La justice algérienne vient de décider d’incarcérer plusieurs influenceurs suivis et appréciés par plusieurs millions d’internautes. Ce mercredi 19 janvier en fin de soirée, le tribunal de Dar El-Beida a décidé de placer en détention provisoire le célèbre RIFKA, l’influenceur algérien qui compte plus de 4,2 millions d’abonnés sur Instagram et plusieurs centaines de milliers de fans sur Youtube, Facebook et d’autres plateformes des réseaux sociaux.
RIFKA, de son vrai nom Farouk Boudjemline, a été inculpé par les magistrats du tribunal de Dar El-Beida à Alger dans le cadre de l’affaire d’escroquerie d’étudiants algériens à l’étranger, un scandale qui défraie la chronique depuis plusieurs jours en Algérie. Âgé d’à peine 24 ans, Rifka a su se faire une place parmi les youtubeurs et influenceurs les plus suivis en Algérie, et plus particulièrement auprès des jeunes grâce à son énergie et à son humour décalé. Farouk vit à Staoueli, à Alger. Sa vie était narrée comme un véritable conte de fées qui finit… en cauchemar puisque le jeune RIFKA va rejoindre le contingent des nouveaux prisonniers algériens qui remplissent chaque jour les centres pénitentiaires du pays.
Aux côtés de RFIKA, nous retrouvons d’autres influenceurs accablés par la Justice algérienne. Il s’agit notamment de la célèbre Numidia Lezoul qui compte plus de 6 millions d’abonnés sur Instagram. Devenue une véritable star de la télévision ces dernières années, Numidia a été inculpée également par le tribunal de Dar El-Beida dans le cadre de scandale d’escroquerie ayant fait 75 victimes parmi les étudiants infortunés qui ont été dépossédés de leurs économies alors qu’ils rêvaient partir étudier à l’étranger.
Mais contrairement à son collègue RIFKA, Numidia Lezoul a été uniquement placé en liberté provisoire en attendant la programmation du procès de cette affaire qui suscite un énorme buzz en Algérie. Selon diverses sources judiciaires, ces influenceurs sont accusés d’avoir participé directement à un délit d’escroquerie pour avoir promu sur les réseaux sociaux les offres alléchants d’une société privée qui faisait croire aux étudiants algériens la possibilité de s’inscrire pour poursuivre les études dans des universités étrangères (Ukraine, Turquie et Russie). Ces influenceurs ont démenti catégoriquement une quelconque complicité affirmant qu’ils se sont contentés uniquement de réaliser une prestation publicitaire pour laquelle ils ont été payés sans connaître les tenants et aboutissants des activités illicites de leur partenaire commercial.
Algeriepartplus
RIFKA, de son vrai nom Farouk Boudjemline, a été inculpé par les magistrats du tribunal de Dar El-Beida à Alger dans le cadre de l’affaire d’escroquerie d’étudiants algériens à l’étranger, un scandale qui défraie la chronique depuis plusieurs jours en Algérie. Âgé d’à peine 24 ans, Rifka a su se faire une place parmi les youtubeurs et influenceurs les plus suivis en Algérie, et plus particulièrement auprès des jeunes grâce à son énergie et à son humour décalé. Farouk vit à Staoueli, à Alger. Sa vie était narrée comme un véritable conte de fées qui finit… en cauchemar puisque le jeune RIFKA va rejoindre le contingent des nouveaux prisonniers algériens qui remplissent chaque jour les centres pénitentiaires du pays.
Aux côtés de RFIKA, nous retrouvons d’autres influenceurs accablés par la Justice algérienne. Il s’agit notamment de la célèbre Numidia Lezoul qui compte plus de 6 millions d’abonnés sur Instagram. Devenue une véritable star de la télévision ces dernières années, Numidia a été inculpée également par le tribunal de Dar El-Beida dans le cadre de scandale d’escroquerie ayant fait 75 victimes parmi les étudiants infortunés qui ont été dépossédés de leurs économies alors qu’ils rêvaient partir étudier à l’étranger.
Mais contrairement à son collègue RIFKA, Numidia Lezoul a été uniquement placé en liberté provisoire en attendant la programmation du procès de cette affaire qui suscite un énorme buzz en Algérie. Selon diverses sources judiciaires, ces influenceurs sont accusés d’avoir participé directement à un délit d’escroquerie pour avoir promu sur les réseaux sociaux les offres alléchants d’une société privée qui faisait croire aux étudiants algériens la possibilité de s’inscrire pour poursuivre les études dans des universités étrangères (Ukraine, Turquie et Russie). Ces influenceurs ont démenti catégoriquement une quelconque complicité affirmant qu’ils se sont contentés uniquement de réaliser une prestation publicitaire pour laquelle ils ont été payés sans connaître les tenants et aboutissants des activités illicites de leur partenaire commercial.
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