Pour le Maroc, toutes les occasions sont bonnes pour s’attaquer à l’Algérie, quitte à instrumentaliser un fait mineur à l’instar d’un match de football opposant des adolescents des deux pays.
Au lendemain du match de finale des U17 opposant l’Algérie au Maroc et qui a tourné à l’avantage des cadets algériens, Aziz Akhannouch, chef du gouvernement marocain, a été vu haranguer des jeunes, annonçant le soutien de son gouvernement et son entière solidarité avec l’équipe de football marocaine. Dans un discours hostile à l’Algérie, le chef du gouvernement n’a pas hésité à utiliser les termes d’«attaques barbares» dont auraient fait l’objet les jeunes de son pays dans un match, dit-il, qui était dénué de la «moindre condition de sécurité».
Le mot est lâché : «sécurité». Le chef de l’exécutif marocain venait ainsi de donner le mot d’ordre de la prochaine attaque, en laissant le soin aux «youtubeurs» et médias de pacotille de relayer à leur guise et l’extrapoler à tout ce qui touche à l’Algérie. Dans une profusion de commentaires, les médias inféodés au Makhzen qui n’ont pas hésité à y voir la «main des responsables» ont repris en chœur le mot d’ordre pour torpiller l’organisation du prochain sommet de la Ligue arabe que le Maroc ne désespère pas de vouloir remettre en cause.
En dépit des assurances du SG de la Ligue arabe quant à sa tenue en date et lieu convenus et des annonces de participation des chefs d’Etat arabes.
Les médias s’épanchent
En créant la confusion entre des incidents ayant émaillé un match de football, banals somme toute, le chef de l’exécutif marocain n’hésite pas à instrumentaliser des «bambins», pour s’attaquer à l’Algérie. Il viserait, en fait, à reprendre le contrôle de la situation intérieure qui lui échappe totalement suite aux manifestations demandant son départ.
Cela s’est produit notamment lors des manifestations successives contre la cherté de la vie, contre la normalisation et pour en finir le scandale de harcèlement des Marocaines dans le bureau de liaison de l’entité sioniste. En gardant le silence sur cette dernière affaire pour ne pas froisser son protecteur sioniste et n’ayant pas les moyens de répondre favorablement aux demandes des Marocains.
Aux cris d’orfraie lancés après le match des U17, le régime marocain a eu recours à la même attitude de vierge effarouchée, comme à chaque fois qu’il est contrarié dans ses basses manœuvres, pour salir l’image de l’Algérie et la discréditer auprès de l’opinion publique et des instances internationales.
Si cette pirouette qu’il adoube par un puissant lobbying n’a pas donné ses fruits en politique, concernant le sommet arabe, le Maroc ne désespère pas de chercher à l’appliquer dans tous les domaines.
Au lendemain du match de finale des U17 opposant l’Algérie au Maroc et qui a tourné à l’avantage des cadets algériens, Aziz Akhannouch, chef du gouvernement marocain, a été vu haranguer des jeunes, annonçant le soutien de son gouvernement et son entière solidarité avec l’équipe de football marocaine. Dans un discours hostile à l’Algérie, le chef du gouvernement n’a pas hésité à utiliser les termes d’«attaques barbares» dont auraient fait l’objet les jeunes de son pays dans un match, dit-il, qui était dénué de la «moindre condition de sécurité».
Le mot est lâché : «sécurité». Le chef de l’exécutif marocain venait ainsi de donner le mot d’ordre de la prochaine attaque, en laissant le soin aux «youtubeurs» et médias de pacotille de relayer à leur guise et l’extrapoler à tout ce qui touche à l’Algérie. Dans une profusion de commentaires, les médias inféodés au Makhzen qui n’ont pas hésité à y voir la «main des responsables» ont repris en chœur le mot d’ordre pour torpiller l’organisation du prochain sommet de la Ligue arabe que le Maroc ne désespère pas de vouloir remettre en cause.
En dépit des assurances du SG de la Ligue arabe quant à sa tenue en date et lieu convenus et des annonces de participation des chefs d’Etat arabes.
Les médias s’épanchent
En créant la confusion entre des incidents ayant émaillé un match de football, banals somme toute, le chef de l’exécutif marocain n’hésite pas à instrumentaliser des «bambins», pour s’attaquer à l’Algérie. Il viserait, en fait, à reprendre le contrôle de la situation intérieure qui lui échappe totalement suite aux manifestations demandant son départ.
Cela s’est produit notamment lors des manifestations successives contre la cherté de la vie, contre la normalisation et pour en finir le scandale de harcèlement des Marocaines dans le bureau de liaison de l’entité sioniste. En gardant le silence sur cette dernière affaire pour ne pas froisser son protecteur sioniste et n’ayant pas les moyens de répondre favorablement aux demandes des Marocains.
Aux cris d’orfraie lancés après le match des U17, le régime marocain a eu recours à la même attitude de vierge effarouchée, comme à chaque fois qu’il est contrarié dans ses basses manœuvres, pour salir l’image de l’Algérie et la discréditer auprès de l’opinion publique et des instances internationales.
Si cette pirouette qu’il adoube par un puissant lobbying n’a pas donné ses fruits en politique, concernant le sommet arabe, le Maroc ne désespère pas de chercher à l’appliquer dans tous les domaines.
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