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le réveil est brutal. Les partisans, soutiens et serviteurs zélés du régime Tebboune commencent à constater de visu, et par eux-mêmes, l'ampleur dramatique du mauvais bilan de ce Président sur lequel il ne tarissait pas d'éloges au cours de ces 3 dernières années.
La présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), Saida Neghza, qui appelait les Algériennes et Algériens à soutenir Tebboune en 2020 et après avoir qualifié Tebboune de "sauveur de l'Algérie" en 2021, vient de se changer son fusil d'épaule et adresse le 5 Septembre 2023 une longue lettre à Abdelmadjid Tebboune dans laquelle elle constate l'ampleur des dégâts économiques et sociaux de ses mauvaises décisions et de sa mauvaise gouvernance du pays.
Dans sa lettre, Saida Neghza reconnait que la situation économique du pays est alarmante et l'avenir est plus que jamais incertain à cause de la politique actuelle du régime Tebboune. Elle parle d'un "marasme économique et un climat des affaires souffrant du manque de confiance et, une surenchère presque généralisée des prix".
Elle constate aussi les souffrances et injustices flagrantes infligées aux entrepreneurs algériens. "Je reçois des doléances récurrentes de la part d’hommes d’affaires qui se plaignent de persécutions et de pressions diverses de la part des différents représentants de l’état.
D’autres se plaignent au sujet d’amendes infligées par un comité formé de cinq ministres, sans même avoir le droit à accéder à leurs dossiers, des amendes qui dépassent pour certains le montant des actifs de leurs sociétés et qu’ils ne pourront pas payer", affirme celle qui soutenait activement et défendait vigoureusement Tebboune en 2020 et 2021. "Le monde entier connaît une sècheresse généralisée qui présage d’une grande famine et par conséquent tous les pays courent vers le stockage et l’approvisionnement des matières premières et des produits de première nécessité et chez nous, il y a une volonté de créer la rareté que nous allons sûrement payer cher, à défaut de mesures énergiques pour redresser la situation", prévient encore Saida Naighza qui reconnait ainsi l'impact fortement chaotique de la mauvaise politique de Tebboune sur la disponibilité des produits de première nécessité dans le pays.
"Les restrictions d’importations ont également eu un effet négatif sur le fonctionnement des différentes usines et sociétés, en raison de la rareté des matières premières et pièces de rechanges, et donc un impact négatif sur les capacités de productions", souligne-t-elle enfin dans sa lettre qui illustre parfaitement ce sentiment de grand malaise qui anime aujourd'hui le propre camp des soutiens de Tebboune.
La présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), Saida Neghza, qui appelait les Algériennes et Algériens à soutenir Tebboune en 2020 et après avoir qualifié Tebboune de "sauveur de l'Algérie" en 2021, vient de se changer son fusil d'épaule et adresse le 5 Septembre 2023 une longue lettre à Abdelmadjid Tebboune dans laquelle elle constate l'ampleur des dégâts économiques et sociaux de ses mauvaises décisions et de sa mauvaise gouvernance du pays.
Dans sa lettre, Saida Neghza reconnait que la situation économique du pays est alarmante et l'avenir est plus que jamais incertain à cause de la politique actuelle du régime Tebboune. Elle parle d'un "marasme économique et un climat des affaires souffrant du manque de confiance et, une surenchère presque généralisée des prix".
Elle constate aussi les souffrances et injustices flagrantes infligées aux entrepreneurs algériens. "Je reçois des doléances récurrentes de la part d’hommes d’affaires qui se plaignent de persécutions et de pressions diverses de la part des différents représentants de l’état.
D’autres se plaignent au sujet d’amendes infligées par un comité formé de cinq ministres, sans même avoir le droit à accéder à leurs dossiers, des amendes qui dépassent pour certains le montant des actifs de leurs sociétés et qu’ils ne pourront pas payer", affirme celle qui soutenait activement et défendait vigoureusement Tebboune en 2020 et 2021. "Le monde entier connaît une sècheresse généralisée qui présage d’une grande famine et par conséquent tous les pays courent vers le stockage et l’approvisionnement des matières premières et des produits de première nécessité et chez nous, il y a une volonté de créer la rareté que nous allons sûrement payer cher, à défaut de mesures énergiques pour redresser la situation", prévient encore Saida Naighza qui reconnait ainsi l'impact fortement chaotique de la mauvaise politique de Tebboune sur la disponibilité des produits de première nécessité dans le pays.
"Les restrictions d’importations ont également eu un effet négatif sur le fonctionnement des différentes usines et sociétés, en raison de la rareté des matières premières et pièces de rechanges, et donc un impact négatif sur les capacités de productions", souligne-t-elle enfin dans sa lettre qui illustre parfaitement ce sentiment de grand malaise qui anime aujourd'hui le propre camp des soutiens de Tebboune.
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