Le verdict du procès en appel est tombé ce mardi 22 mars. Le coordinateur du Mouvement démocratique et social (MDS) Fethi Ghares va retrouver aujourd’hui sa liberté.
Incarcéré à la prison d’El Harrach (Alger) depuis juillet dernier, le militant politique Fethi Ghares a retrouvé aujourd’hui sa liberté ; après le verdict d’un an de prison dont six mois avec sursis prononcé par ce mardi la cour d’appel.
Lors de son procès en appel ayant eu lieu le 8 mars dernier, le parquet a requis trois ans de prison ferme contre Fethi Ghares ; qui avait été condamné en première instance par le tribunal de Bainem à une peine deux ans de prison pour plusieurs chefs d’accusation dont « atteinte à la personne du président de la République.
Ce qu’a dit Fethi Ghares à sa sortie de prison
À sa sortie de la prison d’El Harrach, le coordinateur du MDS est revenu sur l’affaire de son emprisonnement, mais aussi sur la situation politique actuelle.
« Je sors d’un affrontement pour un autre. En détention, j’affrontais l’emprisonnement arbitraire et à ma sortie, j’affronterai une plus grande prison, à savoir le système politique », a-t-il lancé.
« Je tiens à rappeler que nous militons pour la fin à l’injustice, mais également pour bâtir une Algérie du serment de novembre pour qu’elle soit la Mecque des libertés », a ajouté Fethi Ghares
Algerie 360
22 mars 2022
Incarcéré à la prison d’El Harrach (Alger) depuis juillet dernier, le militant politique Fethi Ghares a retrouvé aujourd’hui sa liberté ; après le verdict d’un an de prison dont six mois avec sursis prononcé par ce mardi la cour d’appel.
Lors de son procès en appel ayant eu lieu le 8 mars dernier, le parquet a requis trois ans de prison ferme contre Fethi Ghares ; qui avait été condamné en première instance par le tribunal de Bainem à une peine deux ans de prison pour plusieurs chefs d’accusation dont « atteinte à la personne du président de la République.
Ce qu’a dit Fethi Ghares à sa sortie de prison
À sa sortie de la prison d’El Harrach, le coordinateur du MDS est revenu sur l’affaire de son emprisonnement, mais aussi sur la situation politique actuelle.
« Je sors d’un affrontement pour un autre. En détention, j’affrontais l’emprisonnement arbitraire et à ma sortie, j’affronterai une plus grande prison, à savoir le système politique », a-t-il lancé.
« Je tiens à rappeler que nous militons pour la fin à l’injustice, mais également pour bâtir une Algérie du serment de novembre pour qu’elle soit la Mecque des libertés », a ajouté Fethi Ghares
Algerie 360
22 mars 2022
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