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    Ahmed Attaf : interview Ech-chourouk TV -Vidéo


  • #2
    Algérie : le retour d’Ahmed Attaf aux Affaires étrangères
    Par: Makhlouf Mehenni 16 Mars 2023 à 20:32

    Un remaniement ministériel a été opéré ce jeudi 16 mars en Algérie. Ramtane Lamamra et Kamel Rezig quittent leurs postes respectifs de ministres des Affaires étrangères et du Commerce à la faveur de ce remaniement opéré par le président Abdelmadjid Tebboune.

    Ce sont les changements les plus notables apportés par le remaniement, sans constituer toutefois des surprises.

    À noter aussi le remplacement des ministres des Transports Kamel Beldjoud et des Finances Djamel Kessali, ainsi que la promotion de Ali Aoun, qui aura désormais sous sa coupe le secteur de l’industrie, en plus de la production pharmaceutique qu’il gérait jusque-là.
    Le départ de Kamel Rezig et de Ramtane Lamamra était dans l’air depuis plusieurs semaines. Néanmoins, si les raisons du remplacement du premier sont évidentes, celles ayant conduit au départ du second demeurent obscures.

    Ramtane Lamamra a été nommé chef de la diplomatie algérienne en juillet 2021, en remplacement de Sabri Boukadoum. C’était son troisième passage au poste après deux nominations sous Abdelaziz Bouteflika (entre 2013 et 2017 puis entre mars et avril 2019). Lors de son deuxième passage, il était aussi vice-premier ministre du gouvernement présidé par Noureddine Bedoui.

    Ces deux dernières années, Ramtane Lamamra a accompagné le redéploiement de la diplomatie algérienne sur la scène internationale et a eu notamment à gérer le dossier de la crise avec le Maroc. C’est lui qui a annoncé la rupture des relations diplomatiques entre l’Algérie et ce pays en août 2021, un mois après son retour aux affaires.
    Depuis quelques semaines, il a énigmatiquement disparu de la scène, n’assistant pas aux visites de hauts responsables étrangers. C’était par exemple le cas cette semaine à l’occasion des visites du président de l’Ouganda et du haut représentant de l’Union européenne pour les Affaires étrangères, Josep Borrell. Pour les observateurs, il était évident que le chef de la diplomatie algérienne ne survivrait pas au prochain remaniement.

    « S’il faut regretter le départ de Ramtane Lamamra, il faut aussi se féliciter du choix porté sur Ahmed Attaf pour le remplacer », indique un observateur très au fait des arcanes de la diplomatie algérienne.

    Ahmed Attaf, un homme au long parcours

    Le nouveau ministre des Affaires étrangères de l’Algérie, c’est donc Ahmed Attaf, 69 ans, titulaire du poste sous le président Zeroual entre janvier 1996 et décembre 1999.

    « C’est un homme au long parcours diplomatique. Il peut être opérationnel dès demain. Il a occupé cette fonction pendant les années de crise diplomatique et sécuritaire. Il était avec Ramtane Lamamra le plus proche collaborateur du Dr Ahmed Taleb Ibrahimi (ministre des Affaires étrangères dans les années 1980, ndlr) », rappelle le même observateur.
    Une source diplomatique interrogée par TSA décrit Ahmed Attaf comme une « lumière » de part de sa « belle plume » et les fonctions qu’il a occupées.

    Né en 1953 à Ain Defla, Attaf est diplômé de l’École nationale d’administration (ENA). Avant de devenir chef de la diplomatie algérienne en 1996, il avait occupé le poste de secrétaire d’État au ministère des Affaires étrangères, chargé des affaires africaines et maghrébines, après avoir été ambassadeur d’Algérie en Inde, en Yougoslavie et au Royaume-Uni. Il a donc un parcours aussi étoffé que celui de son prédécesseur.

    « Il maîtrise trois langues. Finalement, il ne fait que retourner dans un poste de responsabilité qui ne lui est pas inconnu », ajoute la source diplomatique.

    Kamel Rezig n’a pas le même vécu. Il a connu sa première expérience politique sous Abdelmadjid Tebboune, mais il est le doyen du gouvernement. Il a été nommé ministre du Commerce dans le premier gouvernement de Abdelmadjid Tebboune en janvier 2020 et est resté en poste jusqu’à ce jeudi 16 mars, bien qu’il ait été pendant toutes ces années le ministre le plus contesté du gouvernement.

    À sa décharge, sa venue à la tête du secteur a coïncidé avec le début de la crise sanitaire de Covid-19, accompagnée d’une multitude de pénuries de produits de base et de hausses des prix. Si certains lui ont trouvé des circonstances atténuantes, d’autres ont pointé du doigt ses méthodes dans la gestion des importations.

