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Echec de l'Algérie à rejoindre les BRICS selon un rapport italien

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  • Echec de l'Algérie à rejoindre les BRICS selon un rapport italien

    Un rapport italien intitulé « Réflexions sur l’échec de l’Algérie à rejoindre les BRICS« , préparé par le chercheur Marco Barato et publié dans le journal italien « Mediterranean News », s’attend à ce que la demande algérienne d’adhésion au groupe BRICS soit rejetée et ce, au vu de l’existence de « rentes économiques », de « l’absence totale d’indicateurs de diversification de l’économie » et d’autres facteurs qui éloignent l’Algérie du contexte de compétitivité mondiale.

    Le rapport, a dévoilé un certain nombre de facteurs économiques qui éloignent l’Algérie du rêve de rejoindre ce groupe économique, dont les plus importants sont sans aucun doute, « l’absence de projets gouvernementaux pour créer un tissu industriel, une absence significative d’industries locales dans la liste des exportations, l’absence du pays de l’arène financière et le maintien du recours à un ancien système fiscal système ».

    Le document ajoute que : « L’Algérie est un pays avec un PIB par habitant de 3 500 dollars, ce que les BRICS considèrent comme très faible. En outre, le PIB est mesuré exclusivement sur les revenus des hydrocarbures, tandis que le PIB par habitant de l’Argentine par exemple, qui est parmi d’autres pays souhaitant rejoindre les BRICS, dépassent aisément les 10 000 $ ». Le rapport indique que « l’accent mis par les dirigeants algériens sur le maintien des revenus pétroliers dans la spirale des armements, du fait que le Maroc est considéré comme une menace extérieure, est toujours dans le but d’unir la nation, ce qui est un indicateur qui montre la gravité de la situation politique dans ce pays ».

    Le chercheur Marco Barato a montré que, « ces indicateurs combinés éloignent l’Algérie des BRICS, et donnent des signaux aux pays méditerranéens sur la réalité de la situation dans ce pays. C’est également un avertissement clair sur l’importance de renforcer les relations avec les autres pays de la région », notamment le Maroc. Rome, qui certes reste encore assez éloignée de Rabat, espère bien à l’occasion de la prochaine visite du ministre italien des Affaires étrangères Antonio Tajani, compte bien se rapprocher avec le Royaume.

    La ministère sud-africain des Affaires étrangères avait précédemment révélé que plusieurs pays avaient demandé à rejoindre le groupe économique BRICS, dont le Maroc et l’Algérie, mais les autorités officielles marocaines ne se sont toujours pas prononcées à ce sujet. Il est à noter que d’autres rapports identiques à celui du chercheur Barato ont également révélé l’existence de « difficultés de l’Algérie face à l’adhésion de l’Algérie aux ‘BRICS’, dont la plus importante est le PIB modeste« .

    Pourtant, le président algérien, compte soulager les caisses d’Etat d’Algérie d’un milliard et demi de dollars à la nouvelle banque de développement des BRICS en cas d’acceptation de la demande de son pays. Il a confirmé dernièrement que « le PIB de son pays dépasse 200 milliards de dollars ». Sic !

    Le sommet des BRICS, qui comprend l’Afrique du Sud, l’Inde, le Brésil, la Chine et la Russie, se tiendra le 22 de ce mois, au cours duquel le groupe devrait statuer sur les demandes d’adhésion de 20 pays. Le président russe Vladimir Poutine ne devrait pas participer à ce sommet en raison du mandat d’arrêt international émis à son encontre par la Cour pénale internationale (CPI), dans le contexte des événements en Ukraine. Il sera représenté par Sergueï Lavrov, le ministre de Affaires étrangères de la Fédération de Russie. Le groupe économique « BRICS » a pour objectif d’établir un nouvel ordre économique mondial qui mette fin à « l’hégémonie » des pays industriels du Groupe des Sept, menés par les États-Unis d’Amérique.

    L’Algérie bénéficie du soutien des BRICS et a obtenu l’accord du groupe pour la « première phase », a fait savoir le Président algérien à une quinzaine de jours du sommet des BRICS, à Johannesburg. « Nous nous sommes entendus pour que l’accession commence par une première phase, celle d’un État, membre observateur », avait-il annoncé dans un monologue à titre d’entretien télévisé avec des médias algériens, rajoutant : « Ce qui nous encourage est que les acteurs des BRICS nous soutiennent, à l’image de la Russie, de la Chine, de l’Afrique du Sud et même du Brésil ». Le rêve n’est pas interdit.
    Hespress

  • #2
    Galek Hespress français mdrrrr
    il a honte de dire marocain ou quoi ?

    et cet illustre inconnu italien qu'il a trouvé pour fantasmer sur un échec de l'Algérie ! Quels cons !

