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Plus de 400 000 bidonvilles recensés en Algérie

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  • #16
    @ double 6

    baraques construites avec du parpaing et des toles en zinc pour le toit, sans autorisation, avec une alimentation en éléctricité détourné etc...
    voilà exactement .C'est ça

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    • #17
      algerie

      une explication simple il a confondu maroc et algerie

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      • #18
        algerie

        la vérité vous fait elle peur de découvrire des bidonvilles en algérie pour tant ils existent en grands nombres: le truc simpliste est bien de blamer le journaliste quand l article déplait,et toi ca te derange

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        • #19
          c'est plutôt des habitats précaires, répertoriés pour démolition.

          Ils ne sont pas cachés, tu les vois partout.

          Il y en a a même qui ont et l'électricité et le gaz de ville!!!
          « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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          • #20
            le belem ç pas telement l'érreure....ç que le journaliste a écris tous l'article sans ce rendre compte qu'il disait une grosse connerie ....en méme temps on a jamais eut de doute sur le proféssionalisme des journalistes algeriens
            tu tombe je tombe car mane e mane
            après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

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            • #21
              c'est un comptage pour évaluer les besoins en nouveaux logement.

              je vais vous citer un exemple ahirussant.

              Il y avait une maison coloniale qui a été répertoriée comme tel. elle a gangé la croix rouge.

              Au RDC, il y avait une famille nombreuse à l'étroit. ils ont fait venir leur cousins, et il sont retrouvés avec CINQ APPARTEMENTS dans la nouvelle ville.


              Le voisin du dessus à qui on a coupé le gaz et l'electricité et qui aime son appart a contesté l'avis de démolition.... il a gagné et du coup sont appart qui est devenu une belle maison coloniale n'est plus "démolissable".

              les tricheurs qui ont bénéficié des 5 apparts veulent mnt réccupéré le RDC.

              ça se passe comme ça en Algérie.
              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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              • #22
                algerie

                combien de quotidiens algeriens ont rapporter cette info ,merci

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                • #23
                  Cette information est tout simplement erronée. Ce n'est pas la première fois que ce journal met de telles informations.
                  Malheureusement, la qualité de nos journaux laisse à désirer.
                  La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                  • #24
                    le taux de croissance anarchique de l’urbanisme est la cause principale de ces chiffres alarmants
                    quoi, il prend un symptome pour une raison de ce phenomene!

                    La veritable raison sont la mobilté paysane vers les villes, l emmigration des paysans vers les centres urbains, et non ce qui reste une forme visible de cette mobilté!
                    le journaliste confond sympotome evec la cause!

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                    • #25
                      Ahras,
                      je connais assez bien Annaba pour dire que ce quj'on appelle bidonville ne depassent pas au maximum 100 pour toute la Wilaya ....
                      Un bidonville est un ensemble d'habitation précaire, construit pour ne pas durer.
                      Pour annaba, toute la wilaya, 100 ne correspond ni au nombre de bidonvilles, ce qui parait énorme, ni au nombre d'abitat précaire, en deça de la réalité. Je pense que le chiffre de 22000 habitat précaire pour la wilaya de annaba n'est pas exagéré.
                      N'oublions pas annaba a tjrs connu une prolifération des bidonvilles à cause de l'attrait de cette wilaya en matière d'emploi pour les wilaya environnantes.

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                      • #26
                        vous avez le meme nombre de bidonville qu'a casa, et vraiment a entendre arayzon et medz j'ai crue qu'il n'y avait aucun bidonville.
                        bidonville ou baraq... tous sa c'est la meme chose, par exemple si tu rentre dans une baraqa ou bidonville tu vas trouver parabole machine a laver..... et c'est construit en brique mais sa reste une baraqa comme on l'apele a casa ou bidonville comme on les apelent sur les journaux.

                        merci au journaliste pour cette clarification. arayzon et mendez ils sont passer ou le un million de logement? et l'algerie n'accepterai de laisser ces citoyens vivre dans des bidonvilles comme au maroc? .
                        Dernière modification par auscasa, 29 avril 2008, 11h57.

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                        • #27
                          vous avez le meme nombre de bidonville qu'a casa
                          sauf qu'ici on parle de toute l'algérie ya elfahem .et le concept de bidonville cher nous ne veut pas seulement dire baraques mais habitats précaire en général.

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                          • #28
                            Hbibna auscase bonjour!

                            Wèch comment va aux States?
                            Peut-etre qu'on se verra à casa cet été?
                            Je vais aller rendre visite à mes cousines et voir les potes que je connais là-bas!

                            bidonville ou baraq... tous sa c'est la meme chose
                            Awa hbibna
                            Une agglomération de baraques forment l'ensemble que l'on nomme communément Bidonvilles ou Favellas au Brésil .

                            A+.
                            La pire chose pour l'Homme, serait qu'il meurt idiot.
                            De grâce épargnez-moi la prolixe, la syntaxe et la chiffrerie à tout va
                            .
                            Merci.
                            " TOUCHE PAS A MA NAPPE ALBIENNE "

                            Commentaire


                            • #29
                              Wèch comment va aux States?
                              Peut-etre qu'on se verra à casa cet été?
                              Je vais aller rendre visite à mes cousines et voir les potes que je connais là-bas!
                              marhba et alf marhba, domage je ferais juste escale a casa mais tu seras le bienvenue chez moi a dahla ou a agadir.

