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Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a affirmé dans un échange avec la presse lundi que le niveau des réserves de change du pays se situe entre 42 et 43 milliards de dollars.
C’est au cours de son traditionnel rendez vous avec certains médias que le chef de l’Etat a indiqué, lundi soir à la télévision, que les réserves de change de l’Algérie ont chuté de « 60 à 42 milliards de dollars » en raison notamment « de la facture des importations et de la baisse des revenus pétroliers ».
Reconnaissant que les finances n’étaient pas très abondantes, il a estimé que le pays était capable « de faire face à ses besoins ».
« Un budget de 8 milliards de dollars suffit pour couvrir largement nos besoins notamment en semoule et en huile de table. Malgré l’année difficile qu’a connu le secteur pétrolier, nous avons pu réaliser des recettes de 24 milliards de dollars », a-t-il ajouté.
Le locataire d’El Mouradia a par ailleurs rappelé que la facture des importations avait atteint dans le passé « plus de 60 milliards de dollars par an », dont plus de 15 milliards dus à « de la surfacturation et à 25 % d’importations non nécessaires ».
« Il y a beaucoup de gens qui n’ont pas encore compris qu’il est venu le temps ou nous devrons importer uniquement ce dont nous avons vraiment besoin », a prévenu M.Tebboune.
dzair world .com
C’est au cours de son traditionnel rendez vous avec certains médias que le chef de l’Etat a indiqué, lundi soir à la télévision, que les réserves de change de l’Algérie ont chuté de « 60 à 42 milliards de dollars » en raison notamment « de la facture des importations et de la baisse des revenus pétroliers ».
Reconnaissant que les finances n’étaient pas très abondantes, il a estimé que le pays était capable « de faire face à ses besoins ».
« Un budget de 8 milliards de dollars suffit pour couvrir largement nos besoins notamment en semoule et en huile de table. Malgré l’année difficile qu’a connu le secteur pétrolier, nous avons pu réaliser des recettes de 24 milliards de dollars », a-t-il ajouté.
Le locataire d’El Mouradia a par ailleurs rappelé que la facture des importations avait atteint dans le passé « plus de 60 milliards de dollars par an », dont plus de 15 milliards dus à « de la surfacturation et à 25 % d’importations non nécessaires ».
« Il y a beaucoup de gens qui n’ont pas encore compris qu’il est venu le temps ou nous devrons importer uniquement ce dont nous avons vraiment besoin », a prévenu M.Tebboune.
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