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Les ambitions d’Ahmed Ouyahia en Algérie

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  • #16
    hamrouche said sadi??????NON DONALD DUCK

    bien sure que c est le plus capable.mais je suis pour qu il renvois bouteflika et son premier ministre d es 2009,et pas 2014.qu es ce que t on pense moh??????

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    • #17
      Moha

      Non, maxwell, il va renvoyer belkhadem dès qu'il viendra surement en 2009, mais en tout cas son pote boutef, il n'y touchera pas, c'est lui qui après 15 ans d'attente va lui donner le poste qu'il cherchait!!!!
      En tout cas, pour moi c'est loin d'être un capable, au contraire, il joue double face, pour tromper les algériens, il fait genre que boutef c'est pas pour lui, mais derrière il lui lèche les bottes!!!!
      Mais bon que voulez vous, l'Algérie manque de personnes capable de réfléchir ou d'éviter son crash, bientôt on fera la même chute qu'a offert mugabe au zimbabwe.


      ps: Des hommes capables, ils sont présents mais personne ne veut les regarder ou plutôt la plupart leur ont mis une image de traîtres!!!:22:

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      • #18
        moha le penseur

        bonsoir mon ami,alors donne moi des noms d hommes capables,je suis pas contre,mais evite surtout une personne belkhadem,pour tout les autres je suis aux ecoutes

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        • #19
          Faute d'un débat d'idées et d'une compétition sur des bases démocratiques, j'attends de savoir s'il y'a des candidats potentiels autres que ceux cités plus haut.

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          • #20
            A part ceux qui ont 25 ans d'ancienneté dans la candidature makache les candidats!

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            • #21
              Zaki

              Et pourtant c'est bien l'élève de Bouteflika ! Tu as changé d'avis ?
              Sois patiente, je te dirais pourquoi un jour
              Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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              • #22
                Zwina, as-tu une liaison avec Ouyahia ?
                La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                • #23
                  Pourquoi on nous fait choisir entre Bouteflika et Ouyahia ?! Tous deux sont des éléments du système rouillé. L’Algérie a besoin d’un nouveau souffle qui lui fera libérer ses énergies.
                  Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                  • #24
                    Dz

                    Parce que c'est toi je te livre l'une des raisons :

                    Moha--------------------------------------------------------------------------------

                    En tout cas c'est un tchatcheur de première classe , un peu comme son mentor Boutef qui le prépare, en douce, à sa succession ; Sinon que penser des missions qu'il lui confie à l'étranger alors qu'il n'a pas de poste officiel.

                    En tout cas c'est un gifle pour Belkhadem et Medelci .
                    Et une autre gifle pour Soltani qui est responsable du départ d'Ouyahia lorsqu'il affirmait avec Belkhadem qu'ils feraient mieux que lui Même à deux, ils n'y sont pas arrivés

                    Je précise qu'Ouyahia est un de ces satanés "arabisés"
                    Dernière modification par zwina, 06 juin 2008, 00h27.
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #25
                      Ouyahia to be or not to be

                      Le ministre Algerien qui m´a impressioné est bel et bien monsieurs Chakib Khalil , il jouit d´une grande réputation dans le monde de la finance internationale je le vois souvent sur la CNBC et Bloomberg s´il se presente aux elections je voterais pour lui les yeux fermés

                      Monsieurs Ahmed Ouyahia a le mérite d´avoir dirigé l´Algerie dans des moments trés difficile ( la decennie noire ) , il a du charisme et méme du style cependant son point faible á mon avis ( avec preuve á l´appuit ) reste ses connaissances limitées en Economie
                      Dernière modification par viking 65, 06 juin 2008, 12h53.

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                      • #26
                        Dans le mille viking 65 !

                        Chakib Khelil est très coté en amérique du Nord en en Asie car il est compétent ! Il sait de quoi il parle au contraire de nombreux ministres algériens qui font honte au pays. C'est un fin stratège. Il est très respecté ! C'est un manager chevronné. Il travaille sans relache ! Il serait capable de mener à terme de nombreux projets en défaillance. J'ai d'ailleurs apprécié sa sortie sur l'agriculture en Algérie. J'aimerai bien le voir à l'oeuvre en tant que premier ministre pour un début : je suis sûr qu'il formerai une équipe du tonnerre et il donnerait la plus haute importance à l'agriculture, la formation et la santé entre autres.
                        La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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                        • #27
                          Dz

                          Chabib Khelil roule pour les USA pas pour l'Algérie. De plus pour ce poste il lui faudrait abandonner la nationalité américaine comme l'exige la constitution.
                          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                          • #28
                            Un vieux article mais toujours d'actualité qui décrit bien le personnage Ahmed Ouyahia. L'un des plus brillants produits de la maison mère pour les moments difficiles du pouvoir. La mise en scène a commencée.

