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les installations en Algérie facilitent l'arrivée illégale des Syriens, Yéménites, Égyptiens, Pakistanais et Tunisiens

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  • les installations en Algérie facilitent l'arrivée illégale des Syriens, Yéménites, Égyptiens, Pakistanais et Tunisiens

    Las facilidades de Argelia permiten la llegada de sirios, yemeníes, egipcios, paquistaníes y tunecinos

    La ruta de la inmigración irregular desde Argelia se ha incrementado en las últimas semanas con diferentes nacionalidades que buscan acceder en patera a las cosas españolas




    PUBLICADO 22/09/2022
    Las mafias que hacen negocio con la llegada de inmigrantes a España tienen noviembre marcado en su calendario. Ese mes marcará el final de la temporada de pateras y tendrán que buscarse otros beneficios, a buen seguro al margen de la ley. Los vientos favorables que están programados para las próximas fechas serán claves para un nuevo intento de llegada masiva a nuestro país desde las costas de Argelia, según fuentes consultadas por Vozpópuli.

    Las cifras de inmigrantes irregulares llegados a España en patera en lo que llevamos de años son más de 21.000, por el aumento que se ha generado por la ruta argelina, según explica a Vozpópuli el portavoz de la asociación mayoritaria en la Guardia Civil Jucil, Agustín Leal. Estas embarcaciones se trasladan hacia el Levante con destinos como Almería, Murcia, Alicante y las Islas Baleares. Uno de los grandes problemas de estas llegadas es que desde la ruptura del pacto de Argelia y España estas personas ya no pueden ser repatriadas.

    Sin embargo, la ruta del Estrecho "se ha parado un poco" en contraposición con la inmigración por el Atlántico. Todo ello por el acuerdo del Gobierno con Marruecos que ha intensificado el control en las fronteras. Esas vigilancias se han incrementado en Ceuta y Melilla pero no en Canarias. A las islas llegaron un 27,3% más de inmigrantes en lo que llevamos de año que en el mismo periodo de 2021.

    La dureza de Marruecos se contrapone con la tibieza y las complicaciones que se viven desde Argelia. "Estaban haciendo sus agentes su trabajo con gran profesionalidad pero por cuestiones políticas se han reducido sus ayudas", destaca el representante de Jucil.
    Las fronteras de Argelia, claves para las mafias


    La última gran oleada de inmigrantes se produjo el fin de semana del 9 al 11 de septiembre. Casi 900 llegaron a las cosas españolas desde puertos argelinos. "Es verdad que la mayoría son de Argelia pero se han detectado sirios, yemeníes, paquistaníes, egipcios y tunecinos", advierte Agustín Leal.

    Las complicadas relaciones entre España y Argelia han encendido la mecha de los trayectos ilegales en sus puertos. Uno de los principales problemas es la situación geográfica de este país ya que limita con: Marruecos, Mauritania, Malí, Níger, Libia y Túnez. Una amplio abanico de opciones para las mafias que trafican con estos inmigrantes.

    Otra de las críticas de Leal tiene su foco en la actuación del Open Arms. El portavoz de Jucil denuncia que el barco de esta ONG traslada a los irregulares de las pateras a España cuando el puerto más cercano es Argelia. Una acción que va contra la legislación actual. "Al final el todo vale es como un efecto llamada si se permite hacer eso", lamenta Leal.
    3.000 euros por viajar en patera


    Las mafias que se aprovechan de estas personas tienen sus cabecillas fundamentales en los patrones de estas embarcaciones. En los últimos tiempos se ha detectado un aumento de los precios por persona y trayecto. Si el año pasado llegar a España costaba 1.500 euros, la cantidad este veranos se ha incrementado en 3.000 euros.

    Para los investigadores de la Policía Nacional y la Guardia Civil es muy complicado llegar hasta estos patrones. En las pateras se guarda una 'ley del silencio' ante el temor de las represalias por parte de los que se quedan en tierra y no arriesgan sus vidas en estos trayectos.
    Se buscan a los patrones


    Muchos de los inmigrantes que se suben en los barcos no pagan toda la cantidad y mantienen una deuda con las redes internacionales que les llevan hasta España. De ahí viene el miedo a confesar quién es el que manda en las embarcaciones. Los agentes que se encargan de interceptarles se orientan por los dispositivos móviles o los GPS para dar con su identidad.

    En los últimos meses también se han acelerado también los procesos judiciales contra los representantes de estas mafias. A pesar de las largas colas que existen en los tribunales españoles, los procesos contra estos patrones se están tramitando en un plazo de un mes. Todo ello con el objetivo de cercar a estos delincuentes y no puedan realizar más viajes.
    Año récord de pateras


    Al margen de Jucil, otras agrupaciones, como la asociación Independientes de la Guardia Civil (IGC) han mostrado su preocupación "ante las avalanchas de inmigrantes y el desborde que pueden sufrir ciertos servicios". Según sus cifras, en lo llevamos de año, más de 15.000 personas han entrado de manera irregular en España. A Baleares han llegado en torno a 1.350 migrantes, en cerca de 100 pateras, de las más de 800 que han llegado a nuestras costas.

    Así, 2022 se convertirá en año récord, según datos ofrecidos por Interior en la ruta canaria, ya que incrementa su entrada un 25%, con más de 10.000 migrantes solo este año. En el trayecto a nuestro país se han dejado la vida 978 personas.

    source :Vozpópuli.


