(The Wall Street Journal)
By Matthew Dalton and Eric Sylvers
Western nations are forging unusual alliances to replace natural gas from Russia; ‘We pushed the accelerator to the maximum’
(The Wall Street Journal) — Once-obscure corners of the energy world, from offshore Congo to Azerbaijan, are booming as Europe finds new sources of natural gas to replace the Russian supplies that once powered the continent. The shift is redrawing the world’s energy map at a rapid clip.
In Bir Rebaa, deep in the Sahara, the Italian energy company Eni and Algeria’s state-owned energy company are drilling dozens of wells, producing gas from previously untapped fields in a matter of months.
Three pipelines beneath the Mediterranean Sea connect Algeria’s vast gas reserves to Europe. For much of the last decade, Russian gas giant Gazprom had kept prices low, pushing suppliers like Algeria out of the European market.
Algeria has long had a strong alliance with Russia, buying large amounts of weapons from Moscow. Europe’s sudden thirst for Algerian natural gas is challenging that relationship.
You've accessed an article available only to subscribers
---------

A natural-gas facility in the Sahara in Algeria. ENI
Les pays occidentaux forgent des alliances inhabituelles pour remplacer le gaz naturel russe ; « Nous avons poussé l’accélérateur au maximum »
Les nouveaux gagnants inattendus de la guerre énergétique mondiale (The Wall Street Journal) – Des coins autrefois obscurs du monde énergétique, du large du Congo à l’Azerbaïdjan, sont en plein essor à mesure que l’Europe trouve de nouvelles sources de gaz naturel pour remplacer les approvisionnements russes qui alimentaient autrefois le continent. Ce changement redessine rapidement la carte énergétique mondiale.
À Bir Rebaa, au cœur du Sahara, la société énergétique italienne Eni et la société énergétique publique algérienne forent des dizaines de puits, produisant en quelques mois du gaz à partir de gisements jusqu’alors inexploités.
Trois gazoducs sous la mer Méditerranée relient les vastes réserves de gaz de l’Algérie à l’Europe. Pendant une grande partie de la dernière décennie, le géant gazier russe Gazprom a maintenu des prix bas, poussant des fournisseurs comme l’Algérie hors du marché européen. L’Algérie entretient depuis longtemps une alliance solide avec la Russie, achetant de grandes quantités d’armes à Moscou. La soif soudaine de l’Europe pour le gaz naturel algérien remet en question cette relation.
Google translate


By Matthew Dalton and Eric Sylvers
Western nations are forging unusual alliances to replace natural gas from Russia; ‘We pushed the accelerator to the maximum’
(The Wall Street Journal) — Once-obscure corners of the energy world, from offshore Congo to Azerbaijan, are booming as Europe finds new sources of natural gas to replace the Russian supplies that once powered the continent. The shift is redrawing the world’s energy map at a rapid clip.
In Bir Rebaa, deep in the Sahara, the Italian energy company Eni and Algeria’s state-owned energy company are drilling dozens of wells, producing gas from previously untapped fields in a matter of months.
Three pipelines beneath the Mediterranean Sea connect Algeria’s vast gas reserves to Europe. For much of the last decade, Russian gas giant Gazprom had kept prices low, pushing suppliers like Algeria out of the European market.
Algeria has long had a strong alliance with Russia, buying large amounts of weapons from Moscow. Europe’s sudden thirst for Algerian natural gas is challenging that relationship.
You've accessed an article available only to subscribers
---------
A natural-gas facility in the Sahara in Algeria. ENI
Les pays occidentaux forgent des alliances inhabituelles pour remplacer le gaz naturel russe ; « Nous avons poussé l’accélérateur au maximum »
Les nouveaux gagnants inattendus de la guerre énergétique mondiale (The Wall Street Journal) – Des coins autrefois obscurs du monde énergétique, du large du Congo à l’Azerbaïdjan, sont en plein essor à mesure que l’Europe trouve de nouvelles sources de gaz naturel pour remplacer les approvisionnements russes qui alimentaient autrefois le continent. Ce changement redessine rapidement la carte énergétique mondiale.
À Bir Rebaa, au cœur du Sahara, la société énergétique italienne Eni et la société énergétique publique algérienne forent des dizaines de puits, produisant en quelques mois du gaz à partir de gisements jusqu’alors inexploités.
Trois gazoducs sous la mer Méditerranée relient les vastes réserves de gaz de l’Algérie à l’Europe. Pendant une grande partie de la dernière décennie, le géant gazier russe Gazprom a maintenu des prix bas, poussant des fournisseurs comme l’Algérie hors du marché européen. L’Algérie entretient depuis longtemps une alliance solide avec la Russie, achetant de grandes quantités d’armes à Moscou. La soif soudaine de l’Europe pour le gaz naturel algérien remet en question cette relation.
Google translate


Commentaire