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Farid Zineddine Bencheikh a été placé sous Interdiction de Sortie du Territoire National (ISTN).

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  • Farid Zineddine Bencheikh a été placé sous Interdiction de Sortie du Territoire National (ISTN).

    Dés l'après-midi qui a suivi son limogeage de la direction de la DGSN, à savoir la Police Nationale en Algérie, Farid Zineddine Bencheikh a été placé sous Interdiction de Sortie du Territoire National (ISTN). Cette mesure a été notifiée aux services de sécurité vers 14 H 30, à savoir dés la fin de la cérémonie de l'installation d'un nouveau patron de la Police algérienne en remplacement de Farid Bencheikh, a pu confirmer Algérie Part au cours de ses investigations.

    Ce dernier fait bel et bien l'objet d'une vaste enquête menée par les services secrets algériens au sujet de ses biens et résidence en France ainsi que ses connexions avec des responsables d'entités étrangères liées à des puissances mondiales ou Etats considérés comme "hostiles" par l'Algérie. Par ailleurs, selon nos investigations, Abdelmadjid Tebboune, le Chef de l'Etat, a refusé de désigner un militaire en remplacement de Farid Zineddine Bencheikh à la tête de la Police algérienne.

    Et pourtant, il subissait d'intenses pressions de la part de l'Etat-Major de l'Armée algérienne et des services de renseignement pour valider des profils d'anciens ou d'actuels dirigeants militaires proposés au poste de patron de la DGSN. Abdelmadjid Tebboune a tenu à ce que la Police algérienne reste indépendante et neutre par rapport au pouvoir militaire et les services secrets.

    Une décision dont les enjeux s'expliquent par les équilibres des pouvoirs que souhaite garantir Tebboune en prévision des élections présidentielles de décembre 2024. Mais d'ici là, la DGSN passera par une période très difficile car il faudra solder l'ère Bencheikh marquée par d'énormes dérives et scandales.

    Farid Bencheikh a transformé de 2021 jusqu'à fin 2023 la DGSN en une "Police Politique" entièrement mise à la disposition des membres de l'entourage de Tebboune pour réprimer, harceler, intimider et menacer les opposants, leurs familles ainsi que tous les personnalités pouvant déranger les intérêts du clan présidentiel au Palais d'El-Mouradia.




    Farid Bencheikh a collaboré avec Ariel Merari, le cerveau des services secrets israéliens


    Farid Zineddine Bencheikh a dirigé la Police nationale en Algérie, appelée officiellement la Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) du 16 mars 2021 jusqu'à ce 8 janvier 2024. Il avait rejoint les rangs de la Sûreté nationale en février 1993.

    Depuis lors, il avait occupé plusieurs postes supérieurs dans les rangs de la DGSN. En tant que chef de sûreté de daïra à Khemis El-Khachna, à Boumerdès, en 1998, directeur des études au niveau du cabinet de la DGSN (1999) et chef du Bureau national d’Interpol Algérie en 2003. Plus tard, Farid Zineddine Bencheïkh était chef de Sûreté de wilaya, à Béchar en 2007 et Jijel en 2011. En 2014, il avait exercé aussi en tant qu’inspecteur régional de la police au sud-est à Ouargla pour les mêmes fonctions qu’il avait tenu dans la région centre à Blida (2019).

    Mais durant tout son parcours, l'homme qui a pu devenir patron de toute la Police algérienne, l'une des institutions sécuritaires les plus sensibles du pays, cachait des secrets très troublants et inavouables concernant notamment ses relations troublantes, douteuses, suspectes et sulfureuses avec des entités étrangères dont des puissances étrangères que le régime algérien qualifie officiellement "d'ennemies" à l'image d'Israël.

