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Affaire Algérie-Cameroun : à qui la faute ?

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  • Affaire Algérie-Cameroun : à qui la faute ?

    Après plus d’un mois de faux espoir, le verdict est tombé : la FIFA refuse de faire rejouer le match Algérie-Cameroun, jugeant la requête algérienne irrecevable.


    Depuis, toute l’Algérie ou presque n’a cessé de crier à l’impartialité de l’arbitre Gassama, jusqu’à faire une affaire d’État de ce qui n’est qu’un match de football.

    Au final, l’Algérie a perdu deux fois, sur le terrain et au niveau des instances internationales. La FAF et Belmadi n’ont rien obtenu, du moins pour le moment. L’arbitre Gassama n’a pas été sanctionné et l’arbitrage africain va sans doute continuer à sévir contre les Verts.

    La CAF n’a pas bougé et a même désigné Gassama pour arbitrer la demi-finale de la coupe de la CAF, entre Orlando Pirates et Al Ahli Tripoli, le 15 mai prochain.

    À qui la faute ? À beaucoup de monde sans doute. Aux opportunistes, aux populistes, aux incompétents, à ceux qui n’assument pas leur échec et à l’élite qui se laisse guider par la masse.

    Depuis le début, il était évident que l’arbitre gambien Bakary Gassama n’était pas aussi coupable qu’on le présentait. Il y avait tout au plus des actions litigieuses, sur lesquelles la commission des arbitres de la FIFA vient de statuer, « regrettant » l’appréciation qui en est faite par la partie algérienne.



    Quoi qu’il en soit, la prestation de Gassama n’est pas ce « massacre » ou « scandale » dénoncé presque unanimement en Algérie. Il en est de même pour les accusations de « complot » et de « corruption », colportées sans la moindre preuve.

    Les agitateurs sur les réseaux sociaux, qui sont allés jusqu’à manifester devant le siège de la FIFA, ont causé du tort au pays plus qu’ils ne l’ont servi.

    Des opportunistes pourtant connus de tous se sont érigés en leaders d’opinion entraînant dans leur délire le public, la fédération, le sélectionneur, les techniciens et beaucoup de journalistes, dont certains de renom.

    Tous, ils savaient que l’Algérie n’obtiendra rien mais ils ont contribué à induire le public en erreur. Très peu de voix ont eu le courage d’expliquer que, nonobstant ce qui s’est passé sur le terrain, les matchs de football ne se rejouent pas pour des erreurs d’arbitrage, fussent-elles flagrantes et décisives.

    Faux débat

    Le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Charaf-Eddine Amara, a refusé au début de « vendre du rêve », mais il a fini lui aussi par céder à l’énorme pression de la rue et des réseaux sociaux.

    L’Algérie est partie à la FIFA avec un dossier vide et en est revenue bredouille. Même lorsque l’instance mondiale a tranché, la FAF a continué dans sa fuite en avant, publiant seulement une partie de la correspondance de la FIFA et à une heure indue de la nuit du vendredi.


    Officiellement, la Fédération algérienne de football n’a pas encore annoncé au peuple algérien que l’équipe nationale n’ira pas au Qatar. Il est à craindre qu’elle envisage d’aller au Tribunal arbitral du sport (TAS), pour une autre humiliation, le dossier, encore une fois, étant vide. Il faut désormais admettre l’élimination, faire le deuil de la Coupe du monde et passer à autre chose, à l’essentiel.

    L’autre grande déception de cet épisode est venue du sélectionneur Djamel Belmadi qui a préféré le confort de tout mettre sur le dos de l’arbitre au courage d’assumer sa part dans ce qui s’est passé, allant jusqu’à tenir des propos incompatibles avec sa fonction.

    Un sélectionneur national doit retourner sa langue deux fois avant de s’exprimer, parce qu’avant tout, c’est un éducateur qui est censé porter les valeurs de tolérance, de paix et de fraternité que représentent le sport en général et le football en particulier.

    Les accusations portées contre Bakary Gassama ont faussé le débat. Un mois après le match, très peu de gens ont évoqué les erreurs imputables aux joueurs et au staff technique, pourtant évidentes et fatales.

    Gérer une manche retour après avoir gagné à l’extérieur et surtout les dernières secondes d’un match qu’on tient en mains, c’est la responsabilité du staff technique et des joueurs.

    L’arbitre n’a pas interféré dans les changements effectués par Djamel Belmadi et ses instructions aux joueurs et n’a eu aucun rôle dans le but marqué par le Cameroun à quelques secondes de la fin, imputable seulement au comportement des joueurs algériens sur le terrain. Il n’est pas également responsable dans la gestion de l’effectif des Verts par Belmadi qui a mis du temps par exemple pour écarter Baghdad Bounedjah, devenu l’ombre de lui-même.

