Des milliers d'algériennes et d'algériens, dont des enfants et des personnes âgées, sont placés sous Interdiction de Sortie du Territoire National (ISTN), une mesure privative de liberté de voyage qui est normalement encadrée par la loi et des dispositions précises. Sauf que le régime utilise les ISTN pour punir, surveiller et empêcher la fuite des familles de ses opposants ou détracteurs emprisonnés. Les dérives sont systématiques dans la Justice militaire comme civile.
Les généraux en prison, comme ceux qui ont été placés sous enquête mais sans être encore jugés ou inculpés, leurs familles, enfants, petits enfants et belles filles, sont placées sous ISTN sans aucune ordonnance judiciaire ni aucune base légale. Des policiers de la Police aux Frontières (PAF) ne cessent de demander aux juges militaires des documents légaux pouvant justifier le maintien de ces ISTN. Aucune réponse ne leur est fournie.
Les familles des opposants, journalistes indépendants exilés ou activistes du Hirak traqués par le régime algérien subissent également le même sort. Des ISTN arbitraires que les juges ne veulent pas enlever ni remettre en cause par peur de subir les foudres des décideurs du régime. Explications et coup de gueule.
Les généraux en prison, comme ceux qui ont été placés sous enquête mais sans être encore jugés ou inculpés, leurs familles, enfants, petits enfants et belles filles, sont placées sous ISTN sans aucune ordonnance judiciaire ni aucune base légale. Des policiers de la Police aux Frontières (PAF) ne cessent de demander aux juges militaires des documents légaux pouvant justifier le maintien de ces ISTN. Aucune réponse ne leur est fournie.
Les familles des opposants, journalistes indépendants exilés ou activistes du Hirak traqués par le régime algérien subissent également le même sort. Des ISTN arbitraires que les juges ne veulent pas enlever ni remettre en cause par peur de subir les foudres des décideurs du régime. Explications et coup de gueule.
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