  • #2
    Traduction

    Les installations de l'Algérie permettent l'arrivée de Syriens, Yéménites, Égyptiens, Pakistanais et Tunisiens

    La route de l'immigration irrégulière depuis l'Algérie s'est accrue ces dernières semaines avec différentes nationalités cherchant à accéder aux choses espagnoles par bateau



    PUBLIÉ le 22/09/2022
    Les mafias qui font affaire avec l'arrivée des immigrés en Espagne ont marqué novembre sur leur calendrier. Ce mois-là marquera la fin de la saison des bateaux et d'autres avantages devront être recherchés, sûrement hors la loi.
    Les vents favorables prévus pour les prochaines dates seront la clé d'une nouvelle tentative d'arrivée massive dans notre pays depuis les côtes algériennes
    , selon des sources consultées par
    Vozpópuli
    .

    Le nombre d'immigrants irréguliers arrivés en Espagne dans de petits bateaux jusqu'à présent est supérieur à 21 000, en raison de l'augmentation générée par la route algérienne, selon ce que le porte-parole de l'association majoritaire de la Garde civile Jucil, Agustín , explique à
    Vozpópuli
    Loyal.
    Ces bateaux se déplacent vers Levante avec des destinations telles qu'Almería, Murcie, Alicante et les îles Baléares.
    L'un des grands problèmes de ces arrivées est que depuis la rupture du pacte entre l'Algérie et l'Espagne ces personnes ne peuvent plus être rapatriées.

    Cependant, la route du détroit "s'est un peu arrêtée" contrairement à l'immigration outre-Atlantique.
    Tout cela grâce à l'accord du gouvernement avec le Maroc, qui a intensifié le contrôle aux frontières. Ces surveillances ont augmenté à Ceuta et Melilla mais pas aux Canaries
    . Jusqu'à présent cette année, 27,3 % d'immigrants supplémentaires sont arrivés dans les îles par rapport à la même période en 2021.

    La dureté du Maroc contraste avec la tiédeur et les complications vécues par l'Algérie. « Leurs agents faisaient leur
    travail avec beaucoup de professionnalisme mais pour des raisons politiques leur aide a été réduite
    », souligne le représentant de la Jucil.

    Les frontières de l'Algérie, clés pour les mafias

    La dernière grande vague d'immigrés a eu lieu le week-end du 9 au 11 septembre. Presque 900 sont arrivés aux choses espagnoles depuis les ports algériens.
    "C'est vrai que la majorité vient d'Algérie, mais des Syriens, des Yéménites, des Pakistanais, des Egyptiens et des Tunisiens ont été détectés", prévient Agustín Leal.
    Les relations compliquées entre l'Espagne et l'Algérie ont allumé la mèche des voyages illégaux dans leurs ports.
    L'un des principaux problèmes est la situation géographique de ce pays puisqu'il est frontalier avec : le Maroc, la Mauritanie, le Mali, le Niger, la Libye et la Tunisie. Un large éventail d'options pour les mafias qui font le trafic de ces immigrants.
    Une autre des critiques de Leal porte sur la performance de l'Open Arms.
    Le porte-parole de Jucil dénonce que le navire de cette ONG transporte des bateaux irréguliers vers l'Espagne alors que le port le plus proche est l'Algérie.
    Une action qui va à l'encontre de la législation en vigueur. "En fin de compte, tout ce qui se passe est comme un effet d'appel s'il est autorisé à le faire", déplore Leal.

    3 000 euros pour voyager en bateau

    Les mafias qui profitent de ces gens ont leurs principaux chefs dans les patrons de ces bateaux. Ces derniers temps, une augmentation des prix par personne et par itinéraire a été détectée.
    Si l'année dernière, se rendre en Espagne coûtait 1 500 euros, le montant cet été a augmenté de 3 000 euros.
    Pour les enquêteurs de la Police Nationale et de la Garde Civile il est très difficile d'accéder à ces schémas.
    Une « loi du silence » est observée dans les bateaux par crainte de représailles de la part de ceux qui restent à terre et ne risquent pas leur vie lors de ces voyages.
    Les patrons sont recherchés

    Beaucoup
    d'immigrés qui embarquent sur les bateaux ne paient pas l'intégralité de la somme et entretiennent une dette auprès des réseaux internationaux qui les emmènent en Espagne.
    De là vient la peur d'avouer qui s'occupe des bateaux. Les agents chargés de les intercepter sont guidés par des appareils mobiles ou des GPS pour retrouver leur identité.

    Ces derniers mois, les poursuites judiciaires contre les représentants de ces mafias se sont également accélérées.
    Malgré les longues files d'attente qui existent devant les tribunaux espagnols, les poursuites contre ces employeurs sont traitées dans un délai d'un mois.
    Tout cela dans le but d'encercler ces criminels afin qu'ils ne puissent plus faire de voyages.

    Année record pour les petits bateaux

    Hormis Jucil, d'autres collectifs, comme l'Association indépendante de la Garde civile (IGC) ont manifesté leur inquiétude "devant les avalanches d'immigrés et le débordement que peuvent subir certains services".
    Selon leurs chiffres, jusqu'à présent cette année, plus de 15 000 personnes sont entrées illégalement en Espagne. Environ 1 350 migrants sont arrivés aux îles Baléares, dans près de 100 petits bateaux, sur les plus de 800 qui ont atteint nos côtes.
    Ainsi, 2022 deviendra une année record, selon les données proposées par l'Intérieur sur la route canarienne, puisqu'elle augmente son entrée de 25 %, avec plus de 10 000 migrants cette année seulement.
    Sur le chemin de notre pays, 978 personnes ont perdu la vie.

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    • #3
      une vraie passoire cette frontière algérienne, trafic de carburant, psychotrope, armes, drogues, immigrés....tout y passe, et tout ça sous le regard complaisant des forces de l'ordre de la junte

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