Absolument tout a augmenté en Algérie et dans des proportions totalement affolante et ce depuis 2022 provoquant ainsi une inflation historiquement élevé et laminant dangereusement le pouvoir d'achat des Algériennes et Algériens.
Les chiffres rendus publics par le dernier rapport sur l'évolution économique et monétaire du pays en 2022 par la Banque d'Algérie confirment ce constat amer et complexe. Le rapport de la Banque d'Algérie indique que le taux d'inflation dans le pays en 2022 est de 9,70 % contre 7,23 % en 2021, et celui du Grand Alger a enregistré une inflation de 9,27 %.
Cette tendance inflationniste demeure toujours influencée, principalement, par la hausse des prix des produits alimentaires, qui sont de nature exogène. En 2022, ces prix ont enregistré une inflation de 13,4%, contribuant ainsi à hauteur de 64,4 % à l’inflation globale.
La même source indique également que l’inflation annuelle moyenne des prix à la production industrielle publique est en nette accélération, progressant de 13,3 % en 2022 après une progression de 7,4 % une année auparavant. Celle des prix des industries manufacturières a progressé de 8,9 % en 2022, contre 7,8 % en 2021.
Le rapport de la Banque d'Algérie indique aussi que l’indice global des valeurs unitaires à l’importation (IVU18) a enregistré une inflation de 15,6 % en 2022 contre 22,6 % l’année précédente tirée par l’IVU des produits alimentaires et animaux vivants, qui a atteint un taux d’inflation annuel moyen de 32,6 % au cours de l’année sous revue plus grande que celle enregistrée l’année 2021 de 25,6 %. Ces données dévoilent qu'un véritable tsunami inflationniste qui s'est abattu sur l'Algérie depuis 2022.
Et cette situation s'explique par l'échec du régime algérien dans trois domaines précis : son impuissance à anticiper les conséquences et effets de la sécheresse ou le réchauffement climatique, les dérives excessives de sa politique anti-importation et son incapacité à relancer la production nationale à travers des investissements sérieux ou solides.
Les chiffres rendus publics par le dernier rapport sur l'évolution économique et monétaire du pays en 2022 par la Banque d'Algérie confirment ce constat amer et complexe. Le rapport de la Banque d'Algérie indique que le taux d'inflation dans le pays en 2022 est de 9,70 % contre 7,23 % en 2021, et celui du Grand Alger a enregistré une inflation de 9,27 %.
Cette tendance inflationniste demeure toujours influencée, principalement, par la hausse des prix des produits alimentaires, qui sont de nature exogène. En 2022, ces prix ont enregistré une inflation de 13,4%, contribuant ainsi à hauteur de 64,4 % à l’inflation globale.
La même source indique également que l’inflation annuelle moyenne des prix à la production industrielle publique est en nette accélération, progressant de 13,3 % en 2022 après une progression de 7,4 % une année auparavant. Celle des prix des industries manufacturières a progressé de 8,9 % en 2022, contre 7,8 % en 2021.
Le rapport de la Banque d'Algérie indique aussi que l’indice global des valeurs unitaires à l’importation (IVU18) a enregistré une inflation de 15,6 % en 2022 contre 22,6 % l’année précédente tirée par l’IVU des produits alimentaires et animaux vivants, qui a atteint un taux d’inflation annuel moyen de 32,6 % au cours de l’année sous revue plus grande que celle enregistrée l’année 2021 de 25,6 %. Ces données dévoilent qu'un véritable tsunami inflationniste qui s'est abattu sur l'Algérie depuis 2022.
Et cette situation s'explique par l'échec du régime algérien dans trois domaines précis : son impuissance à anticiper les conséquences et effets de la sécheresse ou le réchauffement climatique, les dérives excessives de sa politique anti-importation et son incapacité à relancer la production nationale à travers des investissements sérieux ou solides.
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