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L’activité d’exploration à Sonatrach a payé. En effet, il est question de la découverte récente d’un nouveau gisement gazier dans la région de Hassi R’Mel, en attendant l’exploration et la mise en évidence d’autres gisements dans le futur.
S’exprimant lors de son passage à l’émission de «L’invité de la Rédaction» de la Chaîne III, Mahmoud Djidjelli, directeur de Division pétrolière engineering développement, activité exploration et production à Sonatrach, a eu à expliquer l’importance et l’impact d’une telle découverte. «Avec la découverte de ce nouveau gisement gazier à Hassi R’Mel, la Sonatrach peut mettre 10 milliards m3 supplémentaires sur le marché mondial d’ici à la fin de l’année», a-t-il annoncé.
S’enorgueillissant du fait que la découverte en question s’est faite «à 100%» par le groupe Sonatrach, une manière à lui de mettre en avant les compétences des équipes algériennes en matière d’exploration, Djidjelli a enchaîné en soutenant que «cette capacité va augmenter en 2023, et ce, grâce au forage età la récupération des puits». Aussi, l’avantage qu’offre cette nouvelle découverte est la possibilité de son exploitation dans de brefs délais.
«L’emplacement de cette découverte est plus important que les volumes qu’elle va offrir», lance-t-il, précisant que «contrairement aux autres gisements qui requièrent 15 à 20 ans pour leur exploitation, celui-ci peut être développé en six mois, compte tenu de son emplacement». Et de préciser que «tout est fin prêt, à savoir le planning des travaux, les installations pour le traitement, le réseau de collecte et de production». Dans le même ordre d’idées, l’hôte de l’invité de la rédaction explique que la Sonatrach ne compte nullement s’arrêter à cette récente découverte.
«D’autres gisements pétroliers et gaziers sont en cours d’exploration», fait-il savoir, précisant que «80% de l’activité de Sonatrach est orientée vers l’exploration». Pour étayer son propos, il enchaîne en soutenant que «nous avons déjà entamé le développement de la zone de Touggourt, qui a un potentiel de 80 000 barils/j», avant d’évoquer «le gisement d’Aïn Tsila».
Selon lui, ce dernier entrera en production dès 2023, et ce, avec une capacité de 12 millions m3/j. Sollicité par ailleurs à propos de l’exploration pétrolière en offshore, l’hôte de l’invité de la rédaction lance sans tergiverser que «les travaux en offshore ont déjà commencé et la sismique 3D a déjà été acquise et évaluée au large de Skikda», en précisant que «les travaux se poursuivent à Tlemcen, Mostaganem, Bejaïa, Skikda». S’agissant de son estimation par rapport au potentiel de ces régions, Djillelli n’a pas avancé de chiffres en indiquant que «le potentiel n’est pas encore avéré», notant que «les potentiels en offshore ne sont pas importants, vu la cherté des coûts d’investissement».
Horizons
S’exprimant lors de son passage à l’émission de «L’invité de la Rédaction» de la Chaîne III, Mahmoud Djidjelli, directeur de Division pétrolière engineering développement, activité exploration et production à Sonatrach, a eu à expliquer l’importance et l’impact d’une telle découverte. «Avec la découverte de ce nouveau gisement gazier à Hassi R’Mel, la Sonatrach peut mettre 10 milliards m3 supplémentaires sur le marché mondial d’ici à la fin de l’année», a-t-il annoncé.
S’enorgueillissant du fait que la découverte en question s’est faite «à 100%» par le groupe Sonatrach, une manière à lui de mettre en avant les compétences des équipes algériennes en matière d’exploration, Djidjelli a enchaîné en soutenant que «cette capacité va augmenter en 2023, et ce, grâce au forage età la récupération des puits». Aussi, l’avantage qu’offre cette nouvelle découverte est la possibilité de son exploitation dans de brefs délais.
«L’emplacement de cette découverte est plus important que les volumes qu’elle va offrir», lance-t-il, précisant que «contrairement aux autres gisements qui requièrent 15 à 20 ans pour leur exploitation, celui-ci peut être développé en six mois, compte tenu de son emplacement». Et de préciser que «tout est fin prêt, à savoir le planning des travaux, les installations pour le traitement, le réseau de collecte et de production». Dans le même ordre d’idées, l’hôte de l’invité de la rédaction explique que la Sonatrach ne compte nullement s’arrêter à cette récente découverte.
«D’autres gisements pétroliers et gaziers sont en cours d’exploration», fait-il savoir, précisant que «80% de l’activité de Sonatrach est orientée vers l’exploration». Pour étayer son propos, il enchaîne en soutenant que «nous avons déjà entamé le développement de la zone de Touggourt, qui a un potentiel de 80 000 barils/j», avant d’évoquer «le gisement d’Aïn Tsila».
Selon lui, ce dernier entrera en production dès 2023, et ce, avec une capacité de 12 millions m3/j. Sollicité par ailleurs à propos de l’exploration pétrolière en offshore, l’hôte de l’invité de la rédaction lance sans tergiverser que «les travaux en offshore ont déjà commencé et la sismique 3D a déjà été acquise et évaluée au large de Skikda», en précisant que «les travaux se poursuivent à Tlemcen, Mostaganem, Bejaïa, Skikda». S’agissant de son estimation par rapport au potentiel de ces régions, Djillelli n’a pas avancé de chiffres en indiquant que «le potentiel n’est pas encore avéré», notant que «les potentiels en offshore ne sont pas importants, vu la cherté des coûts d’investissement».
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