juste après le discours très martial et belliqueux prononcé le 20 avril dernier par le Chef d'Etat-Major de l'Armée algérienne, Said Chengriha, pour mettre en garde contre le retour de la menace islamiste et intégriste en Algérie, les services de sécurité, gendarmerie nationale et DGSN (Police Nationale), ont convoqué et auditionné pendant en moyenne près de 4 heures plus d'une centaine d'anciens militants du parti islamiste le Front islamique du salut (FIS), l'une des parties responsables des évènements de la décennie noire des années 90 ayant endeuillé et ravagé le pays, a-t-on pu confirmer au cours de nos investigations.
Ces anciens militants politiques du FIS convoqués et auditionnés ont tous purgé leurs peines de prison au cours des années 90 et ils ont abandonné officiellement toute activité politique. Les auditions ont tourné, a-t-on encore appris au cours de nos investigations, autour de leur parcours, leurs anciennes relations avec le FIS et les tenants ou aboutissants de leurs anciennes affaires judiciaires. Selon nos sources, ces enquêtes sécuritaires ont pour but d'identifier tous les anciens adhérents du FIS pour déterminer avec précision leur potentiel degré de nuisance en planchant sur leur actuel mode de vie au quotidien. Nos révélations.
Ces anciens militants politiques du FIS convoqués et auditionnés ont tous purgé leurs peines de prison au cours des années 90 et ils ont abandonné officiellement toute activité politique. Les auditions ont tourné, a-t-on encore appris au cours de nos investigations, autour de leur parcours, leurs anciennes relations avec le FIS et les tenants ou aboutissants de leurs anciennes affaires judiciaires. Selon nos sources, ces enquêtes sécuritaires ont pour but d'identifier tous les anciens adhérents du FIS pour déterminer avec précision leur potentiel degré de nuisance en planchant sur leur actuel mode de vie au quotidien. Nos révélations.
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