    Le coach des Verts, qui a poursuivi son objectif sans intérêt de battre le record du monde des matches sans défaite, jouant des matchs amicaux comme des rencontres officielles, au lieu d’en profiter pour tester de nouveaux joueurs.

    Le véritable débat devait se situer à ce niveau et s’étendre aux choix du staff technique depuis quelques mois et à toute l’anarchie qui sévit dans le football algérien.

    Ne l’oublions pas, avant l’échec face au Cameroun, l’équipe nationale avait quitté la CAN 2021 au premier tour. L’erreur était déjà de trouver dans la chaleur et le terrain des excuses aux joueurs et au sélectionneur.


    TSA

  • #2
    Affaire Algérie-Cameroun : à qui la faute ?
    Aux fanatiques du foot et aux mauvais perdants.
    et la faute à Belmadi qui a suivi cette meute de mauvais conseil.
    ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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    • #3
      La faute est clairement à la presse propagandiste et à la télé du régime qui n’a pas arrêté de chauffer le peuple pour des raisons de politique interne…

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      • #4
        Depuis le début, il était évident que l’arbitre gambien Bakary Gassama n’était pas aussi coupable qu’on le présentait. Il y avait tout au plus des actions litigieuses,
        Gassama est un corrompu notoire, il est connu pour être un agent au service des maitres de la CAF chargé de mission sur commande. Parfois au service des équipes marocains ou il est programmé pour arbitrer jusqu’à 3 match en moins d’un mois, pour arbitrer le Cameroun aussi 3 fois en moins d’un mois ou même pour abriter le club propriété du président de la CAF le sud-africain.

        Ce n’était pas des actions litigeuse, on n’a pas besoin de la FIFA pour nous dire s’il y avait ou pas faute sur Mandy lors du premier but Camerounais, n’importe quel arbitre aurait sifflé coup franc pour Mandy ou aurait annulé le but après recourt au VAR. De même pour le but de Slimani valide a 100 % qui n’a même pas été contesté par les camerounais eux même. Sans parler des deux mains des camerounais dans leurs 18 m, 2 pénalités non sifflés ni des fautes sur Slimani ou blialli dans les 18m non sifflés. Les vidéos parlent d’elles-mêmes pas besoin de la FIFA.

        C’est l’Afrique qui a perdu ce n’est pas l’Algérie. les Marocains, les Camerounais ne sont pas éternel dans les coulisses de la CAF, a un moment donnée c’était les égyptien, aujourd’hui ils sont victimes de ce qu’ils avaient instauré, le tour des marocains et des camerounais viendra, ce n’est qu’une question de temps



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        • #5
          Affaire Algérie-Cameroun : à qui la faute ?
          a cherengiha et tebboune qui voulaient utiliser les fennecs pour leur marmelade politico-mefieuse, tellement qu'ils ont pourri le climat sportif entourant l'en dz rendant insupportable la pression psychologue sur elle.


          (et a a moindre Debbouze)

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          • #6
            La question ne se pose même pas, la faute revient une fois de plus à Djamel Debouze...

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            • #7
              Les joueurs et le staff ont oublié le match juste après le sifflé final. Ce sont ceux (la presse tebbounienne) qui ont pris le relais à qui incombe la faute.

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              • #8
                J'imagine tebboune ordonner à la faf d'aller protester auprès de la caf de la FIFA,et même recourir au tas.
                c'est vrai que c'est glaçant de ce côté ci avec l'annonce de fin de non recevoir de ses doléances.
                une tafrija gratuite en somme.

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                • #9
                  Aux fanatiques du foot et aux mauvais perdants.
                  suis pas du tout foot , mais un jour ils remercieront l'Algérie de ne pas avoir lâché l'affaire . tout le monde sait ce qu'il en est du foot africain , et ca ne changera pas de sitôt si tout le monde continu a faire l'aveugle du moment que ca ne le concerne pas d'une façon direct

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                  • #10
                    Peut être !!
                    tant qu'elle perde...

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                    • #11
                      C'est la faute de l'arbitre gassama qui n'a pas validé le but de l'attaquant Algérien qui était de la tete et non de la main et il a validé un but du camérounais après que le gardien Algérien a été bousculé dans la surface de réparation, Samuel Eto'o avait acheté l'arbitre Gassama et les deux ainsi que leurs deux pays ont peur du scandale

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