                            Ahmed Ouyahia ou la vraie vie... du pouvoir

                            Malek Sohbi
                            Libre Algérie
                            14-27 février 2000

                            Quelque chose a mal tourné dans l'itinéraire de Ahmed Ouyahia. Préparé par la maison mère pour devenir le premier président de la République de l'alternance régionale, il doit se contenter de jouer le rôle d'oil de Moscou dans le gouvernement de Abdelaziz Bouteflika... puisque Ahmed Benbitour n'existe pas. Ouyahia peut-il encore rebondir au-dessus des têtes horrifiés de ses concitoyens ?

                            S'il y avait encore un doute, il s'est effacé depuis la nomination du gouvernement Benbitour : Ahmed Ouyahia est bien le pilier de base du vrai pouvoir dans sa version d'avant-scène, «civile costume deux pièces». Ministre d'Etat, ministre de la Justice et grand verrouilleur de la République en soif de vérité, secrétaire général du parti qui compte le plus d'élus dans le pays, véritable patron par filiation du secteur public économique, à travers les holdings et le CNPE que contrôle son ami Ahmed Tibaoui, parrain de la plupart des organismes de la finance et de l'investissement nés à son époque, il a une main dans le Conseil constitutionnel comme dans le corps des walis et presque partout où se discute une parcelle d'autorité faiseuse de fortunes. Ahmed Ouyahia a en définitive sans doute bien plus d'influence sur la vie politique de l'exécutif que Abdelaziz Bouteflika et ses trois ministres réunis (Zerhouni, Benachenhou et Temmar).

                            Il a réussi là où un général en retraite plutôt malhabile, Mohamed Betchine, a échoué. Il y a bien sûr une nette différence de style, de démarche. Mais surtout de personnalité : le général Betchine a décidé de rouler pour sa propre étoile en s'appuyant sur le pouvoir présidentiel factice de son ami Liamine Zeroual.

                            Ahmed Ouyahia, lui, n'a jamais envisagé une seule seconde une action d'émancipation à l'égard de la maison mère. Intelligence des situations ou carriérisme sans relief ?

                            Il est en tout cas l'exemple de l'exécutant discipliné, patient et laborieux. Celui qui peut à la longue susciter suffisamment de confiance chez ses mentors pour espérer camper de nouveaux personnages dans les fréquents et prévisibles moments de vacance de la République.

                            Dans le personnel gouvernant des militaires, Ahmed Ouyahia était annoncé de longue date comme un des plus brillants produits. Cursus cousu main. Mustapha Bey, dans un article publié par le journal électronique Algérie - Interface, situe en 1974 le recrutement de Ahmed Ouyahia par la sécurité militaire dès sa première année à l'Ecole nationale d'administration, un peu dans la tradition des «Kadrovie», ces cadres civils que le KGB formait dans la perspective d'occuper de hautes fonctions de l'Etat et dont Poutine est la plus cynique incarnation. Il est clair que le parcours du jeune Ahmed est bien protégé. Dans la diplomatie durant plus de 10 ans, un premier galop d'entraînement dans le gouvernement de Sid Ahmed Ghozali au poste de ministre délégué à la Coopération maghrébine, puis «la rencontre du destin» avec Liamine Zeoual qui le conduit au staff de la présidence dès le début 1994. Puis, dur à la peine et plus agile politiquement que son alter ego de la maison, Attaf, l'autre Ahmed, Ouyahia s'est imposé très vite comme le recours de choix des décideurs lorsque les premières velléités d'indépendance du tandem Zeroual-Betchine se sont manifestées, notamment après le 16 novembre 1995. Depuis les événements d'octobre 1988, il est le seul chef de gouvernement à avoir résisté trois années pleines et entières dans ses fonctions. Le soutien de la maison mère ne lui a jamais fait défection. Il était écrit dans son plan de carrière que sa gestion gouvernementale devait être couronnée de succès. Ni l'été terrible des massacres jusqu'aux portes d'Alger, ni les scandales sans nom des élections législatives et surtout municipales où a été mise à nu une fraude massive et systématique, ni le cortège des protestations sociales contre les dissolution d'entreprises, ni les rapports accablants des ONG des droits de l'homme sur la situation dans le pays, ni même le tir de front de la mouvance Betchine n'ont eu raison de son magistère.

