Lmedloul cherche désespérément une invitation aux You Esse A
L’Algérie d’Abdelmadjid Tebboune cherche à se faire inviter par le président américain Joe Biden. Après avoir essuyé une déconvenue à New York pendant l’Assemblée générale de l’ONU, le président algérien mise à présent sur un cabinet de lobbying pour lui obtenir ce précieux sésame.
Les conseillers d’Abdelmadjid Tebboune misent aujourd’hui sur une rencontre au sommet avec le président des Etats-Unis, pour envoyer un message qui supposerait que l’Algérie serait une nation forte, digne d’être invitée par les grandes puissances.
Longtemps ignorée par les Américains, l’Algérie est devenue l’objet d’un intérêt naissant ces dernières années de la part des Etats-Unis à travers leur ambassade à Alger. Néanmoins, les efforts américains ne trouveront pas d’écho chez le régime algérien qui est tout sauf ouvert sur l’occident.
A près d’un an avant les élections présidentielles de 2024 et l’échec de l’entrée dans le BRICS, le régime algérien et surtout le cabinet d’Abdelmadjid Tebboune, cherche à faire sa prochaine campagne de communication en misant, à défaut d’un bilan économique, sur des « succès diplomatiques » de façade, faits de voyages à l’étranger.
Après des déplacement « bredouilles » en Chine et en Russie, Abdelmadjid Tebboune veut à présent une rencontre avec Joe Biden pour envoyer le message d’une ouverture sur l’occident, a révélé le site d’information Maghreb Intelligence.
Pour ce faire, Abdelmadjid Tebboune a déjà tenté de se faire inviter à travers l’ambassadrice américaine à Alger, sans succès. Voyant la tâche difficile au vu l’inexistence de relations ou d’intérêts communs, les conseillers de Tebboune sondent à New York le meilleur cabinet de lobbying pour faciliter l’accès à la Maison Blanche.
Cette mission a été confiée à Boualem Boualem, le proche conseiller d’Abdelmadjid Tebboune, celui qui s’occupe de toutes ses affaires courantes. Il a été vu en compagnie du président à New York pendant l’Assemblée générale de l’ONU alors que celui-ci ne quitte jamais le palais présidentiel d’El Mouradia.
Boualem Boualem est celui gère toutes les activités du président algérien, il est véritablement la tête pensante ou l’homme de l’ombre d’Adelmadjid Tebbouen. Sa présence à New Yorl n’était pas fortuite, elle servait à lui trouver le cabinet de lobbying qui lui garantirait une audience à la Maison Blanche.
L’idée de ce rapprochement soudain avec les Etats-Unis souhaité par Alger est née depuis peu. C’est une idée du chef de la diplomatie algérienne, Ahmed Attaf, qui souhaite rééquilibrer les relations de l’Algérie entre le bloc chinois et russe, d’une part et occidental, d’autre part.
Cette stratégie a été amorcée début août dernier avec une visite du ministre algérien des Affaires étrangères à Washington, au lendemain des visites d’Abdelmadjid Tebboune en Chine et en Russie, pour tenter de donner le change et éviter de faire tomber Alger dans la liste noire anti-occidentale.
Récemment, l’Algérie a failli figurer sur la liste américaine des pays soutenant la machine de guerre russe et cela a pu être évité en partie grâce à la protection de la France qui a organisé un sommet bilatéral de dernière minute à Alger, marqué par la participation de près de la moitié du gouvernement français.
hespress
L’Algérie d’Abdelmadjid Tebboune cherche à se faire inviter par le président américain Joe Biden. Après avoir essuyé une déconvenue à New York pendant l’Assemblée générale de l’ONU, le président algérien mise à présent sur un cabinet de lobbying pour lui obtenir ce précieux sésame.
Les conseillers d’Abdelmadjid Tebboune misent aujourd’hui sur une rencontre au sommet avec le président des Etats-Unis, pour envoyer un message qui supposerait que l’Algérie serait une nation forte, digne d’être invitée par les grandes puissances.
Longtemps ignorée par les Américains, l’Algérie est devenue l’objet d’un intérêt naissant ces dernières années de la part des Etats-Unis à travers leur ambassade à Alger. Néanmoins, les efforts américains ne trouveront pas d’écho chez le régime algérien qui est tout sauf ouvert sur l’occident.
A près d’un an avant les élections présidentielles de 2024 et l’échec de l’entrée dans le BRICS, le régime algérien et surtout le cabinet d’Abdelmadjid Tebboune, cherche à faire sa prochaine campagne de communication en misant, à défaut d’un bilan économique, sur des « succès diplomatiques » de façade, faits de voyages à l’étranger.
Après des déplacement « bredouilles » en Chine et en Russie, Abdelmadjid Tebboune veut à présent une rencontre avec Joe Biden pour envoyer le message d’une ouverture sur l’occident, a révélé le site d’information Maghreb Intelligence.
Pour ce faire, Abdelmadjid Tebboune a déjà tenté de se faire inviter à travers l’ambassadrice américaine à Alger, sans succès. Voyant la tâche difficile au vu l’inexistence de relations ou d’intérêts communs, les conseillers de Tebboune sondent à New York le meilleur cabinet de lobbying pour faciliter l’accès à la Maison Blanche.
Cette mission a été confiée à Boualem Boualem, le proche conseiller d’Abdelmadjid Tebboune, celui qui s’occupe de toutes ses affaires courantes. Il a été vu en compagnie du président à New York pendant l’Assemblée générale de l’ONU alors que celui-ci ne quitte jamais le palais présidentiel d’El Mouradia.
Boualem Boualem est celui gère toutes les activités du président algérien, il est véritablement la tête pensante ou l’homme de l’ombre d’Adelmadjid Tebbouen. Sa présence à New Yorl n’était pas fortuite, elle servait à lui trouver le cabinet de lobbying qui lui garantirait une audience à la Maison Blanche.
L’idée de ce rapprochement soudain avec les Etats-Unis souhaité par Alger est née depuis peu. C’est une idée du chef de la diplomatie algérienne, Ahmed Attaf, qui souhaite rééquilibrer les relations de l’Algérie entre le bloc chinois et russe, d’une part et occidental, d’autre part.
Cette stratégie a été amorcée début août dernier avec une visite du ministre algérien des Affaires étrangères à Washington, au lendemain des visites d’Abdelmadjid Tebboune en Chine et en Russie, pour tenter de donner le change et éviter de faire tomber Alger dans la liste noire anti-occidentale.
Récemment, l’Algérie a failli figurer sur la liste américaine des pays soutenant la machine de guerre russe et cela a pu être évité en partie grâce à la protection de la France qui a organisé un sommet bilatéral de dernière minute à Alger, marqué par la participation de près de la moitié du gouvernement français.
hespress
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