Perturbés, voire ébranlés, par nos récentes révélations sur les évolutions inquiétantes de la guerre des clans qui les divisent profondément depuis le mois de juin 2023, les dirigeants algériens ont orchestré une mise en scène pour rassurer l'opinion publique nationale et les partenaires étrangers du pays au sujet de leur supposée "unité" face à l'adversité. Cette mise en scène est intervenue le 22 juillet dernier lors de la la fête nationale de la police algérienne.
Une photo a immortalisé des échanges amicaux et chaleureux entre le patron de la DGSN, la Police nationale en Algérie, Farid Zineddine Bencheikh et les patrons de la Gendarmerie Nationale, le général-major Yahia Oulhadj, de la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE), le général-major M'henna Djebbar, de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), le général-major Djamel Kehal Medjdoub, et enfin de la Garde Républicaine, le général de corps d'armée Ben Ali Ben Ali. Tous ces personnages jouent les premiers rôles dans la récente guerre des clans qui a éclaté au sein du régime algérien à la veille des élections présidentielles de 2024, prévues dans moines d'une année et demie.
Tous ces acteurs composent les fameux clans Tebboune et Chengriha qui se disputent le leadership au plus haut sommet de l'Etat algérien. Pour démentir nos révélations au sujet de leurs divisions alarmantes, ces hauts responsabels du régime algérien ont été "conviés" à se prêter au jeu des "photos" protocolaires et des sourires factices dans l'espoir de faire taire les critiques et d'étouffer les polémiques sur leurs profondes divergences.
Une photo a immortalisé des échanges amicaux et chaleureux entre le patron de la DGSN, la Police nationale en Algérie, Farid Zineddine Bencheikh et les patrons de la Gendarmerie Nationale, le général-major Yahia Oulhadj, de la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE), le général-major M'henna Djebbar, de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), le général-major Djamel Kehal Medjdoub, et enfin de la Garde Républicaine, le général de corps d'armée Ben Ali Ben Ali. Tous ces personnages jouent les premiers rôles dans la récente guerre des clans qui a éclaté au sein du régime algérien à la veille des élections présidentielles de 2024, prévues dans moines d'une année et demie.
Tous ces acteurs composent les fameux clans Tebboune et Chengriha qui se disputent le leadership au plus haut sommet de l'Etat algérien. Pour démentir nos révélations au sujet de leurs divisions alarmantes, ces hauts responsabels du régime algérien ont été "conviés" à se prêter au jeu des "photos" protocolaires et des sourires factices dans l'espoir de faire taire les critiques et d'étouffer les polémiques sur leurs profondes divergences.
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