    L'Algérie sera dans les BRICS ou pas. On le saura bientôt mais sûrement pas de ces ticounes marocains même s'ils se disent français...
    Dernière modification par Bachi, 13 août 2023, 20h43.

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    • #3
      la demande algérienne d’adhésion au groupe BRICS soit rejetée et ce, au vu de l’existence de « rentes économiques », de « l’absence totale d’indicateurs de diversification de l’économie » et d’autres facteurs qui éloignent l’Algérie du contexte de compétitivité mondiale.
      Malheureusement la triste réalité même s'il y a d'autres facteurs non cités comme la pauvreté, l'absence de consommation de biens et services, d'infrastructures, enseignement....

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      • #4
        Article d'origine traduit de l'italien

        Source: mediterranews.org

        Réflexions sur la non-adhésion de l'Algérie aux BRICS

        14 juillet 2023

        Dans un silence total, les observateurs italiens n'ont pas compris que l'Algérie était en fait exclue de la liste d'adhésion aux BRICS. Mais, procédons dans l'ordre et voyons les raisons ":

        1. Pas d'industrialisation ou de vision à cet effet.

        2. Pas de diversification économique constatée ou projets étatiques concrets de relance du tissu industriel -

        3. Pas d'exportations ni de création d'emplois. Pas d'émergence également sur la scène financière internationale et pas de système bancaire digne de la mission de croissance économique et une fiscalité archaïque.

        En l'absence de réformes économiques et stratégiques pour répondre aux défis du 21ème siècle pour un développement durable et diversifié, l'Algérie a été notée comme un pays avec un PIB par habitant de 3500 dollars considéré comme trop faible par l'Inde et le Brésil. Un PIB indexé uniquement sur les revenus des hydrocarbures, en comparaison, l'Argentine a un PIB par habitant supérieur à 10 000 dollars, ce qui la place logiquement devant l'Algérie.

        Maintenant, la question est très délicate ; En fait, nous avons besoin de savoir comment sont investis les revenus des exportations de gaz, étant donné que toute l'Europe est en fait main dans la main avec l'Algérie, la deuxième question est de savoir si le maintien du pseudo-conflit avec le Maroc n'est pas une réalité pour nourrir la crainte d'un "danger extérieur" est de garder la nation unie.

        Le plus inquiétant vient du fait que l'argent européen est souvent destiné à l'armement, souvent de fabrication russe, avec le paradoxe tragique que l'Europe a sanctionné le gaz russe, pour empêcher le financement de la guerre et la finance en fait indirectement.

        La dernière réflexion concerne l'Italie. En effet, le récent accord bilatéral avec le Maroc doit être renforcé.

        Tous les indicateurs économiques du Royaume du Maroc montrent une nation potentiellement en croissance ainsi que politiquement stable. Comment peut-on encore poursuivre, même en Italie, une politique méditerranéenne sans tenir compte du Maroc.

        Des nations comme le Royaume-Uni, la Serbie, la Hongrie font preuve d'une vitalité exceptionnelle au Maroc.

        Malheureusement l'Italie manque, encore trop loin de Rabat, mais j'espère que le prochain déplacement du ministre italien des Affaires étrangères, Antonio Tajani pourra y remédier. Nous ne pouvons pas noter que le ministre des Affaires étrangères a eu des sympathies royalistes dans sa jeunesse et nous espérons que celles-ci pourront être encore plus utiles pour rapprocher Rome de Rabat.

        Marco Barato






        Riflessioni sulla mancata adesione dell’Algeria ai Brics

        Marco Baratto14 Luglio 2023

        Nel più totale silenzio, gli osservatori italiani non hanno colto che l’Algeria sia stata di fatto esclusa dalla lista per l’Adesione ai BRICS. Ma, procediamo con ordine e vediamo le motivazioni “:

        1. Nessuna industrializzazione o visione in tal senso.

        2. Nessuna diversificazione economica osservata o progetti statali concreti per rilanciare il tessuto industriale -

        3. Nessuna esportazione o creazione di posti di lavoro. Anche nessuna emersione sulla scena finanziaria internazionale e nessun sistema bancario degno della missione di crescita economica e un sistema fiscale arcaico.

