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Lorsqu'il s'agit du Maroc, des Emirats Arabes-Unis, du Mali, de l'Espagne ou même de la France, le régime recourt systématiquement à la diffamation, l'injure, les menaces, les attaques les plus virulentes ou le rappel des ambassadeurs pour protester contre leur comportement jugé inamical, mais lorsqu'il s'agit des Etats-Unis, la Première puissance mondiale, le pouvoir algérien adopte un tout autre ton et une toute approche quand l'Administration Américaine critique ou s'en prend à certaines pratiques autoritaires des dirigeants algériens.
Preuve en est, le 4 janvier dernier, Antony Blinken, le Secrétaire d'Etat des Etats-Unis, a désigné ouvertement l'Algérie parmi les dangereux pays inscrits "sur la liste de surveillance spéciale pour avoir commis ou toléré de graves violations de la liberté religieuse".
Face à cette très sévère remontrance, les autorités algériennes n'ont pas du tout réagi comme d'habitude lorsque c'est le cas avec les autres pays ordinaires, à savoir avec violence, agressivité ou brutalité.
Non, face à Washington et Antony Blinken, le régime algérien a adopté un ton mielleux, bienveillant, gentil et apaisant pour tenter de dialoguer avec les autorités américaines et les convaincre de cesser de dénoncer l'Algérie pour sa politique d'intolérance à l'égard des citoyens "non-musulmans".
Le ministre des Affaires Etrangères, Ahmed Attaf, a appelé au téléphone Antony Blinken pour lui faire part de "ses profonds regrets concernant les informations erronées et inexactes sur l'Algérie, contenues dans le dernier communiqué du Secrétariat d'Etat américain sur la liberté de culte".
Oui seulement des regrets car le régime algérien ne peut pas se permettre le "courage" de lancer des propagandes médiatiques contre les USA ni de les menacer de rupture des relations diplomatiques.
Preuve en est, le 4 janvier dernier, Antony Blinken, le Secrétaire d'Etat des Etats-Unis, a désigné ouvertement l'Algérie parmi les dangereux pays inscrits "sur la liste de surveillance spéciale pour avoir commis ou toléré de graves violations de la liberté religieuse".
Face à cette très sévère remontrance, les autorités algériennes n'ont pas du tout réagi comme d'habitude lorsque c'est le cas avec les autres pays ordinaires, à savoir avec violence, agressivité ou brutalité.
Non, face à Washington et Antony Blinken, le régime algérien a adopté un ton mielleux, bienveillant, gentil et apaisant pour tenter de dialoguer avec les autorités américaines et les convaincre de cesser de dénoncer l'Algérie pour sa politique d'intolérance à l'égard des citoyens "non-musulmans".
Le ministre des Affaires Etrangères, Ahmed Attaf, a appelé au téléphone Antony Blinken pour lui faire part de "ses profonds regrets concernant les informations erronées et inexactes sur l'Algérie, contenues dans le dernier communiqué du Secrétariat d'Etat américain sur la liberté de culte".
Oui seulement des regrets car le régime algérien ne peut pas se permettre le "courage" de lancer des propagandes médiatiques contre les USA ni de les menacer de rupture des relations diplomatiques.
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