Le parti du Front des Forces Socialistes (FFS) a condamné ce vendredi l’assassinat de trois ressortissants algériens sur l’axe Nouakchott-Ouargla alors qu’ils assuraient des échanges commerciaux. Par le biais d’un communiqué signé par son Premier secrétaire, Youcef Aouchiche, le FFS a mis en garde contre une escalade dans la région du Maghreb.
« Le Front des forces socialistes considère cet acte hostile extrêmement dangereux comme une aventure et une transition malveillante vers les plus hauts niveaux de provocation et seule la partie ou les parties derrière lui assumeront les conséquences », a indiqué le communiqué du FFS.
Et d’ajouter: « les bombardements de civils non armés, dans cette circonstance particulière, ne s’expliquent que par l’existence d’une intention préméditée de faire pourrir les choses et de pousser la région du Maghreb vers un avenir inconnu ».
Estimant que les conséquences d’une escalade se répercuteront sur tous les peuples de la région, le FFS a appelé à ne pas « dérouler le tapis rouge à ceux qui gèrent des projets de chaos et de destruction au Maghreb ».
« La région, face aux défis et aux menaces, a un besoin urgent de calme et de confiance, et de construire des ponts de coopération et de consensus pour parvenir à la démocratisation de ses régimes, lui permettant ainsi de construire un Maghreb intégré, cohérent et sans peur », a-t-il appelé.
La Présidence de la République a confirmé mercredi la mort de trois algériens sur l’axe routier Nouakchout-Ouargla.
Dans un communiqué, la Présidence a indiqué que « plusieurs facteurs désignent les forces d’occupation marocaines au Sahara Occidental comme ayant commis avec un armement sophistiqué ce lâche assassinat », soulignant que « leur assassinat ne restera pas impuni ».
Dans le cadre de sa riposte, l’Algérie a saisi jeudi 4 novembre plusieurs organisations dont l’Organisation des Nations Unies (ONU) et l’Union Africaine.
Dans ces correspondances officielles, indique l’agence officielle, « M. Lamamra a informé les responsables des organisations internationales de « la gravité extrême de l’acte de terrorisme d’Etat en question qu’aucune circonstance ne saurait justifier« .
Interlignes
« Le Front des forces socialistes considère cet acte hostile extrêmement dangereux comme une aventure et une transition malveillante vers les plus hauts niveaux de provocation et seule la partie ou les parties derrière lui assumeront les conséquences », a indiqué le communiqué du FFS.
Et d’ajouter: « les bombardements de civils non armés, dans cette circonstance particulière, ne s’expliquent que par l’existence d’une intention préméditée de faire pourrir les choses et de pousser la région du Maghreb vers un avenir inconnu ».
Estimant que les conséquences d’une escalade se répercuteront sur tous les peuples de la région, le FFS a appelé à ne pas « dérouler le tapis rouge à ceux qui gèrent des projets de chaos et de destruction au Maghreb ».
« La région, face aux défis et aux menaces, a un besoin urgent de calme et de confiance, et de construire des ponts de coopération et de consensus pour parvenir à la démocratisation de ses régimes, lui permettant ainsi de construire un Maghreb intégré, cohérent et sans peur », a-t-il appelé.
La Présidence de la République a confirmé mercredi la mort de trois algériens sur l’axe routier Nouakchout-Ouargla.
Dans un communiqué, la Présidence a indiqué que « plusieurs facteurs désignent les forces d’occupation marocaines au Sahara Occidental comme ayant commis avec un armement sophistiqué ce lâche assassinat », soulignant que « leur assassinat ne restera pas impuni ».
Dans le cadre de sa riposte, l’Algérie a saisi jeudi 4 novembre plusieurs organisations dont l’Organisation des Nations Unies (ONU) et l’Union Africaine.
Dans ces correspondances officielles, indique l’agence officielle, « M. Lamamra a informé les responsables des organisations internationales de « la gravité extrême de l’acte de terrorisme d’Etat en question qu’aucune circonstance ne saurait justifier« .
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