                            La démission de Zeroual a fini par le déstabiliser. Sa tutelle des Tagarins n'avait pas encore écrit les pages suivantes du scénario qui devaient faire de lui le candidat fort du système à la présidence de la République à l'échéance légale de novembre 2000. Ouyahia n'avait pas eu le temps à l'automne 1998 de faire oublier son image de bourreau à l'opinion nationale. Il avait pourtant commencé la manouvre en stoppant les dissolutions d'entreprises et en envisageant un style nouveau de gouvernement, faisant passer Betchine pour cause principale de l'arbitraire ambiant.

                            A la question que lui posait un journaliste il y a un an sur les raisons qui l'amenaient à soutenir la candidature du très indépendant Abdelaziz Bouteflika, Ahmed Ouyahia répondait sans hésiter : «C'est la chose la plus naturelle que de soutenir un homme comme Bouteflika.» Discipline de corps : il est impensable d'aller contre les choix de la maison mère. On ne peut pas avoir raison contre elle. Ouyahia attendra donc son tour. Mais voilà qu'un nouveau changement de plan de vol intervient. Bouteflika se prend au sérieux, agace son monde avec ses fanfaronnades sur ses pouvoirs réels, prétend devant des étrangers, qui n'en croient pas un mot, qu'il contrôle tout et décide de tout. Alors, Ahmed Ouyahia, qui, afin de mieux rebondir, était promis à une semi-retraite en prévision de la prochaine crise de pouvoir, redevient très utile dans ce bras de fer précoce. Il est remis ostentatoirement au devant de la scène comme pour clairement marquer les territoires, signifier à tous qui commande vraiment le pays. Tous les discours hyperpopulistes de Bouteflika sur la dérive de l'administration et sur la déliquescence de l'Etat soudoyé par les forces mercantiles qu'il a libérées ont été rayés d'un trait : Ahmed Ouyahia est le totem phallique de la toute-puissance de l'armée planté dans le jardin d'un président verbeux méritant une leçon.

                            Il n'est pas encore Basri dans le gouvernement Youssoufi ni Poutine sous la présidence bouteflikienne de Boris Eltsine, mais pour deux cents interviews présidentielles, un recueil du point de vue de Ahmed Ouyahia sur la conduite des affaires de l'Etat peut renseigner bien plus sérieusement sur la tendance de l'opinion des maîtres du pays. Ainsi, aux dernières nouvelles, Ahmed Ouyahia ne serait pas un fervent supporter d'une énième révision constitutionnelle, d'autant qu'il se croit le parrain de la toute dernière, celle de novembre 1996.
                            Dernière modification par shadok, 06 juin 2008, 17h30.
                            Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                            • #29
                              Le bendir est sorti pour Ouyahia...
                              Les lahassines l'gasaa ont déjà sorti l'artillerie?

                              Pauvre Algérie que chacun roule à sa manière !...
                              ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                              • #30
                                En tout cas quand je lis ça :

                                Depuis une semaine, des rumeurs persistantes, relayées par la presse, évoquaient le départ de M. Ouyahia, secrétaire général du Rassemblement national démocratique (Rnd), l’une des composantes de l’Alliance gouvernementale, qui regroupe également le Fln, majoritaire à l’Assemblée populaire nationale (Apn), et le parti islamiste du Mouvement de la société de la Paix (Msp).

                                La politique suivie par M. Ouyahia, notamment sur le plan social où il s’opposait à l’augmentation des salaires de la fonction publique, a fait l’objet ces derniers temps de vives critiques de la part de Abdelaziz Belkhadem, mais aussi d’un autre ministre d’Etat, Bouguerra Soltani, chef du Msp.

                                MM. Belkhadem et Soltani ont réclamé le départ de M. Ouyahia, auquel ils reprochaient notamment «les retards» accusés dans l’application du programme du président Bouteflika, selon le quotidien francophone El Watan de mercredi.

                                M. Belkhadem, qui fut ministre des Affaires étrangères d’août 2000 jusqu’au dernier remaniement ministériel du 1er mai 2005, s’était opposé récemment à ce que M. Ouyahia fasse sa déclaration de politique générale devant les députés, conformément aux dispositions de la Constitution algérienne. M. Ouyahia, qui avait introduit une demande en ce sens au bureau de l’Apn, a dû renoncer à se présenter devant les députés après le refus du président de cette institution, Amar Sâadani, de répondre favorablement à sa demande, selon la presse.

                                M. Ouyahia s’opposait par ailleurs à un projet de Abdelaziz Belkhadem visant à réviser la Constitution, en portant notamment le nombre de mandats présidentiels autorisés à trois, contre deux actuellement.
                                Je ne peux m'empêcher de rire en pensant à Belkhadem et Soltani
                                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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