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Quatre individus suspectés d’avoir des liens directs avec les groupes terroristes activant dans la région est de Boumerdès, plus particulièrement dans la localité de Cap Djinet, ont été interpellés.
Leurs interpellations ont eu lieu, notamment au niveau du quartier dit El Mahdjar, sis sur la bande côtière, à l’entrée Ouest de Cap Djinet. D’autres individus ont été également appréhendés, mais la plupart ont été relâchés après interrogatoire des services de sécurité, selon des sources concordantes.
Néanmoins, les quatre individus suspectés d’appartenir à un réseau de soutien logistique ont été arrêtés la semaine écoulée.
La rafle de la police judiciaire intervient à la suite de l’attentat à la bombe perpétré le 5 juin dernier contre un convoi militaire, lequel, pour rappel, avait coûté la vie à 6 militaires et blessé 4 autres. Toutefois, 17 autres individus suspectés d’aide et assistance aux auteurs de l’attentat, survenu le 8 juin dernier, à Beni Amrane, qui a coûté la vie à un ingénieur français et son chauffeur de nationalité algérienne, ont été arrêtés la semaine dernière par les éléments de la brigade locale de la Gendarmerie nationale à Beni Amrane.
Parmi ces derniers, figureraient des agents de sécurité d’une société de gardiennage engagée par l’entreprise française, BTP Razel. Ces derniers seront présentés au parquet au courant de la semaine, apprend-on. Pour rappel, cet attentat a été revendiqué par Al Qaîda. Par ailleurs, une nouvelle recrue s’est rendue à Boudouaou, la semaine dernière, après 15 jours passés au maquis.
Mohamed BOUFATAH (L'Expression)
Leurs interpellations ont eu lieu, notamment au niveau du quartier dit El Mahdjar, sis sur la bande côtière, à l’entrée Ouest de Cap Djinet. D’autres individus ont été également appréhendés, mais la plupart ont été relâchés après interrogatoire des services de sécurité, selon des sources concordantes.
Néanmoins, les quatre individus suspectés d’appartenir à un réseau de soutien logistique ont été arrêtés la semaine écoulée.
La rafle de la police judiciaire intervient à la suite de l’attentat à la bombe perpétré le 5 juin dernier contre un convoi militaire, lequel, pour rappel, avait coûté la vie à 6 militaires et blessé 4 autres. Toutefois, 17 autres individus suspectés d’aide et assistance aux auteurs de l’attentat, survenu le 8 juin dernier, à Beni Amrane, qui a coûté la vie à un ingénieur français et son chauffeur de nationalité algérienne, ont été arrêtés la semaine dernière par les éléments de la brigade locale de la Gendarmerie nationale à Beni Amrane.
Parmi ces derniers, figureraient des agents de sécurité d’une société de gardiennage engagée par l’entreprise française, BTP Razel. Ces derniers seront présentés au parquet au courant de la semaine, apprend-on. Pour rappel, cet attentat a été revendiqué par Al Qaîda. Par ailleurs, une nouvelle recrue s’est rendue à Boudouaou, la semaine dernière, après 15 jours passés au maquis.
Mohamed BOUFATAH (L'Expression)
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