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Nous avons poursuivi nos investigations sur les dessous des dossiers des généraux-majors Ali Akroum et Abdelhamid Ghriss, deux poids lourds de l'institution militaire algérienne ces 10 dernières années, et condamnées depuis fin 2022 et début 2023 à 15 longues années de prison ferme pour de supposées graves affaires de corruption.
Dans les dossiers judiciaires de ces deux généraux-majors, nous avons retrouvé un important marchand d'armes qui a été arrêté et condamné lui-aussi à 8 ans de prison ferme. Il s'agit d'un certain Khaled Bouyemout qui était l'un des plus importants fournisseurs d'armes pour l'Armée algérienne au cours des années 90 lorsque l'Algérie était sous embargo occidental l'empêchant d'acquérir des armes ou des équipements militaires.
Cet homme d'affaires est titulaire de 3 nationalités : algérienne, française et espagnole. Après avoir été l'un fournisseurs précieux et secrets de l'armée algérienne, ce marchand d'armes a été sacrifié et décapité par la sécurité militaire en 2021 en raison de ses relations privilégiées avec les généraux Ali Akroum et Abdelhamid Ghriss qui étaient dans le collimateur de Said Chengriha, Chef d'Etat-Major de l'Armée algérienne. Khaled Bouyemout a été instrumentalisé comme la principale pièce du puzzle du dossier de corruption "monté" par le tribunal militaire de Blida pour faire tomber Ali Akroum et Abdelhamid Ghriss.
Par ailleurs, il a été reproché à ces généraux d'avoir détourné une dizaine de camions militaires. Mais au final il s'est avéré que ces camions militaires ont été offerts par Said Chengriha lui-même, en sa qualité de premier chef de la 3e région militaire de Béchar entre 2004 et 2018, aux milices du Polisario qui sont armées et soutenues par l'Algérie dans leur lutte pour la libération du Sahara Occidental. Chengriha n'a jamais été convoqué ni interrogé à ce sujet par la Justice militaire qui a fini par supprimer ce volet de l'affaire Akroum et Ghriss.
Voici toutes nos révélations sur les dessous complexes et secrets de ces affaires qui secouent fortement l'institution militaire en Algérie.
Dans les dossiers judiciaires de ces deux généraux-majors, nous avons retrouvé un important marchand d'armes qui a été arrêté et condamné lui-aussi à 8 ans de prison ferme. Il s'agit d'un certain Khaled Bouyemout qui était l'un des plus importants fournisseurs d'armes pour l'Armée algérienne au cours des années 90 lorsque l'Algérie était sous embargo occidental l'empêchant d'acquérir des armes ou des équipements militaires.
Cet homme d'affaires est titulaire de 3 nationalités : algérienne, française et espagnole. Après avoir été l'un fournisseurs précieux et secrets de l'armée algérienne, ce marchand d'armes a été sacrifié et décapité par la sécurité militaire en 2021 en raison de ses relations privilégiées avec les généraux Ali Akroum et Abdelhamid Ghriss qui étaient dans le collimateur de Said Chengriha, Chef d'Etat-Major de l'Armée algérienne. Khaled Bouyemout a été instrumentalisé comme la principale pièce du puzzle du dossier de corruption "monté" par le tribunal militaire de Blida pour faire tomber Ali Akroum et Abdelhamid Ghriss.
Par ailleurs, il a été reproché à ces généraux d'avoir détourné une dizaine de camions militaires. Mais au final il s'est avéré que ces camions militaires ont été offerts par Said Chengriha lui-même, en sa qualité de premier chef de la 3e région militaire de Béchar entre 2004 et 2018, aux milices du Polisario qui sont armées et soutenues par l'Algérie dans leur lutte pour la libération du Sahara Occidental. Chengriha n'a jamais été convoqué ni interrogé à ce sujet par la Justice militaire qui a fini par supprimer ce volet de l'affaire Akroum et Ghriss.
Voici toutes nos révélations sur les dessous complexes et secrets de ces affaires qui secouent fortement l'institution militaire en Algérie.
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