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Quand la junte militaire met sur le même pied le MAK et le Rachad!

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  • Quand la junte militaire met sur le même pied le MAK et le Rachad!

    Vraiment, il faut être d'une mauvaise foi crasse afin de classer les deux mouvements à la même aune!

    - L’Algérie a classé en mai 2021 deux mouvements comme organisations terroristes. Il s’agit du Mouvement pour l’autodétermination de la Kabylie (Mak) et du mouvement Rachad.

    TSA

  • #2
    c'est à dire ?

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    • #3
      rago


      Rachad = residu de la pourriture du Front islamique du Salut.

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      • #4
        Dans le rapport de force, toute opposition est classée terroriste, mais dans le rapport de droit, toute opposition est richesse...

        Il y a trop peu de gens au monde qui sont conscient de la puissance du droit et du pacifisme.

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        • #5
          Après il y a pas mal de points communs : rejetés par la population, financés et dirigés à l'étranger...

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          • #6
            ni l'un ni l'autre ne sont des groupes terroristes,,,
            seulement des opposants au régime.
            ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément

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            • #7
              Des opposants rejetés par la population qui prônent la dislocation de l'intégrité territoriale et/ou de la société.

              Pour moi ils n'ont pas leur place en Algérie sous leur forme actuelle même si je ne n'emploierai pas le terme de "terroriste".

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              • #8
                Des opposants rejetés par la population qui prônent la dislocation de l'intégrité territoriale et/ou de la société.

                A partir du moment où ces opposants sont rejetés par la population, il n'y a pas lieu de s’inquiéter de la dislocation de l'intégrité territoriale!!! ...

                Pour moi ils n'ont pas leur place en Algérie sous leur forme actuelle même si je ne n'emploierai pas le terme de "terroriste".

                Certains d'entre-eux ont des parents qui ont donnaient leur vie pour libérer l'Algérie...

                Qui est tu pour leurs déniés leur place dans leur pays?
                Dernière modification par infinite1, 31 mars 2023, 20h22.

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                • #9
                  Tant que c'est parrainé par l'étranger ce n'est plus une opposition

                  Sinon peut on créer un mouvement séparatiste pour les Français recevant ses ordres de l'Algérie

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                  • #10
                    ni l'un ni l'autre ne sont des groupes terroristes,,,
                    seulement des opposants au régime.

                    Coomment ca?! le chef de Rachad a, entant que chef de la djaz'ara, revendique dans un passage a une tele europeenne, la responsabilite dans le meurtre des intellectuels algeriens durant la decenie noire.
                    ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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                    • #11
                      Le MAK milite pacifiquement alors que le Rachad n'exclut pas le recours aux armes.

                      - Al-Rachad, «Le bon sens», mouvement politique fondé par des Algériens réfugiés en Suisse, au Royaume-Uni et en Allemagne, a été lancé le 18 avril depuis Londres. Le groupuscule veut renverser le président Abdelaziz Bouteflika et son régime. Pour parvenir à ses fins, il drague aussi bien des sympathisants islamistes (MSP, ex-Hamas algérien) que des membres du FLN (ex-parti unique) ou du FFS (socialiste). Et il s'adresse tant à la diaspora qui a jeté l'ancre en Europe qu'aux résidents cantonnés en Algérie.

                      Pourtant, derrière «ces voies non violentes» que Rachad prône, se cache un passé lourd d'activisme islamiste. Mourad Dhina est en effet une figure de proue des fondamentalistes algériens. Après la dissolution et l'interdiction du Front islamique du salut (FIS) en 1992, il se réfugie à Saint-Genis-Pouilly, aux portes de Genève dans l'Ain. Deux ans plus tard, il est soupçonné de trafic d'armes par la France. Il prend alors la poudre d'escampette en Suisse où sa demande d'asile est rejetée à deux reprises. Entre 2002 et 2004, il devient néanmoins responsable du bureau exécutif du FIS à l'étranger. Depuis 1995, il est ainsi toléré sur le territoire helvétique, grâce à une admission provisoire qui s'éternise. Privé de passeport par les autorités algériennes, il est condamné à arpenter les 26 cantons. Lui, sa femme, et ses six enfants, dont cinq sont nés ici.

                      Dans un français irréprochable, l'ex-leader par intérim se défend de relayer tout discours propagandiste. Mais il confesse volontiers entretenir des liens «quasi permanents» avec le leader historique du FIS, Abassi Madani, et son bras droit Ali Belhadj, qui ont croupi douze ans dans les geôles algériennes et ont toujours refusé de condamner les activités armées du Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC), devenu Al-Qaida Maghreb.
                      (...).
                      l'Algérien Hasni Abidi souligne: «C'est la première fois que des islamistes influents s'ouvrent autant. C'est bon pour leur image. C'est donc un moyen de recruter le plus possible.» A Londres, Mohamed Larbi Zitout, pilote du projet d'Al-Rachad, résume sans détour son objectif: «Nous pensons organiser une sorte d'Intifada, de manifestation nationale [...]. Il y aura toujours un prix à payer. L'Algérie, ce n'est pas la Géorgie, on ne peut pas réussir une révolution qu'avec des fleurs.»

                      Le Temps.ch

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