Le chanteur Oulahlou empêché de quitter l’Algérie

[Bachi]

au contraire, il est en plein dans le sujet. Evidemment qu'un chanteur marocain qui aurait chanté "pouvoir assassin" aurait pris 30 ans de prison sans autre forme de procès.
l'Algérie était un pays avant-gardiste en Afrique du Nord (indépendamment de sa politique extérieur minable, le FLN autorisait une certaine liberté de la presse et d'expression). C'est dorénavant terminé. et l'Algérie depuis Tebboune est devenu comme le Maroc, un pays ou l'on emprisonne les journalistes et les chanteurs.

En effet, l'Algérie est bien à l'avant garde. Le Hirak des millions d'Algériens à manifester durant des dizaines de vendredis sans aucune goutte de sang ni d'arrestation en est la parfaite preuve. Un Hirak qui a mis à la porte un président et son gouvernement et mis derrière les barreaux tant de ministres et de généraux. Ca ne peut pas arriver au Maroc et quand le peuple marocain avait tenté de forcer son destin, le makhzene ne le loupa pas. Des emprisonnements de longue durée, la torture, etc. Les derniers de la liste, les Rifains en savent quelque chose.

Le problème de l'Algérie est qu'on a un système pourri tentaculaire, tu coupes des têtes, il t'en pousse d'autres. La démocratie et l'État de droit ont aussi besoin d'un peuple qui les veulent vraiment et qui a la sagesse de s'unir pour les avoir. Ca prend de l'organisation mais les organisateurs pour commencer risquent d'être jetés en prison à l'instant oû ils commencent à songer à s'organiser.
Donc patience et longueur d'âme exigés.

[sekrouf]

Tu es encore hors sujet.

Votre participation elle-même à une discussion strictement algérienne est un hors sujet !

Franchement, venir critiquer ce qui se passe chez le voisin alors que c'est 1 milliard de fois pire chez vous, waw waw waw il faut oser chez oser !!!

[marocain88]

Bachi
le système a emprisonné des dizaines de personnes pendant le Hirak. Certains sont encore en prison.

[Bachi]

M88
oui, c'est vrai...mais pour des séjours très courts. Rien à voir avec les peines infligées au Maroc...

[Saladin7757]

Au Maroc, c'est pire ! Le pauvre peuple marocain subit de plein fouet une dictature morale (superstition) : il doit admettre que le charlatan roi M6 est "Commandeur des Croyants" ! Le summum de l'incurie humaine !

[nassim]

Le Hirak des millions d'Algériens à manifester durant des dizaines de vendredis sans aucune goutte de sang ni d'arrestation en est la parfaite preuve.

Biensûr qu'il y avait des arrestations et des emprisonnements de centaines de militants du Hirak. Un petit rappel avec un extrait d'un article d'El Watan de 10/2019 (ci-dessous).

As-tu oublié l'emprisonnement cruel et arbitraire du défunt Lakhdar Bouregaa à l'âge de 86 ans en étant malade? En plus de son emprisonnement cruel pendant 6 mois, Lakhdar Bouregaa avait été diffamé et diabolisé par les médias publics y compris l'ENTV qui l'avaient accusé d'être un escroc et un faux moudjahid (voir vidéo 1).

Le mafieux fasciste Tebboune et ses acolytes du cartel ANP/FLN étaient totalement opposés au Hirak et ils ne l'avaient toléré que parce que le mafieux Bouteflika était difficilement défendable sur la scène internationale tant il était inapte pendant toute la durée du 4e mandat.

J'ai cité l'exemple de Lakhdar Bouregaa car il était un symbole du Hirak mais des centaines d'autres militants du Hirak avaient été emprisonnés arbitrairement par le régime fasciste du cartel ANP/FLN y compris des personnalités politiques comme Karim Tabbou, Samira Messouci qui a été emprisonnée pendant 6 mois juste pour avoir brandi le drapeau berbère...etc (voir vidéo 2).

Le minable mafieux Tebboune a largement prouvé sa nature raciste et fasciste. Son acharnement contre le chanteur kabyle Oulahlou n'est malheureusement pas surprenant.

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El Watan : Ils sont plus d’une centaine à croupir dans les prisons : Les détenus, leaders symboliques du hirak
Depuis le début du hirak à aujourd’hui, on en est facilement à une centaine de prisonniers d’opinion, un chiffre qui est appelé, on en a bien peur, à augmenter, à en juger par la célérité et la frénésie avec lesquelles la justice et son bras sécuritaire arrêtent et jettent les activistes en prison, à tour de bras.

Il ne se passe quasiment pas de jour sans qu’une nouvelle arrestation, une nouvelle rafle, ne soit opérée à l’encontre de figures emblématiques du hirak et autres manifestants pacifiques dont le seul tort est d’avoir cru au rêve du 22 Février. Et depuis l’annonce de l’échéance du 12 décembre, l’arbitraire a redoublé de férocité.