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Un homme d'affaires emprisonné a retiré 1000 milliards de ses fonds saisis.
Les symboles du « cartel financier » suite à des dossiers de corruption continuent de tenter désespérément de contourner la justice, en trouvant des artifices leur permettant de saisir leur argent retenu par la justice, en collusion avec des dirigeants de banques et de faux propriétaires de sociétés de manutention, ce qui est bien le cas. -l'homme d'affaires connu "G.Abdul" Al-Haq, qui comparaîtra jeudi devant le pôle pénal économique et financier, pour les faits de son obtention de projets liés à "l'eau" et la réalisation de barrages valant des milliards de dinars par des méthodes suspectes , avec le retrait subreptice de 1000 milliards de centimètres de son compte bancaire saisi par le juge d'instruction de la cinquième chambre du pôle économique et financier, qui se trouve dans sa cellule de détention.
Le dossier comprend des scandales de haut vol liés à la gestion suspecte des projets hydrauliques au niveau de l'Agence Nationale des Barrages et Dérivations, tel qu'il sera examiné par la quatrième chambre du Tribunal Pénal Economique et Financier de Sidi M'hamed, le jeudi 16 mars, puisque l'ancien ministre des Ressources en eau Baraki Irzki va comparaitre et sa famille et l'homme d'affaires « G. . Abdel-Haq et environ 80 prévenus, dont des dirigeants de Trust Bank, des concessionnaires économiques personnes physiques et morales, des cadres et des membres de la commission d'ouverture des plis de l'Agence nationale des barrages et des transferts de fonds.
Les enquêtes dans l'affaire ont conclu qu'Arezki Baraki entretient une vieille amitié avec l'homme d'affaires appelé "G. Abdel-Haq", et que ce dernier, avec ses frères, obtient plusieurs projets, tels que la construction de barrages, la pose de canalisations d'eau , achèvement d'une station de pompage d'eau, etc.. Surtout pendant la période où l'ancien ministre, Arezki Baraki, a assumé le poste de directeur général de l'Agence nationale des barrages et des transferts de fonds, en échange de ce que ce dernier obtienne des avantages financiers. D'autre part, l'homme d'affaires bien connu "G. Abdel-Haq", bien qu'il soit en prison, Il a disposé des fonds retenus par le juge d'instruction de la Cinquième chambre au Pôle pénal économique et financier, et a pu retirer 1 000 milliards de centimètres avec la complicité des cadres de l'agence "Trust Bank", qui ont ouvert un nouveau compte pour les personnes morales. , sur la base du remboursement des dettes des patrons d'entreprises sous-traitantes, mais après que les enqueteurs se sonr apercu qu'ils sont des complices, le Parquet de la République près le Pôle Pénal Economique et Financier en a été saisie et a déjoué le stratagème de « fraude » à la justice, car ceux-ci ont été arrêtés et placés en détention provisoire, en attendant ce que le procès révélera.
L'ancien ministre des ressources en eau, Baraki Irzeqi, a été accusé de lourdes charges inscrites dans le code pénal et la loi anti-corruption et de prévention, telles que le fait d'avoir intentionnellement accordé à d'autres des privilèges injustifiés lors de la conclusion de contrats et d'annexes en violation des dispositions législatives et réglementaires en vigueur en force, demander et accepter des avantages indus, recevoir une rémunération et un avantage à l'occasion de la préparation ou de la conduite de négociations en vue de conclure des marchés, dilapidation de fonds publics, utilisation illégale de biens et de fonds publics, conflit d'intérêts, enrichissement illégal et blanchiment d'argent.
Traduit arabe/francais
google traducteur.
echouroukonline.
putain, un bordel gangréné jusqu'a l'os.
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