Le championnat Algérien de Football ne cesse d'apporter son lot de faits insolites. Le mardi 3 août, pendant le match qui a opposé l'USM Alger à la JS Kabylie, l'arbitre de la partie a interrompu le jeu à la 26e minute lors de l'appel à la prière (Adhan).
Ainsi, pendant ce match qui s'est déroulé dans le cadre de la 26e journée du Championnat de Ligue 1, au bout de la 26e minute, alors que la ballon est en sortie de jeu, l’arbitre principal Youcef Gamouh a retardé la reprise du jeu. Avant de permettre au gardien de la JS Kabylie de remettre le ballon en jeu, il a attendu la fin de l’appel à la prière d'El Icha provenant de la mosquée près du stade.
Cette interruption de jeux a été différemment apprécié par les internautes. La vidéo a fait le buzz sur les réseaux sociaux a été très commentée. Pour certains, cet acte démontre le grand respect de l'arbitre à la religion. Ils affirment que ces actes doivent souvent être répétés dans les stades algériens. Cependant tout le monde n'est pas d'accord. Cette décision de l'arbitre a été autrement appréciée par des internautes qui s'interrogent sur la légalité de cette interruption de jeu.
D'autres dénoncent carrément des décisions individuelles en relation avec les convictions des uns et des autres. Ils affirment qu'il faut laisser le sport en dehors de ces « nouvelles fatwa ». La religion a-t-elle sa place dans le sport ? Ces internautes rappellent que ce qu'avait fait l'arbitre n'est pas en adéquations avec les règles du football.
L'arbitre a-t-il le droit de suspendre le jeu pour un appel à la prière ?
Pour en savoir plus sur cette polémique, nous avons contacté un arbitre. Ce dernier nous a affirmé que cet « interruption de jeu » ne fait pas partie des cas où l'arbitre peut agir de la sorte. Il a ajouté que l'arbitre peut interrompre le jeu dans le cas où des incidents se produisent dans le stades, si un étranger rentre sur la pelouse et dans la période de jeûne pour permettre aux joueurs de se désaltérer.
observalgérie
Ainsi, pendant ce match qui s'est déroulé dans le cadre de la 26e journée du Championnat de Ligue 1, au bout de la 26e minute, alors que la ballon est en sortie de jeu, l’arbitre principal Youcef Gamouh a retardé la reprise du jeu. Avant de permettre au gardien de la JS Kabylie de remettre le ballon en jeu, il a attendu la fin de l’appel à la prière d'El Icha provenant de la mosquée près du stade.
Cette interruption de jeux a été différemment apprécié par les internautes. La vidéo a fait le buzz sur les réseaux sociaux a été très commentée. Pour certains, cet acte démontre le grand respect de l'arbitre à la religion. Ils affirment que ces actes doivent souvent être répétés dans les stades algériens. Cependant tout le monde n'est pas d'accord. Cette décision de l'arbitre a été autrement appréciée par des internautes qui s'interrogent sur la légalité de cette interruption de jeu.
D'autres dénoncent carrément des décisions individuelles en relation avec les convictions des uns et des autres. Ils affirment qu'il faut laisser le sport en dehors de ces « nouvelles fatwa ». La religion a-t-elle sa place dans le sport ? Ces internautes rappellent que ce qu'avait fait l'arbitre n'est pas en adéquations avec les règles du football.
L'arbitre a-t-il le droit de suspendre le jeu pour un appel à la prière ?
Pour en savoir plus sur cette polémique, nous avons contacté un arbitre. Ce dernier nous a affirmé que cet « interruption de jeu » ne fait pas partie des cas où l'arbitre peut agir de la sorte. Il a ajouté que l'arbitre peut interrompre le jeu dans le cas où des incidents se produisent dans le stades, si un étranger rentre sur la pelouse et dans la période de jeûne pour permettre aux joueurs de se désaltérer.
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