    Le président de la République n’a pas donné suite aux demandes de le remplacer, mais son départ est devenu inéluctable avec la persistance des pénuries et des hausses des prix. Le sort de Kamel Rezig était scellé lorsque le président Tebboune a critiqué sa gestion en plein conseil des ministres le 20 février dernier.
    Le lendemain, l’agence officielle APS a cité parmi les raisons de la « colère » présidentielle, le blocage des importations alors que le président avait demandé de les rationaliser. Le reproche était destiné au ministre du Commerce.

    Son remplacement à quelques jours d’un mois de ramadan qui risque d’éprouver davantage le pouvoir d’achat ne pouvait être mieux synchronisé. Le département est désormais confié au revenant au gouvernement, Tayeb Zitouni.

    TSA



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    • #3
      Attaf est diplômé de l’École nationale d’administration (ENA)
      Le mafieux Ahmed Attaf est issu de la même école pourrie qui a formé les sinistres mafieux archi corrompus Sellal, Ouyahia, Tebboune & cie qui étaient tous de fidèles caniches serviteurs du président le plus corrompu de l'histoire de l'Algérie : Abdelaziz Bouteflika.

      Cette école pourrie qu'est l'ENA a formé les mafieux qui dilapident et sabotent l'Algérie depuis plusieurs décennies y compris en faisant de l'Algérie un pays très corrompu et en faisant de la bureaucratie algérienne l'une des pires bureaucraties au monde comme l'illustre par exemple le rang de l'Algérie dans le classement Doing Business 2021 (facilité de faire des affaires) : 157e sur 190 pays.

      Au vu du nombre incroyable de cadres et de responsables corrompus qui sont issus de l'ENA, je pense que le nom de l'école devrait être changé en un nom plus pertinent du genre "Ecole nationale de la corruption" (ENC) ou mieux, "Ecole nationale de la mafia" (ENM)!

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      • #4
        nassim
        ils sont tous maffieux pour toi , on mets qui Zitot ?
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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        • #5
          École pourrie, je ne pense pas Du moins durant les années ,70
          elle était, selon les cursus enseigné en France et
          Bcp de professeurs français y enseigner
          A l'image de la faculté de médecine d Alger
          Jadis haut lieu très apprécié par nos voisins de l'est et de l'ouest
          Bcp de marocains et Tunisiens sont sortis d cette faculté
          Il est vrai que les diplômés de l'ENA étaient facilement injectés dans les rouages de l'etat
          Gone with the Wind.........

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          • #6
            Je suis assez d'accord avec Nassim. Les gens du système algériens, tous ces hauts fonctionnaires semblent tous de la même nature, des corrompus, n'ayant aucun intérêt pour le bien commun et l'avancement de l'Algérie. C'est le pouvoir qui les intéresse, non pas pour bien servir mais pour se servir.
            Malheureusement, oui, c'est la mentalité dans la haute fonction publique algérienne. J'en ai vu de tels bornés et entendu parler de telles malversations chez les cadres d'universités, haut lieu de savoir.
            Mais gardons-nous quand même de généraliser, il subsiste certaines exceptions.
            Dernière modification par Bachi, 17 mars 2023, 14h31.
            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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            • #7
              xenon

              Biensûr qu'il est un mafieux. Il est littéralement un membre fondateur du RND (aux côtés du mafieux Ahmed Ouyahia) qui est un parti archi corrompu qui a notamment soutenu avec ferveur le mafieux Bouteflika. Les FLN, RND & cie ne sont pas des partis politiques dans le sens démocratique mais de véritables groupes mafieux.

              Le mafieux Ahmed Attaf est un vieux routier du cartel mafieux ANP/FLN. Ci-dessous (voir vidéo), une petite vidéo ancienne avec un Ahmed Attaf qui blablate sur le terrorisme en Algérie en niant les origines du terrorisme djihadiste en Algérie. Un terrorisme créé par le cartel mafieux ANP/FLN en politisant l'Islam, en radicalisant les Algériens à la Charia saoudienne et en autorisant la création du parti daechien du FIS avant d'enrager les extrémistes du FIS en annulant leur victoire électorale.

