les procédures expéditives, bâclées et les irrégularités flagrantes du procès autour du meurtre horrible de Djamel Bensmail, ont suscité de grandes frustrations, déceptions et une vive colère au sein de la population de plusieurs localités de la wilaya de Tizi-Ouzou en Kabylie.
Une colère alimentée par un profond sentiment d'injustice que ressentent les familles des condamnés dans ce procès qui a été conduit et dirigé par la justice algérienne dans des circonstances très troublantes à cause du manque clair et net de la rigueur de la part des magistrats en charge de cette affaire.
Cette colère populaire a donné naissance à un mouvement de protestation qui a secoué la ville de Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou) le jeudi 16 novembre.
Cette ville a été paralysée par une grève générale à l’appel du collectif des familles des détenus dans le cadre de l’affaire Djamel Bensmail. Cette action est observée pour le deuxième jeudi de suite, attestent plusieurs sources locales.
Dans un communiqué rendu public, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a indiqué que ses cadres ont constaté qu’à la mi-journée de jeudi, le mot d’ordre de grève était largement suivi dans la ville de Larbaâ Nath Irathen et dans les localités environnantes de Tizi Rached, Aït Oumalou, Irdjen et Aït Aggouacha.
Les familles contestent le verdict du procès en appel de l’affaire Djamel Bensmail rendu le 23 octobre par la Cour d’Alger qui a prononcé 38 condamnations à mort. En première instance, 94 personnes avaient été condamnées, dont 49 à la peine capitale, par le tribunal de Dar El Beïda.
Au lieu d'écouter ces familles et de revoir les anomalies du procès Djamel Bensmail, les autorités algériennes ont envoyé d'impressionnants contingents des forces de sécurité pour quadriller les villes touchées par ce mouvement de contestation aggravant ainsi ce climat de tensions qui pourrait dégénérer dans les jours à venir.
Une colère alimentée par un profond sentiment d'injustice que ressentent les familles des condamnés dans ce procès qui a été conduit et dirigé par la justice algérienne dans des circonstances très troublantes à cause du manque clair et net de la rigueur de la part des magistrats en charge de cette affaire.
Cette colère populaire a donné naissance à un mouvement de protestation qui a secoué la ville de Larbaâ Nath Irathen (Tizi-Ouzou) le jeudi 16 novembre.
Cette ville a été paralysée par une grève générale à l’appel du collectif des familles des détenus dans le cadre de l’affaire Djamel Bensmail. Cette action est observée pour le deuxième jeudi de suite, attestent plusieurs sources locales.
Dans un communiqué rendu public, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a indiqué que ses cadres ont constaté qu’à la mi-journée de jeudi, le mot d’ordre de grève était largement suivi dans la ville de Larbaâ Nath Irathen et dans les localités environnantes de Tizi Rached, Aït Oumalou, Irdjen et Aït Aggouacha.
Les familles contestent le verdict du procès en appel de l’affaire Djamel Bensmail rendu le 23 octobre par la Cour d’Alger qui a prononcé 38 condamnations à mort. En première instance, 94 personnes avaient été condamnées, dont 49 à la peine capitale, par le tribunal de Dar El Beïda.
Au lieu d'écouter ces familles et de revoir les anomalies du procès Djamel Bensmail, les autorités algériennes ont envoyé d'impressionnants contingents des forces de sécurité pour quadriller les villes touchées par ce mouvement de contestation aggravant ainsi ce climat de tensions qui pourrait dégénérer dans les jours à venir.
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