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Bonsoir.
Quel pessimisme "bledard_for_ever", quelle caricature.
Très ambigües à mon sens, car le nouveau bricolage institutionnel n'est en aucun cas référentiel, ni local, ni régional, encore moins international.
Au temps normal un président de la république, est une équipe, une machine en marche, jamais uniréférentielle, encore plus dans les régimes totalitaires qui ne disent pas leur nom, qui se déguise pour le carnaval de la démocratie.
Aucun texte n'est éternel, là je crois que tu seras d'accord avec moi, mais quand il y a chargement le plus judicieux c'est qu'il tende vers le positif et non le négatif, et qu'il se fasse dans un but de globalisation et non pour répondre aux caprices d'un gâteux qui à du mal à savourer sa revanche sur ceux qui l'on écarté pour une période deux décennies.
Comme signalé par d'autres avant moi, tout ceci relève du bricolage.
L'armée, les gros bonnets en loccurrence, dont les prérogatives ont largement débordées sur le politique depuis fort longtemps, n'ont jamais été cantonnés dans des casernes, et ce n'est certainement pas le parachuté de 1999, qui a changé quelque chose à cet état des choses. C'est d'ailleurs par les soins de ces gestionnaires d'ombre qu'il est là où il est.Il faut dire que gérer l'économie "privée" ça occupe pas mal. En plus claire ces personnages sont bien trop occupés, raison pour laquelle il leur fallait un animateur de scéne, pour tenir le rôle de façade.
Sans aller très loin dans le sujet, toutes ces prouesses institutionnelles restent dangereuses, pour l'avenir du pays.
Quel pessimisme "bledard_for_ever", quelle caricature.
Très ambigües à mon sens, car le nouveau bricolage institutionnel n'est en aucun cas référentiel, ni local, ni régional, encore moins international.
Au temps normal un président de la république, est une équipe, une machine en marche, jamais uniréférentielle, encore plus dans les régimes totalitaires qui ne disent pas leur nom, qui se déguise pour le carnaval de la démocratie.
Aucun texte n'est éternel, là je crois que tu seras d'accord avec moi, mais quand il y a chargement le plus judicieux c'est qu'il tende vers le positif et non le négatif, et qu'il se fasse dans un but de globalisation et non pour répondre aux caprices d'un gâteux qui à du mal à savourer sa revanche sur ceux qui l'on écarté pour une période deux décennies.
Comme signalé par d'autres avant moi, tout ceci relève du bricolage.
L'armée, les gros bonnets en loccurrence, dont les prérogatives ont largement débordées sur le politique depuis fort longtemps, n'ont jamais été cantonnés dans des casernes, et ce n'est certainement pas le parachuté de 1999, qui a changé quelque chose à cet état des choses. C'est d'ailleurs par les soins de ces gestionnaires d'ombre qu'il est là où il est.Il faut dire que gérer l'économie "privée" ça occupe pas mal. En plus claire ces personnages sont bien trop occupés, raison pour laquelle il leur fallait un animateur de scéne, pour tenir le rôle de façade.
Sans aller très loin dans le sujet, toutes ces prouesses institutionnelles restent dangereuses, pour l'avenir du pays.
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