Depuis septembre 2021, le général-major Mohamed Bouzit alias Youssef, ex-patron des services du renseignement extérieur algérien de 2013 jusqu'à 2019 et de 2020 jusqu'à 2021, est emprisonné dans une sombre affaire de corruption et de haute trahison qui cache en réalité d'autres enjeux purement politiques liés à énième épisode de la lutte des clans qui agite le sérail politico-militaire algérien.
En vérité, l'affaire du général-major Youssef est la conséquence malheureuse d'une guerre sourde qui mettait aux prises des proches conseillers du président Tebboune, l’entourage du chef de l’état-major Chengriha et même des généraux de l’ancienne équipe d’Ahmed Gaïd Salah. Des cercles au sein de la Direction Centrale de la Sécurité de l'Armée (DCSA), la sécurité militaire en Algérie, ont volontairement falsifié des faits pour fabriquer de toutes pièces un lourd dossier judiciaire accablant contre le général-major Youssef avec pour objectif de l'empêcher le nouveau patron des services secrets algériens.
Said Chengriha, patron de l'institution militaire algérienne, a exercé un énorme lobbying en janvier 2021 auprès d'un Abdelmadjid Tebboune malade et affaibli par son infection aux formes les plus graves de la COVID-19 dans le but d'avoir la peau du général-major Youssef qui menaçait les intérêts d'un clan en formation au sein du régime algérien et désireux d'imposer sa mainmise sur les services secrets algériens, le puissant appareil sécuritaire qui attise toutes les convoitises des dirigeants du pays.
Découvrez dans nos révélations les tenants et aboutissants des manipulations entourant l'affaire du général-major Youssef dont les vrais enjeux nous rappellent que l'Algérie pourrait menacée par le dangereux scénario soudanais, à savoir l'éclatement d'une confrontation directe au sein des instituions sécuritaires et militaires à cause d'une forte rivalité entre puissants chefs militaires.
En vérité, l'affaire du général-major Youssef est la conséquence malheureuse d'une guerre sourde qui mettait aux prises des proches conseillers du président Tebboune, l’entourage du chef de l’état-major Chengriha et même des généraux de l’ancienne équipe d’Ahmed Gaïd Salah. Des cercles au sein de la Direction Centrale de la Sécurité de l'Armée (DCSA), la sécurité militaire en Algérie, ont volontairement falsifié des faits pour fabriquer de toutes pièces un lourd dossier judiciaire accablant contre le général-major Youssef avec pour objectif de l'empêcher le nouveau patron des services secrets algériens.
Said Chengriha, patron de l'institution militaire algérienne, a exercé un énorme lobbying en janvier 2021 auprès d'un Abdelmadjid Tebboune malade et affaibli par son infection aux formes les plus graves de la COVID-19 dans le but d'avoir la peau du général-major Youssef qui menaçait les intérêts d'un clan en formation au sein du régime algérien et désireux d'imposer sa mainmise sur les services secrets algériens, le puissant appareil sécuritaire qui attise toutes les convoitises des dirigeants du pays.
Découvrez dans nos révélations les tenants et aboutissants des manipulations entourant l'affaire du général-major Youssef dont les vrais enjeux nous rappellent que l'Algérie pourrait menacée par le dangereux scénario soudanais, à savoir l'éclatement d'une confrontation directe au sein des instituions sécuritaires et militaires à cause d'une forte rivalité entre puissants chefs militaires.
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