Aujourd'hui ce'atit l'oral de l'Algérie à Geneve.
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Aps 14/4/08] GENEVE (Suisse)- Une cinquantaine de pays ont salué lundi à Genève les "grandes avancées" de l’Algérie en matière de droits de l’Homme, à l’occasion de la première session de l’examen périodique universel (EPU) de l’ONU. A l’occasion de cet examen, qui concerne 16 pays pour sa première session au Conseil des droits de l’Homme des Nations unies, une cinquante de pays ont été invités à s’exprimer sur la situation en Algérie présentée par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci.
La protection de l’enfance, la lutte contre les violences faites aux femmes, la lutte contre la pauvreté, notamment par la création d’emplois, la gestion du terrorisme, la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, la liberté d’expression, la société civile, sont autant de dossiers soumis au débat d’une assemblée d’une cinquantaine de pays et de diverses organisations internationales.
"Les droits de l’Homme sont au coeur de la renaissance algérienne", ont souligné nombre de pays invités à cet examen, soulignant "une volonté politique réelle" pour que "l’Algérie soit aux normes des standards internationaux".
De nombreux pays africains, ainsi que la Suède, les Pays-Bas, l’Allemagne, le Canada, la Russie, le Bélarus, la Lettonie, entre autres pays occidentaux, ont estimé que la situation des droits de l’Homme en Algérie a réalisé de "grandes avancées" soutenues par "une démocratisation indiscutable de la vie politique, économique et sociale".
L’Algérie "a fait une présentation de la situation d’une manière franche et ouverte", a estimé le représentant canadien, relayé par son homologue brésilien qui a noté que "de grands progrès ont été faits, avec des résultats concrets, couronnés de succès " et montrant la capacité de l’Algérie "à relever les grands défis qui se posent".
Le représentant suédois a exprimé sa "grande satisfaction" du rapport présenté par M. Medelci, un rapport jugé "exhaustif" par de nombreux représentants dont celui des Pays-Bas qui a félicité l’Algérie "pour ses efforts", ou encore ceux de Côte d’Ivoire et de Malaisie, qui se sont dits "impressionnés" par les réalisations algériennes, en matière de droits de l’Homme et, d’une manière plus globale, de "la stabilité politique nécessaire à l’instauration d’une société prospère".
Alors que le représentant de Madagascar a rendu hommage aux succès de l’Algérie en matière de démocratisation de l’éducation et de la santé, celui d’Afrique du Sud, comme celui de Jordanie, ont rappelé que "la volonté algérienne est réelle mais pas surprenante" car, ont-ils souligné, "ce pays a une longue tradition de respect des droits de l’Homme remontant à sa guerre de libération nationale".
Djibouti, la Palestine, la Slovénie, le Congo, le Liban, le Pakistan, l’Iran, le Mexique, la Mauritanie, la Corée, l’Irak, le Cameroun, le Nigeria, l’Indonésie, et bien d’autres pays, ont tour à tour exprimé leur "satisfaction" de la situation des droits de l’Homme en Algérie, soulignant, en outre, ses "prouesses" économiques et sociales, ainsi que la "portée stratégique de la réconciliation nationale" vue comme "une condition fondamentale" à "la renaissance de l’Algérie".
Interrogé par l’APS sur ces réactions de la communauté internationale, M. Medelci a souligné que "ce qui est important, c’est que n’avons pas cherché à rendre l’image de l’Algérie plus belle qu’elle ne l’est déjà". "Nous n’avons pas caché les problèmes (et) avons dit que l’effort le plus important reposait sur les épaules de l’Algérie", a-t-il ajouté.
"Depuis longtemps, l’Algérie a pris en charge ses problèmes", dont certains ne lui sont pas endogènes, "pour faire de la société algérienne une société moderne, basée sur les valeurs de l’islam et du 1er-Novembre 1954", a-t-il poursuivi, estimant que le pays a cumulé ses propres expériences pour "pouvoir aller aujourd’hui affronter la mondialisation".
"Les questions qui se posent à nous ne sont pas toutes différentes de celles qui se posent à l’ensemble des pays, y compris les pays développés" qui connaissent différentes formes de violence, a noté le ministre, soulignant que l’EPU "indique bien qu’isoler les droits de l’Homme de leurs contextes sociaux, économiques, culturels, y compris sécuritaires, serait un exercice vain".
Pour le ministre, "il faut faire avancer les choses de manière synchrone et l’Algérie est en train de réduire les écarts internationaux" en la matière. Par exemple, a-t-il expliqué, "tous les pays ont reconnu que l’Algérie n’aura pas de problème à tenir ses engagements vis-à-vis des Objectifs du millénaire pour le développement" (OMD-ONU) qui visent à réduire la pauvreté dans le monde d’ici à 2015". "Notre ambition va plus loin, vers un référentiel de développement humain pour nous donner plus de visibilité, plus de transparence à notre système de gouvernance, et ceci va travailler dans le sens des droits de l’Homme et dans le sens de la pratique effective et des libertés qui sont déjà une réalité", a-t-il conclu.
