Cette année 2024 est une année exceptionnelle sur le plan politique dans le monde. Et pour cause, en 2024, la population vivant dans des pays où auront lieu des élections s’élève à 4,1 milliards de personnes – soit la moitié des habitants de la planète. Des scrutins multiples (présidentiels, législatifs, régionaux, municipaux) seront organisés dans 68 pays.
Parmi eux figurent les Etats-Unis, le Brésil, le Mexique, l’Inde, le Pakistan, le Bangladesh, l’Indonésie, la Russie, soit huit des dix Etats les plus peuplés au monde. Et l'Algérie fait partie de ces pays qui connaîtront l'organisation d'une élection importante pour leur devenir politique. Cependant, à l'opposé de la majorité écrasante de ces pays "normaux" qui organisent diverses élections,
En Algérie, il n'y a aucune animation politique autour des prochaines élections présidentielles prévues en décembre 2024. Pas de débats, pas de critiques, pas de programmes, pas d'idées, pas de médias qui donnent la parole à d'éventuels futurs candidats, pas de partis politiques qui peuvent militer et travailler sur le terrain, pas d'opposants capables de s'exprimer, bref, une dictature absolue, une peur généralisée à cause d'une politique de la terreur pratiquée par l'actuel régime aux commandes du pays.
Quelle crédibilité peut-on accorder dans ce contexte à ces prochaines élections présidentielles ?
Parmi eux figurent les Etats-Unis, le Brésil, le Mexique, l’Inde, le Pakistan, le Bangladesh, l’Indonésie, la Russie, soit huit des dix Etats les plus peuplés au monde. Et l'Algérie fait partie de ces pays qui connaîtront l'organisation d'une élection importante pour leur devenir politique. Cependant, à l'opposé de la majorité écrasante de ces pays "normaux" qui organisent diverses élections,
En Algérie, il n'y a aucune animation politique autour des prochaines élections présidentielles prévues en décembre 2024. Pas de débats, pas de critiques, pas de programmes, pas d'idées, pas de médias qui donnent la parole à d'éventuels futurs candidats, pas de partis politiques qui peuvent militer et travailler sur le terrain, pas d'opposants capables de s'exprimer, bref, une dictature absolue, une peur généralisée à cause d'une politique de la terreur pratiquée par l'actuel régime aux commandes du pays.
Quelle crédibilité peut-on accorder dans ce contexte à ces prochaines élections présidentielles ?
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