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              • #8
                Biensûr qu'il est un mafieux. Il est littéralement un membre fondateur du RND (aux côtés du mafieux Ahmed Ouyahia) qui est un parti archi corrompu qui a notamment soutenu avec ferveur le mafieux Bouteflika.
                Des fraudeurs avérés aussi.
                ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                • #9
                  C'est vrai bcp de cadres en Algérie ont profité du système et sont legibles à la corruption
                  mais depuis les années 90 , on peut dire que la corruption a atteint toutes les couches de la société
                  La recherche d' un plus est littéralement pratiqué presque par tout le monde
                  Du chauffeur au général
                  On est devenu marocain dans cette pratique
                  Gone with the Wind.........

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                  • #10
                    Biensûr qu'il est un mafieux. Il est littéralement un membre fondateur du RND (aux côtés du mafieux Ahmed Ouyahia) qui est un parti archi corrompu qui a notamment soutenu avec ferveur le mafieux Bouteflika. Les FLN, RND & cie ne sont pas des partis politiques dans le sens démocratique mais de véritables groupes mafieux.
                    ok, je suis d'accord mais tu veux les remplacer par quoi en fait ?
                    la majorité des systèmes politiques dans le monde sont mafieux, excepté quelques pays nordiques et encore je ne suis même pas sur ...
                    on en revient à la question , y'a til une alternative sérieuse et crédible au système Algérien actuel ?

                    Un terrorisme créé par le cartel mafieux ANP/FLN en politisant l'Islam, en radicalisant les Algériens à la Charia saoudienne et en autorisant la création du parti daechien du FIS avant d'enrager les extrémistes du FIS en annulant leur victoire électorale.
                    c'est ca la démocratie , tout les courants ont droit de s'exprimer .
                    si on organise des élections libres ,il est certain que les deux courants nationalistes et conservateurs religieux rafleront la mise , il s'agit d'être conséquents avec soi même , est ce que tu accepterais ou non de ce qui en ressortira des urnes ?
                    ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                    On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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                    • #11
                      L’ENA a formé des générations entières de haut fonctionnaires et parfois de… brillants diplomates.

                      C’est grâce à ces fonctionnaires qui ont assuré le bon fonctionnement des institutions (ministères et collectivités territoriales) que l’Etat est resté debout pendant la décennie noire, leur présence au niveau locale était déterminante, ils ont assuré la continuité de l'état et du service public dans les régions les plus reculées du pays.

                      Le système est certes bureaucratique, centralisé et lourd à former, mais il fonctionne.

                      Un pays comme la Tunisie par exemple où l’administration fonctionne comme la notre , malgré les troubles politiques et la crise économique le pays reste debout.
                      La Libye n’a pas cette chance, ils ont rien d’équivalent, le pays est à la merci des chefs de tribus

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                      • #12
                        oui, c'est vrai qu'ils ont gardé les murs debout mais

                        qui ont assuré le bon fonctionnement des institutions
                        on ne peut parler de bon fonctionnement. Un fonctionnement des plus tatillons, médiocres et des plus lourds.

                        Mais il est vrai aussi ce que dit Xénon, que peut-on faire? Par qui les remplacer ?

                        Hadha mâk ya l'7out echr'bou walla mout...
                        ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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                        • #13
                          Le système est certes bureaucratique, centralisé et lourd à former, mais il fonctionne.
                          le système est comme il est, avec ses défauts et ses qualités ,et tu as raison que ce système là, qu'on pourrait appeler Etat profond ,c'est ce qui fait tenir la maison ,il faut l'améliorer, le réformer ,le moderniser ..etc mais surement pas le déconstruire .
                          le yetnahaw ga3 n'est pas une option .
                          ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
                          On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

                          Commentaire


                          • #14
                            Le régime Bouteflika est devises en deux clan ceux qui gouverne actuellement et ceux qui sont en prison il y toujours un jeu d'interie pour comprendre il faut revenir aux derniers jours de la démission de Bouteflika
                            dz(0000/1111)dz

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                            • #15
                              le système est comme il est, avec ses défauts et ses qualités ,et tu as raison que ce système là, qu'on pourrait appeler Etat profond ,c'est ce qui fait tenir la maison ,il faut l'améliorer, le réformer ,le moderniser ..etc mais surement pas le déconstruire .

                              Les régimes algériens ne se succèdent pas l'un contre l'autre, mais l'un grâce à l'autre; dans un même système, le suivant n'est possible que par l'action du précédent, l'un induit l'autre, dans un processus qui, tendanciellement, procède d'une descente aux enfers...

                              C'est toute l'histoire de la formation de l’État algérien qui a instaurer l'arbitraire politique, introduit la corruption généralisée, élevé le terroriste au rand d'interlocuteur choyé et poussé les jeunes à la "harga"...

                              C'est en cela que l'on retrouve les mêmes visages dans le même régime qui se succède...
                              Dernière modification par infinite1, 17 mars 2023, 20h10.

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