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Aps 14/4/08] GENEVE (Suisse)- Une cinquantaine de pays ont salué lundi à Genève les "grandes avancées" de l’Algérie en matière de droits de l’Homme, à l’occasion de la première session de l’examen périodique universel (EPU) de l’ONU. A l’occasion de cet examen, qui concerne 16 pays pour sa première session au Conseil des droits de l’Homme des Nations unies, une cinquante de pays ont été invités à s’exprimer sur la situation en Algérie présentée par le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci.
La protection de l’enfance, la lutte contre les violences faites aux femmes, la lutte contre la pauvreté, notamment par la création d’emplois, la gestion du terrorisme, la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, la liberté d’expression, la société civile, sont autant de dossiers soumis au débat d’une assemblée d’une cinquantaine de pays et de diverses organisations internationales.
"Les droits de l’Homme sont au coeur de la renaissance algérienne", ont souligné nombre de pays invités à cet examen, soulignant "une volonté politique réelle" pour que "l’Algérie soit aux normes des standards internationaux".
De nombreux pays africains, ainsi que la Suède, les Pays-Bas, l’Allemagne, le Canada, la Russie, le Bélarus, la Lettonie, entre autres pays occidentaux, ont estimé que la situation des droits de l’Homme en Algérie a réalisé de "grandes avancées" soutenues par "une démocratisation indiscutable de la vie politique, économique et sociale".
L’Algérie "a fait une présentation de la situation d’une manière franche et ouverte", a estimé le représentant canadien, relayé par son homologue brésilien qui a noté que "de grands progrès ont été faits, avec des résultats concrets, couronnés de succès " et montrant la capacité de l’Algérie "à relever les grands défis qui se posent".
Le représentant suédois a exprimé sa "grande satisfaction" du rapport présenté par M. Medelci, un rapport jugé "exhaustif" par de nombreux représentants dont celui des Pays-Bas qui a félicité l’Algérie "pour ses efforts", ou encore ceux de Côte d’Ivoire et de Malaisie, qui se sont dits "impressionnés" par les réalisations algériennes, en matière de droits de l’Homme et, d’une manière plus globale, de "la stabilité politique nécessaire à l’instauration d’une société prospère".
Alors que le représentant de Madagascar a rendu hommage aux succès de l’Algérie en matière de démocratisation de l’éducation et de la santé, celui d’Afrique du Sud, comme celui de Jordanie, ont rappelé que "la volonté algérienne est réelle mais pas surprenante" car, ont-ils souligné, "ce pays a une longue tradition de respect des droits de l’Homme remontant à sa guerre de libération nationale".
Djibouti, la Palestine, la Slovénie, le Congo, le Liban, le Pakistan, l’Iran, le Mexique, la Mauritanie, la Corée, l’Irak, le Cameroun, le Nigeria, l’Indonésie, et bien d’autres pays, ont tour à tour exprimé leur "satisfaction" de la situation des droits de l’Homme en Algérie, soulignant, en outre, ses "prouesses" économiques et sociales, ainsi que la "portée stratégique de la réconciliation nationale" vue comme "une condition fondamentale" à "la renaissance de l’Algérie".
Interrogé par l’APS sur ces réactions de la communauté internationale, M. Medelci a souligné que "ce qui est important, c’est que n’avons pas cherché à rendre l’image de l’Algérie plus belle qu’elle ne l’est déjà". "Nous n’avons pas caché les problèmes (et) avons dit que l’effort le plus important reposait sur les épaules de l’Algérie", a-t-il ajouté.
"Depuis longtemps, l’Algérie a pris en charge ses problèmes", dont certains ne lui sont pas endogènes, "pour faire de la société algérienne une société moderne, basée sur les valeurs de l’islam et du 1er-Novembre 1954", a-t-il poursuivi, estimant que le pays a cumulé ses propres expériences pour "pouvoir aller aujourd’hui affronter la mondialisation".
"Les questions qui se posent à nous ne sont pas toutes différentes de celles qui se posent à l’ensemble des pays, y compris les pays développés" qui connaissent différentes formes de violence, a noté le ministre, soulignant que l’EPU "indique bien qu’isoler les droits de l’Homme de leurs contextes sociaux, économiques, culturels, y compris sécuritaires, serait un exercice vain".
Pour le ministre, "il faut faire avancer les choses de manière synchrone et l’Algérie est en train de réduire les écarts internationaux" en la matière. Par exemple, a-t-il expliqué, "tous les pays ont reconnu que l’Algérie n’aura pas de problème à tenir ses engagements vis-à-vis des Objectifs du millénaire pour le développement" (OMD-ONU) qui visent à réduire la pauvreté dans le monde d’ici à 2015". "Notre ambition va plus loin, vers un référentiel de développement humain pour nous donner plus de visibilité, plus de transparence à notre système de gouvernance, et ceci va travailler dans le sens des droits de l’Homme et dans le sens de la pratique effective et des libertés qui sont déjà une réalité", a-t-il conclu.
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