entreprises bénéficient en Algérie d'un contexte économique très porteur» et que «les perspectives de croissance en 2008 sont favorables» a rapporté l'APS. «Hors pétrole, l'activité a enregistré en 2007 une croissance vigoureuse estimée à 6%» en Algérie où «elle a été soutenue par la poursuite des investissements publics prévus dans le cadre du Plan de consolidation de la croissance économique et par la bonne tenue de la consommation des ménages, encouragée par les augmentations de salaires de la fonction publique», écrit
            la Coface dans son guide d'évaluation de la situation macroéconomique du pays. L'assureur français, qui évalue la situation de 45 millions d'entreprises dans le monde, a ajouté qu'en Algérie «les secteurs de la construction, de l'automobile, de la pharmacie et de l'agroalimentaire ont réalisé de bonnes performances».

            La Coface a fait valoir à ses clients que «les perspectives de croissance en 2008 sont favorables en Algérie et l'économie devrait voir une accélération de son taux de croissance estimé à 5,2%». L'assureur prévoit «une augmentation des capacités de production de gaz qui favorisera la reprise du secteur pétrolier» et que, «hors pétrole, l'activité restera portée par la demande intérieure [investissements publics et consommation des ménages]». «Une politique monétaire prudente devrait cependant contenir l'inflation autour de 4%», a poursuivi
            la Coface, soulignant que l'Algérie «jouit d'une situation financière sans précédent». Elle a précisé qu'avec «un endettement extérieur extrêmement réduit et un niveau très confortable de réserves en devises, l'Algérie est à l'abri d'une crise de liquidités». L'assureur français a aussi noté, parmi ce qu'il a considéré comme «les points forts» de l'économie algérienne, que «le Fonds de régulation des recettes pétrolières destiné à faire face à une situation de retournement de conjoncture, contribue également à financer le Plan de consolidation de la croissance» et que «l'Etat a mené à bien sa politique de désendettement».
            La Coface a placé le PNB par habitant, et l'indice de développement humain, entre autres indicateurs de conjoncture, bien au-dessus de la moyenne des pays émergents. A l'échelle micro-économique, «les entreprises bénéficient d'un contexte économique très porteur», a assuré la même source, souhaitant toutefois une accélération des «réformes structurelles dont elles pourraient bénéficier et notamment celles du secteur bancaire». A la lumière de ces paramètres,
            la Coface, filiale de Natexis Banques Populaires et du Groupe Banque Populaire, qui évalue le risque dans 155 pays, a maintenu hier la notation de l'Algérie en A4. La notation à court terme «a.rating» Coface, est établie à l'aide d'une batterie d'indicateurs regroupés en 7 familles de risques, de A gradué à B, dont chacune fait l'objet d'une note individuelle sur, notamment, la stabilité politique, la vulnérabilité de la conjoncture, le risque de crise de liquidités en devises et le comportement de paiement des entreprises. L'appréciation Coface s'exprime par ailleurs pour les «grands contrats», de plus long terme.
            La nouveauté dans les notations de Coface est que cette année l'environnement des affaires a été pris en compte parmi les paramètres d'évaluation. Près de 600 experts internationaux, des argentiers et des industriels, participaient hier à l'édition 2008 du colloque «Risque-pays» de
            la Coface

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            • #21
              algerie

              zwina au lieu de balancee n importe quoi sur la coface rend toi ici et lit , http://www.trading-safely.com/sitecwp/cefr.nsf cai le site officiel de la coface tu as chaque fonction chaque pays merci

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              • #22
                algerie

                moi je me rejouis de cette avancee tres prometeuse pour l algerie

                Commentaire


                • #23
                  Merci Langar

                  Lis au moins ce que tu postes :

