11 mars 2021
Port d'Alger. La hiérarchie de l'UGTA veut-elle isoler les syndicalistes combattifs?
« Près de 600 travailleurs de l’Entreprise portuaire d’Alger (EPAL) ont tenu, hier mercredi, un rassemblement devant le siège de la centrale UGTA, pour dénoncer la Fédération UGTA des ports d’Algérie qui veut imposer sa conception du renouvellement de la section d’entreprise du port. Isoler les syndicalistes combattifs, face à un employeur unique, est-ce leur but ?
« Ils veulent nous imposer la représentativité par direction. (Il existe une dizaine de directions). Nous revendiquons l’application de la loi tout simplement ». Le Soir d’Algérie, 11 mars 2021
Grève de...45 minutes
A l'appel du bureau local du Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), les professeurs des lycées de la wilaya d'Oran ont observé hier une action de solidarité de 45 minutes entre 10h30 et 11h15 pour dénoncer le «harcèlement administratif» contre trois enseignantes du lycée Azouzi Kadour à Aïn El Beïda Selon la coordinatrice du Snapest, «ces trois enseignantes avaient dénoncé, il y a quatre ans, la falsification des relevés de notes des élèves, mais au lieu d'être remerciées pour leur courage et leur honnêteté, elles sont victimes de représailles ». Cette organisation syndicale dénonce par ailleurs la «mauvaise gestion administrative et pédagogique», les «abus de pouvoir caractérisés», le retard «injustifié» de plusieurs années dans l'assainissement du dossier des indemnisations de l'expérience professionnelle et l'exclusion des partenaires sociaux par l'académie. » Le Quotidien d’Oran, 11 mars 2021
L'arbitraire concerté, nouveau concept journalistique.
L’appel à la grève a été lancé hier lundi 8 mars par la Fédération nationale des cheminots en signe de solidarité avec 5 employés de la SNTF à Annaba, dont un syndicaliste. Les cheminots se solidarisent également avec leurs collègues conducteurs de trains à Souk Ahras.
Il n'y a pas motif à faire grève, selon le journaliste Abdelkrim Zerzouri. Ayant abandonné la rubrique-tricotage « Analyse » du Quotidien d’Oran pour commenter cet événement social, il conclut : « De toute façon, les raisons qui ont poussé à la grève, n'ont rien d'un véritable malaise socioprofessionnel et peuvent se régler, sans grandes difficultés, à travers le dialogue et la concertation entre les partenaires sociaux ». Le Quotidien d'Oran, 11 mars 2021
Port d'Alger. La hiérarchie de l'UGTA veut-elle isoler les syndicalistes combattifs?
« Près de 600 travailleurs de l’Entreprise portuaire d’Alger (EPAL) ont tenu, hier mercredi, un rassemblement devant le siège de la centrale UGTA, pour dénoncer la Fédération UGTA des ports d’Algérie qui veut imposer sa conception du renouvellement de la section d’entreprise du port. Isoler les syndicalistes combattifs, face à un employeur unique, est-ce leur but ?
« Ils veulent nous imposer la représentativité par direction. (Il existe une dizaine de directions). Nous revendiquons l’application de la loi tout simplement ». Le Soir d’Algérie, 11 mars 2021
Grève de...45 minutes
A l'appel du bureau local du Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (Snapest), les professeurs des lycées de la wilaya d'Oran ont observé hier une action de solidarité de 45 minutes entre 10h30 et 11h15 pour dénoncer le «harcèlement administratif» contre trois enseignantes du lycée Azouzi Kadour à Aïn El Beïda Selon la coordinatrice du Snapest, «ces trois enseignantes avaient dénoncé, il y a quatre ans, la falsification des relevés de notes des élèves, mais au lieu d'être remerciées pour leur courage et leur honnêteté, elles sont victimes de représailles ». Cette organisation syndicale dénonce par ailleurs la «mauvaise gestion administrative et pédagogique», les «abus de pouvoir caractérisés», le retard «injustifié» de plusieurs années dans l'assainissement du dossier des indemnisations de l'expérience professionnelle et l'exclusion des partenaires sociaux par l'académie. » Le Quotidien d’Oran, 11 mars 2021
L'arbitraire concerté, nouveau concept journalistique.
L’appel à la grève a été lancé hier lundi 8 mars par la Fédération nationale des cheminots en signe de solidarité avec 5 employés de la SNTF à Annaba, dont un syndicaliste. Les cheminots se solidarisent également avec leurs collègues conducteurs de trains à Souk Ahras.
Il n'y a pas motif à faire grève, selon le journaliste Abdelkrim Zerzouri. Ayant abandonné la rubrique-tricotage « Analyse » du Quotidien d’Oran pour commenter cet événement social, il conclut : « De toute façon, les raisons qui ont poussé à la grève, n'ont rien d'un véritable malaise socioprofessionnel et peuvent se régler, sans grandes difficultés, à travers le dialogue et la concertation entre les partenaires sociaux ». Le Quotidien d'Oran, 11 mars 2021
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