4 après son arrivée au pouvoir à la tête de l'Etat algérien et à une année de la fin de son mandat présidentiel, Abdelmajdid Tebboune est sorti sur le terrain ce 5 juillet 2023, à l'occasion de la fête de l'Indépendance Nationale, pour "inspecter" des projets en cours faute de pouvoir les inaugurer et de les offrir à une population souffrant grandement de la paralysie générale de cette "Nouvelle Algérie".
A l'exception d'un nouvel petit hôpital à Zéralda (Alger) et d'une petite station de dessalement de Mer à Corso, le Président Tebboune s'est contenté de poser la première pierre de la future grande station de dessalement de l'eau de mer de Cap Djinet et d'assister à une projection promettant un avenir radieux à ce projet présenté comme stratégique pour la consommation de l'eau potable du pays mais qui date d'au moins 2021.
Des promesses, voila tout ce que le président Abdelmadjid Tebboune a pu formuler en 4 ans de gouvernance d'une Algérie qui a joui des prix des hydrocarbures les plus élevés et vertigineux de cette dernière décennie grâce à l'envolée des cours mondiaux constatée en 2022.
Ailleurs dans les autres wilayas du pays, les dirigeants algériens ont inauguré des canalisations, des murs d'enceinte, quelques petits quotas de logements, des nouvelles routes ordinaires, mais aucun grand projet d'envergure alors que le pays est censé avoir gagné de considérables revenus gaziers et pétroliers en 2022.
A cause de ses ministres incompétents et de son gouvernement très médiocre, Abdelmadjid Tebboune est en train de terminer son premier mandat présidentiel sans pouvoir offrir au pays des nouveaux projets flambants neufs. Une incurie exceptionnelle et inédite qui témoigne de la paralysie dramatique dans laquelle patauge l'Algérie depuis 4 ans.
A l'exception d'un nouvel petit hôpital à Zéralda (Alger) et d'une petite station de dessalement de Mer à Corso, le Président Tebboune s'est contenté de poser la première pierre de la future grande station de dessalement de l'eau de mer de Cap Djinet et d'assister à une projection promettant un avenir radieux à ce projet présenté comme stratégique pour la consommation de l'eau potable du pays mais qui date d'au moins 2021.
Des promesses, voila tout ce que le président Abdelmadjid Tebboune a pu formuler en 4 ans de gouvernance d'une Algérie qui a joui des prix des hydrocarbures les plus élevés et vertigineux de cette dernière décennie grâce à l'envolée des cours mondiaux constatée en 2022.
Ailleurs dans les autres wilayas du pays, les dirigeants algériens ont inauguré des canalisations, des murs d'enceinte, quelques petits quotas de logements, des nouvelles routes ordinaires, mais aucun grand projet d'envergure alors que le pays est censé avoir gagné de considérables revenus gaziers et pétroliers en 2022.
A cause de ses ministres incompétents et de son gouvernement très médiocre, Abdelmadjid Tebboune est en train de terminer son premier mandat présidentiel sans pouvoir offrir au pays des nouveaux projets flambants neufs. Une incurie exceptionnelle et inédite qui témoigne de la paralysie dramatique dans laquelle patauge l'Algérie depuis 4 ans.
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