l'Algérie a-t-elle abandonné la question palestinienne pour négocier un rapprochement approfondi avec l'Occident et gagner les faveurs des puissances occidentales qui soutiennent Israël ? C'est le constat indirect que semble dresser de l'intérieur du pays l'ancien président du Mouvement de la société pour la paix algérien (MSP), anciennement le Hamas algérien, Abderrazak Makri. A la surprise générale, et sans craindre des représailles violentes, l'ex-leader du MSP, l'un des bastions de l'islamisme en Algérie, a fait des révélations intrigantes dans deux contributions publiées sur sa page Facebook.
Makri affirme que l'Algérie n'a pas répondu aux sollicitations de l'administration de la bande de Gaza, affiliée au Hamas, pour accueillir et prendre en charge des blessés civils à la suite des attaques meurtrières de l'Armée Israélienne.
Makri indique également que plusieurs dirigeants de la "résistance palestinienne" s'interrogent sur le silence et l'absence de l'Algérie sur la scène géopolitique mondiale depuis le début de la tragédie de Gaza au mois d'octobre dernier. L'Algérie est l'un des rares pays arabes et musulmans où les marches en faveur de la cause palestinienne ne sont pas tolérées ni autorisées.
Le régime algérien a autorisé une seule marche depuis le début des évènements du 7 octobre 2023, date à laquelle le conflit israélo-palestinien a basculé dans une nouvelle dimension tragique. Makri a pointé enfin de nombreuses incohérences dans l'attitude du régime algérien actuel comme le rapprochement avec l'Occident et notamment les Etats-Unis y compris sur le plan militaire au moment où l'Armée Israélienne ne cesse de commettre des carnages contre la population de Gaza.
La nouvelle sortie d'Abderrazak Makri contre le pouvoir algérien et son attitude face à la tragédie palestinienne dévoile une nouvelle évolution des rapports de force entre les différentes composantes du pouvoir algérien car tout indique que l'ex-président du MSP est devenu le principal relai d'une nouvelle force d'opposition se constituant au cœur même du régime algérien.
Makri affirme que l'Algérie n'a pas répondu aux sollicitations de l'administration de la bande de Gaza, affiliée au Hamas, pour accueillir et prendre en charge des blessés civils à la suite des attaques meurtrières de l'Armée Israélienne.
Makri indique également que plusieurs dirigeants de la "résistance palestinienne" s'interrogent sur le silence et l'absence de l'Algérie sur la scène géopolitique mondiale depuis le début de la tragédie de Gaza au mois d'octobre dernier. L'Algérie est l'un des rares pays arabes et musulmans où les marches en faveur de la cause palestinienne ne sont pas tolérées ni autorisées.
Le régime algérien a autorisé une seule marche depuis le début des évènements du 7 octobre 2023, date à laquelle le conflit israélo-palestinien a basculé dans une nouvelle dimension tragique. Makri a pointé enfin de nombreuses incohérences dans l'attitude du régime algérien actuel comme le rapprochement avec l'Occident et notamment les Etats-Unis y compris sur le plan militaire au moment où l'Armée Israélienne ne cesse de commettre des carnages contre la population de Gaza.
La nouvelle sortie d'Abderrazak Makri contre le pouvoir algérien et son attitude face à la tragédie palestinienne dévoile une nouvelle évolution des rapports de force entre les différentes composantes du pouvoir algérien car tout indique que l'ex-président du MSP est devenu le principal relai d'une nouvelle force d'opposition se constituant au cœur même du régime algérien.
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