Depuis la crise politique de 2019, l'Algérie a subi des rebondissements majeurs inédits dans l'histoire. Des purges, des emprisonnements successifs de plusieurs hauts responsables de l'Etat, des guerres de clans, des changements brutaux, violents et une instabilité permanente au plus haut sommet de l'Etat.
Les deux auteurs du livre "Le Mal Algérien", les deux experts français Jean-Louis Levet et Paul Tolila ont assisté à tous ces évènements étonnants et bouleversants, voire absurdes de prime abord pour un pays censé vivre au rythme du XXIe siècle.
Et les experts français ont analysé brillamment les dessous de ces cycles d'instabilité en démontrant que l'Algérie post-Hirak est exactement similaire à la France de l'Ancien Régime, à savoir la France qui vivait sous la coupe d'une organisation politique et sociale de la France avant 1789 et se caractérisait par des structures économiques héritées du Moyen-âge, une société hiérarchisée et divisée en « ordres », l'existence des privilèges et un pouvoir absolu détenu par le roi.
L'Algérie post-Hirak a démontré que son système politique est purement un système de personnes, de chefs détenteurs de pouvoir qui s'entourent d'une caste de serviteurs loyaux partageant avec les chefs la rente des richesses du pays et ses serviteurs sont sélectionnés selon des critères purement claniques, régionalistes ou mercantiles exactement comme les seigneurs de la France du Moyen-âge.
Les deux auteurs du livre "Le Mal Algérien", les deux experts français Jean-Louis Levet et Paul Tolila ont assisté à tous ces évènements étonnants et bouleversants, voire absurdes de prime abord pour un pays censé vivre au rythme du XXIe siècle.
Et les experts français ont analysé brillamment les dessous de ces cycles d'instabilité en démontrant que l'Algérie post-Hirak est exactement similaire à la France de l'Ancien Régime, à savoir la France qui vivait sous la coupe d'une organisation politique et sociale de la France avant 1789 et se caractérisait par des structures économiques héritées du Moyen-âge, une société hiérarchisée et divisée en « ordres », l'existence des privilèges et un pouvoir absolu détenu par le roi.
L'Algérie post-Hirak a démontré que son système politique est purement un système de personnes, de chefs détenteurs de pouvoir qui s'entourent d'une caste de serviteurs loyaux partageant avec les chefs la rente des richesses du pays et ses serviteurs sont sélectionnés selon des critères purement claniques, régionalistes ou mercantiles exactement comme les seigneurs de la France du Moyen-âge.
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