Mira Moknache, enseignante à l’université Abderrahmane-Mira de Bgayet et militante infatigable, a été condamnée à deux ans de prison ferme. Le verdict a été rendu ce matin.
Ainsi, la militante Mira Moknache écope de deux années de prison ferme assortie d’une amende de 50 000 DA. Pour rappel, le procureur avait requis 5 années de prison ferme et 50 000 DA d’amende contre l’universitaire et militante Mira Moknache à l’issue du procès de cette dernière qui s’est déroulé le 16 novembre dernier au tribunal d’Amizour. Le chef d’inculpation retenu contre Mira Moknache est « atteinte à l’unité nationale ».
Mira Moknache et des centaines de militants kabyles sont condamnés à la prison ferme et d’autres sont incarcérés sans même avoir eu droit à des procès au moment où des Naima Salhi et des personnages ayant passé des années à insulter les kabyles, la langue amazighe et les symboles de la Kabylie jouissent de l’impunité totale et de la liberté.
Aucun des personnages ayant passé des heures entières à tirer à boulets rouges sur la Kabylie et sur la culture et l’identité amazighe, sur les plateaux de télévision, n’a été inquiété par la justice. Des plaintes ont même été déposées contre Naima Salhi par des avocats de la Kabylie, mais à ce jour, aucune suite n’a été donnée à ces requêtes.
tamurt
Ainsi, la militante Mira Moknache écope de deux années de prison ferme assortie d’une amende de 50 000 DA. Pour rappel, le procureur avait requis 5 années de prison ferme et 50 000 DA d’amende contre l’universitaire et militante Mira Moknache à l’issue du procès de cette dernière qui s’est déroulé le 16 novembre dernier au tribunal d’Amizour. Le chef d’inculpation retenu contre Mira Moknache est « atteinte à l’unité nationale ».
Mira Moknache et des centaines de militants kabyles sont condamnés à la prison ferme et d’autres sont incarcérés sans même avoir eu droit à des procès au moment où des Naima Salhi et des personnages ayant passé des années à insulter les kabyles, la langue amazighe et les symboles de la Kabylie jouissent de l’impunité totale et de la liberté.
Aucun des personnages ayant passé des heures entières à tirer à boulets rouges sur la Kabylie et sur la culture et l’identité amazighe, sur les plateaux de télévision, n’a été inquiété par la justice. Des plaintes ont même été déposées contre Naima Salhi par des avocats de la Kabylie, mais à ce jour, aucune suite n’a été donnée à ces requêtes.
tamurt
Commentaire