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une nouvelle terrible guerre de clans bat son plein à Alger au sein du régime algérien. Le propre frère de Said Bensedira, Abdelghani Bensedira, maire de la commune de Birine, dans la wilaya de Djelfa, a été placé en détention dans la soirée du jeudi 20 juillet par les juges du Pôle pénal économique et financier du tribunal de Sidi M'Hamed à Alger. 6 autres personnes ont été placées sous mandat de dépôt dans le cadre de cette affaire de "corruption", "chantage" exercé à l'encontre de hauts responsables de l'Etat et d'abus de fonction. Said Bensedira lui-même a fait l'objet d'un mandat d'arrêt international lancé à son encontre par le même tribunal à Alger.
Et pourtant, Said Bensedira, blogueur et influenceur politique établi à Londres, est l'un des plus importants relais de la propagande du régime algérien à l'étranger. Instrumentalisé dans la guerre contre les opposants établis en France ou au Canada ainsi que la rivalité médiatique contre le Maroc, Said Bensedira n'a jamais été un opposant virulent, mais plutôt un serviteur très zélé du régime algérien. L'emprisonnement de son frère et la traque lancée contre son réseau et ses connaissances en Algérie témoignent de l'évolution inquiétante d'une guerre de clans opposant l'entourage du Président Abdelmadjid Tebboune à l'entourage de Said Chengriha, le patron de l'Institution Militaire algérienne.
Ce groupe a, semble-t-il, riposté en obtenant la tête de l'influence commissaire divisionnaire Tarek Keskas, patron du très sensible Service central de lutte contre le crime organisé de Saoula (Alger). Ce haut responsable proche du patron de la Police algérienne, lui-même considéré comme l'un des cadres majeurs du clan Tebboune, a été relevé dans des circonstances troublantes et opaques dans le sillage de cette enquête lancée sur le "réseau Bensedira".
Et pourtant, Said Bensedira, blogueur et influenceur politique établi à Londres, est l'un des plus importants relais de la propagande du régime algérien à l'étranger. Instrumentalisé dans la guerre contre les opposants établis en France ou au Canada ainsi que la rivalité médiatique contre le Maroc, Said Bensedira n'a jamais été un opposant virulent, mais plutôt un serviteur très zélé du régime algérien. L'emprisonnement de son frère et la traque lancée contre son réseau et ses connaissances en Algérie témoignent de l'évolution inquiétante d'une guerre de clans opposant l'entourage du Président Abdelmadjid Tebboune à l'entourage de Said Chengriha, le patron de l'Institution Militaire algérienne.
Ce groupe a, semble-t-il, riposté en obtenant la tête de l'influence commissaire divisionnaire Tarek Keskas, patron du très sensible Service central de lutte contre le crime organisé de Saoula (Alger). Ce haut responsable proche du patron de la Police algérienne, lui-même considéré comme l'un des cadres majeurs du clan Tebboune, a été relevé dans des circonstances troublantes et opaques dans le sillage de cette enquête lancée sur le "réseau Bensedira".
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