Entre 2021 et fin 2022, les entreprises publiques et étatiques algériennes ont consommé l'équivalent de 38 milliards d'euros de financements et de crédits bancaires pour se maintenir en vie et éviter la faillite. C'est un immense gâchis et une gigantesque dilapidation de l'argent public car ces financements proviennent essentiellement du Trésor Public et des banques étatiques.
Avec autant d'argent, l'Algérie aurait pu créer toute une nouvelle économie, voire organiser une Coupe du Monde, plusieurs Coupes d'Afrique et lancer de gros projets industriels avec des multinationales puissantes. Mais au lieu de cela, l'Algérie a financé des "SonaKarita", à savoir des entreprises publiques en situation catastrophique qui n'apportent strictement aucune valeur ajoutée au pays ni le moindre point de croissance économique. Explications et décryptage.
Avec autant d'argent, l'Algérie aurait pu créer toute une nouvelle économie, voire organiser une Coupe du Monde, plusieurs Coupes d'Afrique et lancer de gros projets industriels avec des multinationales puissantes. Mais au lieu de cela, l'Algérie a financé des "SonaKarita", à savoir des entreprises publiques en situation catastrophique qui n'apportent strictement aucune valeur ajoutée au pays ni le moindre point de croissance économique. Explications et décryptage.
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