                  Hors pétrole, l'activité a enregistré en 2007 une croissance vigoureuse estimée à 6%. Elle a été soutenue par la poursuite des investissements publics prévus dans le cadre du Plan de Consolidation de la Croissance et par la bonne tenue de la consommation des ménages, encouragée par les augmentations de salaires de la fonction publique. Les secteurs de la construction, de l'automobile, de la pharmacie et de l'agro alimentaire ont réalisé de bonnes performances. Toutefois le ralentissement de la production de pétrole, en relation avec l'évolution de la demande extérieure, a pesé sur la croissance globale de l'économie qui est estimée à 4,8%. Les perspectives de croissance en 2008 sont favorables et l'économie devrait voir une accélération de son taux de croissance estimé à 5,2%. L'augmentation prévue des capacités de production de gaz favorisera la reprise du secteur pétrolier. Hors pétrole, l'activité restera portée par la demande intérieure (investissements publics et consommation des ménages). Expansionnisme budgétaire, hausse des salaires et renchérissement des prix des produits importés résultant de la dépréciation du dinar face à l'Euro, devraient continuer de nourrir des tensions sur les prix. Une politique monétaire prudente devrait cependant contenir l'inflation autour de 4%.
                  Le pays jouit d'une situation financière sans précédent. Avec un endettement extérieur extrêmement réduit et un niveau très confortable de réserves en devises, il est à l'abri d'une crise de liquidité. Dans une perspective de prix élevés du pétrole, les comptes extérieurs et publics devraient continuer d'afficher de larges excédents. Les entreprises bénéficient d'un contexte économique très porteur mais les réformes structurelles dont elles pourraient bénéficier et notamment celles du secteur bancaire, progressent lentement, comme en témoignent les délais dans l'avancée des privatisations. L'environnement des affaires est parfois lacunaire (faible transparence des entreprises et bureaucratie) et peut être à l'origine de retards de paiements et de difficultés de recouvrement des créances.
                  NOTE : A4


                  Les perspectives politiques et économiques peuvent être marquées par quelques fragilités. Une relative volatilité de l'environnement des affaires est susceptible d'affecter les comportements de paiement, la probabilité moyenne que cela conduise à un défaut de paiement restant acceptable.
                  POINTS FORTS


                  Le pays dispose de richesses naturelles importantes (pétrole, gaz) et l'Europe lui assure un immense marché.
                  Le Fonds de Régulation des Recettes Pétrolières destiné à faire face à une situation de retournement de conjoncture, contribue à financer le Plan de Consolidation de la Croissance.
                  L'Etat a mené à bien sa politique de désendettement.
                  Le pays est engagé dans un processus de réformes et de libéralisation de son économie.
                  POINTS FAIBLES

                  [QUOTE]L'économie est très dépendante des revenus pétroliers.
                  Les entreprises publiques non rentables, dont les effectifs sont pléthoriques, continuent de peser sur les finances publiques.
                  Le taux élevé du chômage des jeunes, bien qu'en diminution, est un facteur de tensions sociales et freine la poursuite de certaines réformes.
                  Le déficit en infrastructures et les carences du système bancaire, malgré les réformes en cours, pénalisent l'environnement des affaires.[/QUOTE]

                  Et voilà pour le Maroc :
                  NOTE : A4
                  Pays sous surveillance avec implication positive depuis Octobre 2006

                  Les perspectives politiques et économiques peuvent être marquées par quelques fragilités. Une relative volatilité de l'environnement des affaires est susceptible d'affecter les comportements de paiement, la probabilité moyenne que cela conduise à un défaut de paiement restant acceptable.
                  Exactement la même note que l'Algérie.

                  APPRECIATION DU RISQUE

                  En 2007, la croissance a fortement ralenti suite à une mauvaise campagne agricole. Sous réserve de conditions climatiques plus favorables, la croissance devrait rebondir à près de 6% en 2008, portée par la reprise de la consommation de la population rurale ainsi que par les exportations de textiles et les investissements dans les infrastructures de transport et de tourisme. L'inflation devrait demeurer en 2008 inférieure à 2,5%, contenue par la politique monétaire restrictive de la banque centrale. Cette perspective favorable se reflète dans l'indice Coface des incidents de paiement, qui reste proche de la moyenne mondiale.

                  Cette conjoncture positive devrait faciliter un nouveau redressement des finances publiques, sans remettre en cause les ambitieux programmes d'investissements (transport, logements, santé, éducation). Par contre, le solde commercial, grevé par les coûts de l'énergie et des importations de biens d'équipement, pourrait se creuser davantage, si la zone euro devait être moins dynamique que prévu. Pour autant, les recettes du tourisme et les remises des expatriés devraient permettre de maintenir un compte courant excédentaire, réduisant davantage le poids de la dette extérieure. En outre, la modicité du besoin de financement et le niveau très confortable des réserves de devises limitent l'exposition au risque de change.

                  Les élections législatives de septembre 2007, marquées par une faible participation, ont vu, contre toute attente, un parti de la coalition gouvernementale, l'Istiqlal, conforter sa position à la Chambre face au Parti de la Justice et du Développement (islamistes modérés), donné gagnant en raison de sa campagne axée sur la lutte contre la pauvreté et le chômage. La position du roi Mohammed VI en est ainsi sortie confortée. Dans ce contexte, les réformes visant la diversification du tissu économique et l'amélioration de l'environnement des affaires devraient se poursuivre, et la stabilité socio-politique ne devrait pas être remise en cause par le risque terroriste.
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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