L’ex émir craint d’être liquidé par Al Qaida
L’armée met Belmokhtar en sécurité
En attendant la fin des négociations entre le commandant de la troisième région militaire, Bechar, et l’ex émir de la 9ème région du GSPC, l’armée a placé Belmokhtar et ses compagnons dans un endroit isolé, proche des frontières avec la Mauritanie.
Selon des sources au fait du sujet, « donner à Belmokhtar ce privilège a été motivé par la situation sécuritaire, pour le moins préoccupante, dans la région du Kidal et le nord du Mali ». Cela est également expliqué par la crainte de voir les affrontements entre les rebelles touaregs et le Gouvernement malien avoir un impact sur les négociations actuellement en cours entre des officiers algériens qui ont contacté de manière directe, cette fois, Belmokhtar dans ses fiefs du nord du Mali.
La décision de fournir à ces « repentis » un endroit sûr survient après leurs craintes de se voir abattus ou liquidés par le nouvel émir du Sahara, Yahia Djouadi, plus connu sous le nom de « Yahia Abou Amar », ou par les réseaux de contrebandiers avec qui Belmokhtar était en affaire, avant d’arrêter ses activités avec eux au début des négociations avec les appareils sécuritaires.
L’armée met Belmokhtar en sécurité
En attendant la fin des négociations entre le commandant de la troisième région militaire, Bechar, et l’ex émir de la 9ème région du GSPC, l’armée a placé Belmokhtar et ses compagnons dans un endroit isolé, proche des frontières avec la Mauritanie.
Selon des sources au fait du sujet, « donner à Belmokhtar ce privilège a été motivé par la situation sécuritaire, pour le moins préoccupante, dans la région du Kidal et le nord du Mali ». Cela est également expliqué par la crainte de voir les affrontements entre les rebelles touaregs et le Gouvernement malien avoir un impact sur les négociations actuellement en cours entre des officiers algériens qui ont contacté de manière directe, cette fois, Belmokhtar dans ses fiefs du nord du Mali.
La décision de fournir à ces « repentis » un endroit sûr survient après leurs craintes de se voir abattus ou liquidés par le nouvel émir du Sahara, Yahia Djouadi, plus connu sous le nom de « Yahia Abou Amar », ou par les réseaux de contrebandiers avec qui Belmokhtar était en affaire, avant d’arrêter ses activités avec eux au début des négociations avec les appareils sécuritaires.
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