        Con nessuna riforma economica e strategica per rispondere alle sfide del XXI secolo per uno sviluppo sostenibile e diversificato, l’Algeria è stata notata come un paese con un PIL pro capite di $ 3500 considerato troppo basso da India e Brasile. Un PIL indicizzato esclusivamente sulle entrate da idrocarburi, per confronto, l’Argentina ha un PIL pro capite superiore a $ 10.000, che logicamente la pone davanti all’Algeria.

        Ora , la questione è molto delicata; Infatti , bisognebbe , sapere come vengono investiti i proventi dell’esportazione del gas, visto che l’Intera Europa è di fatto legata a doppio filo con l’Algeria, la seconda domanda è se il mantenimento dello pseudo conflitto con il Marocco non serva in realtà per alimentare la paura di un “pericolo esterno” è con esso mantenere unita la Nazione.

        La cosa più preoccupante, deriva dal fatto che, spesso i soldi europei vengono destinante alle armi, spesso di fabbricazione russa, con il tragico paradosso che, l’Europa ha sanzionato il gas Russo , per impedire il finanziamento della guerra e di fatto la finanzia in modo indiretto.

        L’ultima riflessione riguarda l’Italia . Infatti, il recente accordo bilaterale con il Marocco, deve essere intensificato.

        Tutti gli indicatori economici del Regno del Marocco mostrano una Nazione potenzialmente in crescita oltre che stabile politicamente. Come possiamo ancora perseguire, anche l’Italia, una politica mediterranea senza tenere in conto il Marocco.

        Nazioni come il Regno Unito, la Serbia, l’Ungheria dimostrano una vitalità in Marocco eccezionale .

        Manca purtroppo l’Italia ancora troppo lontana da Rabat, ma che mi auguro il prossimo viaggio del Ministro di affare esteri italiano, Antonio Tajani possa sanare. Non possiamo notare che il Ministro degli Esteri ha avuto in gioventù simpatie monarchiche e speriamo che queste possano essere ulteriormente utili ad avvicinare Roma a Rabat.

        Marco Baratto

        mediterranews.org

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        • #5
          Quelques publications de ce "Marco Barrato":

          "La Kabylie doit être libre de ses choix"

          "Le non-vote du Maroc à l'AG de l'ONU , une sage décision"

          "L'expert Italien appelle à la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara"

          "L'islam Marocain"

          Un "expert neutre" n'est ce pas

          PS: il n'y a que des articles Marocain qui parlent de lui, existe t-il vraiment ou c'est un pseudo de Hammouchi

          Commentaire


          • #6
            Quelques publications de ce "Marco Barrato":

            "La Kabylie doit être libre de ses choix"

            "Le non-vote du Maroc à l'AG de l'ONU , une sage décision"

            "L'expert Italien appelle à la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara"

            "L'islam Marocain"

            Un "expert neutre" n'est ce pas

            PS: il n'y a que des articles Marocain qui parlent de lui, existe t-il vraiment ou c'est un pseudo de Hammouchi
            En effet cet individu est clairement marocophile.
            J'aime surfer sur la vague du chaos.

            Commentaire


            • #7
              Pas vrai, Tebboune a une contre khotta
              "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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              • #8
                De toute façon, toutes les rumeurs vont dans le même sens, une non inclusions de l'Algérie aux BRICS ...
                Droite des Valeurs
                Gauche du Travail
                Centre "Intérêt de Mon Pays"

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                • #9
                  il y a une autre rumeur : la candidature du Maroc...

                  imaginez un peu la bombe atomique si la reponse est positive...
                  "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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                  • #10
                    Ce sera un énorme turbo les brics à l'économie algérienne l'animosité marocaine se comprend.

                    Commentaire


                    • #11

                      Echec de l'Algérie à rejoindre les BRICS selon un rapport italien
                      Plus complexé que le Makhzen tu meurs. On dirait que la candidature algérienne au BRICS l'a rendu fou !
                      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                      • #12
                        Galaxy,
                        expliques nous en quoi l'adhesion au brics est un turbo ?
                        ​​​y a t-il un précédent qui établi que c'est un accélérateur ? T a qu'à regarder comment l'AFS se débat dans les difficultés. Qu'est ce que cela a apporter au Brésil, à l'inde ? Sachant que le décollage de ces pays s'est fait il y a 20 ans, et sans lien avec les brics. Mon ami, vous n'avez même pas (ou plutôt pas voulu) adhérer à l'omc. Le seul truc qui uni ces pays, c'est le refus de la domination US.....
                        la NBD n'est la que pour accompagner l'essor de ces pays. La Chine vous prêtera à pas cher, pour financer un port en eau profonde, qu'il exploiteront...

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