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                              • #30
                                Il ya plusieurs definitions pour "Bidonville",
                                Wikipedia donne les details
                                http://fr.wikipedia.org/wiki/Bidonville


                                Definition

                                Terminologie

                                Le mot « bidonville » a été employé pour la première fois en 1953 à propos du Maroc pour désigner littéralement des « maisons en bidons », c'est-à-dire un ensemble d'habitations construites avec des matériaux de récupération. Ce mot a progressivement pris une signification plus large pour rejoindre les termes anglais shanty town et slum. Ce dernier a été forgé au début du XIXe siècle, probablement par l'écrivain James Hardy Vaux pour décrire les taudis de Dublin, mais signifiait davantage « racket » ou « commerce criminel » à l'époque ; shanty town signifie littéralement « quartier/ville de taudis ».
                                D'autres noms existent, propres à chaque langue, voire à chaque pays ou chaque ville. On trouve ainsi les « bidonvilles » dans les pays francophones, mais pas seulement comme le montre l'exemple des "mapane" ou "matiti" au Gabon. D'autres exemples: les geçekondus en Turquie, les favelas au Brésil, Jhugi ou Bustee en Inde, Kachi abadi au Pakistan, Kijiji ou Korogocho au Kenya, Mudduku au Sri Lanka, Imijondolo en Afrique du Sud, Bairro de Lata au Portugal, Lušnynai en Lituanie ou encore Kartonsko naselje en Serbie. Dans les pays hispanophones, on trouve Barrio en République dominicaine et au Venezuela, Asentamientos au Guatemala, Cantegriles en Uruguay, Ciudades perdidas ou Colonias au Mexique, Invasiones en Équateur et Colombie, Poblaciones Callampas, Poblas ou Campamentos au Chili, Chacarita au Paraguay, Chabolas en Espagne, Pueblos jóvenes ou Barriadas au Pérou, Villas miseria en Argentine ou Precario au Costa Rica.

                                Définitions successives

                                Les premières définitions des bidonvilles remontent au XIXe siècle, en particulier sous l'impulsion du chercheur et philanthrope britannique Charles Booth, auteur de Life and Labour of the People of London. Le bidonville y est vu comme « un amalgame de conditions de logement sordides, de surpeuplement, de maladie, de pauvreté et de vice », incluant ainsi une dimension morale. Dans The slums of Baltimore, Chicago, New York and Philadelphia de 1894, les slums sont définis comme des « zones de ruelles sales, notamment lorsqu'elles sont habitées par une population de misérables et de criminels ». Cette dimension morale va diminuer au cours du XXe siècle, en réalisant que les habitants des bidonvilles sont plus souvent victimes que générateurs de la criminalité.

                                Il n'y a pas actuellement de « définition universelle » des bidonvilles. Chaque pays, voire chaque ville utilise une définition différente, avec des critères adaptés à la situation locale. Une définition très simple telle que proposée par l'UN-Habitat est :
                                « Une zone urbaine très densément peuplée, caractérisée par un habitat inférieur aux normes et misérable. »
                                Cette définition inclut les éléments de base de la plupart des bidonvilles : surpeuplement, habitat de mauvaise qualité, et pauvreté. Mais face aux diverses définitions générales, l'UN-Habitat a eu besoin d'une définition opérationnelle, utilisable par exemple pour recenser le nombre d'habitants des bidonvilles ; elle a donc recensé les caractéristiques communes des bidonvilles, d'après les définitions existantes:
                                1. Manque des services de base : principalement l'accès à l'eau potable et l'assainissement (toilettes et latrines), mais aussi électricité, gestion des déchets, éclairage et pavage des rues...
                                2. Habitat non conforme aux normes : non seulement les habitations peuvent ne pas être conformes aux normes municipales et nationales de construction (mauvais matériaux de construction), mais elles peuvent se situer à un emplacement illégal.
                                3. Surpeuplement / hautes densités : les maisons peuvent être occupées par plusieurs familles ; plusieurs personnes peuvent partager la même pièce pour dormir, manger, voire travailler.
                                4. Conditions de vie malsaines et / ou dangereuses : l'absence d'assainissement entraine une plus grande propagation de maladies ; les maisons sont parfois bâties sur des terrains inondables, pollués ou sujets aux glissements de terrain.
                                5. Précarité du logement : cette caractéristique est souvent centrale. Elle prend en compte le fait que les occupants des bidonvilles n'ont souvent pas de contrat de location ou de titre de propriété, et que certains quartiers soient construits sur des zones à l'origine non habitables.
                                6. Pauvreté et exclusion sociale : sans être une caractéristique inhérente aux bidonvilles (les pauvres habitent aussi en-dehors des bidonvilles, et ceux-ci n'abritent pas que des pauvres), la pauvreté en est une cause et souvent une conséquence.
                                7. Taille minimale : pour qu'une zone soit considérée comme un bidonville, elle doit comporter plus d'habitations qu'un simple campement. Les seuils courants sont de l'ordre de 700 m² (Calcutta) ou 300 personnes / 60 foyers (législation fédérale indienne).

                                Afin de pouvoir effectuer un recensement global, l'UN-Habitat a ainsi retenu une définition opérationnelle, adoptée officiellement au sommet des Nations unies de Nairobi en 2002. Elle s'en tient aux dimensions physiques et légales des implantations, et laisse de côté les dimensions sociales, plus difficile à quantifier. Les critères retenus sont :
                                « l'accès inadéquat à l'eau potable, l'accès inadéquat à l'assainissement et aux autres infrastructures, la mauvaise qualité des logements, le surpeuplement, et le statut précaire de la résidence. »
                                Un « bidonville », au sens des Nations unies, est donc une zone urbaine présentant certains de ces aspects. Des seuils ont été définis, comme 20 litres d'eau potable par jour et par personne provenant d'une source « améliorée », ou une surface minimale de 5 m² par personne ; sur le terrain, ces seuils sont toutefois adaptés à la situation.

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