Le ministre des Affaires religieuses, Bouabdellah Ghlamallah, a assuré que le gouvernement n’exerce pas de pressions sur les autres religions, assurant qu’il s’agit du respect de la loi, et il a précisé que les autorités veillent à l’application de la loi sur l’organisation des cultes religieux pour les non-musulmans.
Le ministre a dénoncé la campagne menée par des parties étrangères et mêmes certaines à l’intérieur du pays, contre l’Algérie, sous prétexte de restrictions contre les autres religions.
Ghlamallah a ajouté dans une déclaration à El Khabar qu’il n’y pas d’ambiguïté en ce qui concerne l’affaire des deux églises fermées à Tizi Ouzou, même si certains tentent d’exagérer les faits et de les falsifier. Il a également indiqué que l’Algérie a édicté une loi en 2006, qui régit l’exercice des cultes religieux pour les non-musulmans, et cette loi doit être appliquée et respectée.
Le ministre a révélé, dans le même contexte, que les autorités ont recouru, récemment, à la fermeture de 17 salles de prière, car elles ont été ouvertes illégalement, « est-ce que cela veut dire que le gouvernement algérien exerce des pressions sur les musulmans ou combat l’islam ? ».
Le ministre des Affaires religieuses a réaffirmé que l’autorisation est nécessaire afin d’ouvrir n’importe quel lieu de culte, qu’il soit destiné aux chrétiens ou aux musulmans.
El Khabar
Le ministre a dénoncé la campagne menée par des parties étrangères et mêmes certaines à l’intérieur du pays, contre l’Algérie, sous prétexte de restrictions contre les autres religions.
Ghlamallah a ajouté dans une déclaration à El Khabar qu’il n’y pas d’ambiguïté en ce qui concerne l’affaire des deux églises fermées à Tizi Ouzou, même si certains tentent d’exagérer les faits et de les falsifier. Il a également indiqué que l’Algérie a édicté une loi en 2006, qui régit l’exercice des cultes religieux pour les non-musulmans, et cette loi doit être appliquée et respectée.
Le ministre a révélé, dans le même contexte, que les autorités ont recouru, récemment, à la fermeture de 17 salles de prière, car elles ont été ouvertes illégalement, « est-ce que cela veut dire que le gouvernement algérien exerce des pressions sur les musulmans ou combat l’islam ? ».
Le ministre des Affaires religieuses a réaffirmé que l’autorisation est nécessaire afin d’ouvrir n’importe quel lieu de culte, qu’il soit destiné aux chrétiens ou aux musulmans.
El Khabar
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