Une sacré coïncidence avec le même jour de la proclamation de la RASD ( 27 février 1976). Est-ce un pur hasard ou un destin semblable?
- Riche a été le contenu de la journée de commémoration de la libération de la ville d'Oran, de l'occupation espagnole, le 27 février 1792. Cette rencontre a été organisée par l'université d'Oran au profit des étudiants des filières Sciences humaines et Sciences islamiques.
Ces derniers ont été invités à visiter des sites historiques témoignant des luttes ayant amené à la libération de la ville d'Oran. Il s'agit essentiellement du cimetière des étudiants, à Es Sénia, la mosquée Ribat Ettolba (relais des étudiants, Ndlr) situé sur les hauteurs du mont Murdjadjo. Ces deux sites sont les témoins des offensives contre les Espagnols.
Abordant «le traité de paix entre l'Algérie et l'Espagne sur la libération de la ville d'Oran, l'enseignant d'histoire à l'université Oran 1, Hamid Aït Habbouche, a noté qu' «après leur défaite, les Espagnols ont négocié la paix avec les Algériens, qui intervint, dans un traité, le 9 décembre 1791, marquant la reprise des villes d'Oran et de Mers El Kebir, la récupération de tout ce qui a été spolié dont des canons et le versement d'une somme annuelle de 120 000 livres sterling». L'universitaire Mohamed Belhadj a évoqué le rôle joué par les mosquées d'Oran après la libération. Il s'agit de la mosquée du Bey, construite en 1794, appelée l'école Mohammadia, ainsi que la mosquée du quartier Sidi El Houari, inaugurée en 1796, et la mosquée du bey Mohamed Ben Othmane El-Kebir, sur la place El Djaouhara (ex-La Perle), dans le même quartier, qui a ouvert ses portes en 1801. L'occupation, par les espagnols, d'Oran, a commencé à partir de Mers El Kebir en 1505 et la ville d'Oran en 1509. Dans leur ascension, ils ont commis des actes barbares contre le peuple, détruisant des monuments religieux et culturels.
L'Expression.dz (extraits)
- Riche a été le contenu de la journée de commémoration de la libération de la ville d'Oran, de l'occupation espagnole, le 27 février 1792. Cette rencontre a été organisée par l'université d'Oran au profit des étudiants des filières Sciences humaines et Sciences islamiques.
Ces derniers ont été invités à visiter des sites historiques témoignant des luttes ayant amené à la libération de la ville d'Oran. Il s'agit essentiellement du cimetière des étudiants, à Es Sénia, la mosquée Ribat Ettolba (relais des étudiants, Ndlr) situé sur les hauteurs du mont Murdjadjo. Ces deux sites sont les témoins des offensives contre les Espagnols.
Abordant «le traité de paix entre l'Algérie et l'Espagne sur la libération de la ville d'Oran, l'enseignant d'histoire à l'université Oran 1, Hamid Aït Habbouche, a noté qu' «après leur défaite, les Espagnols ont négocié la paix avec les Algériens, qui intervint, dans un traité, le 9 décembre 1791, marquant la reprise des villes d'Oran et de Mers El Kebir, la récupération de tout ce qui a été spolié dont des canons et le versement d'une somme annuelle de 120 000 livres sterling». L'universitaire Mohamed Belhadj a évoqué le rôle joué par les mosquées d'Oran après la libération. Il s'agit de la mosquée du Bey, construite en 1794, appelée l'école Mohammadia, ainsi que la mosquée du quartier Sidi El Houari, inaugurée en 1796, et la mosquée du bey Mohamed Ben Othmane El-Kebir, sur la place El Djaouhara (ex-La Perle), dans le même quartier, qui a ouvert ses portes en 1801. L'occupation, par les espagnols, d'Oran, a commencé à partir de Mers El Kebir en 1505 et la ville d'Oran en 1509. Dans leur ascension, ils ont commis des actes barbares contre le peuple, détruisant des monuments religieux et culturels.
L'Expression.dz (extraits)