    Or, avant de devenir patron de la DGSN en mars 2021, Farid Zineddine Bencheikh a été lui-même l'un des collaborateurs les plus proches d'un certain Ariel Merari, considéré en Israël comme le cerveau des secrets du pays. Ariel Merari est officiellement un Professeur d'Université et un chercheur scientifique. Mais derrière cette casquette se cache en vérité l'un des formateurs et spécialistes les plus expérimentés des services secrets israéliens.

    Il avait étudie le terrorisme politique et d'autres formes de violence politique depuis plus de trente ans et est l'auteur, le co-auteur ou l'éditeur de plusieurs livres et de nombreux articles, monographies et chapitres sur ces sujets. Mais avant ces travaux universitaires, il avait créé l'unité israélienne de négociation des otages et de gestion des crises et l'a commandée pendant plus de 20 ans en étroite collaboration avec l'ensemble des services secrets israéliens les plus puissants comme le Mossad ou le Shin Beth (renseignement intérieur) et de l'Aman (renseignement militaire).

    De 2002 jusqu'à 2009, Ariel Merari dirigeait personnellement un vaste programme "sur le terrorisme suicide" au sein du Conseil National de Sécurité Israélien qui est regroupe toutes les instances militaires et sécuritaires israéliennes les plus stratégiques. C'est justement en 2009 où Ariel Merai a connu et rencontré Farid Zineddine Bencheikh en sa qualité de "haut fonctionnaire de la Police algérienne" et de chercheur universitaire en criminologie.

    Les deux hommes ont siégé ensemble dans le Conseil Scientifique International d'un organisme universitaire français dédié à la Recherche sur les Menaces Criminelles Contemporaines.

    Ce groupe réunissait étrangement que des anciens hauts responsables des services de sécurité français, américains, anglais, marocains ou israéliens. Farid Benckheik avait connu de près Ariel Merari et s'était réuni avec lui à plusieurs reprises à Paris dans un cadre "troublant" puisque toute relation entre les dirigeants civils ou militaires algériens avec "l'entité sioniste", le vocable avec lequel le pouvoir algérien désigne officiellement Israël, est strictement interdite, voire criminalisée et diabolisée.

    Jamais les services secrets algériens n'ont enquêté sérieusement sur les connexions internationales de Farid Zineddine Bencheikh et ce dernier a pu devenir Patron de la Police algérienne siégeant régulièrement au sein des sessions du Haut de Conseil Sécurité de l'Etat algérien de 2022 à 2023.

    Et pourtant, sa proximité passée avec des personnages controversés comme Ariel Merari soulève légitiment des doutes sur sa probité, son intégrité morale et sa loyauté.

    Il est à signaler enfin qu'après avoir entretenu secrètement des liaisons personnelles avec Ariel Merari et d'autres figures des services secrets occidentaux, Zineddine Bencheikh obtient à partir de 2015 un titre de séjour en France et se permet même des placements financiers et immobiliers sur le territoire français.
    Dernière modification par CAMRO, 09 janvier 2024, 12h14.

  • #2
    Qui controle qui en Algérie Un vrai carnaval les services secrets, police, l'armée, chef d'état major.
    En Algérie la fin de carrière d'un haut commis de l'Etat s'achève soit en exil ou en prison ou la tombe

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    • #3
      Abdelmadjid Tebboune, le Chef de l'Etat, a refusé de désigner un militaire en remplacement de Farid Zineddine Bencheikh à la tête de la Police algérienne.
      Laissez moi rigoler, ça c'est juste pour faire croire au pauvre peuple algérien que ze3ma que c pas les militaires qui décident...mon œil !!!! Tebboune n'a aucun mot ni pouvoir et n'ose rien refuser à la mafia car lui même a des dossiers qui l'attendent ils vont être déterrés à la fin de sa mission, sans oublier le dossier de son fils mis en stand-by (il aura le même sort que gaid fils)

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      • #4
        ayoub7

        Allô allô ...

        Il me semblait que les ayach du forum ne commentaient que les posts concernant leur pays ?

        Tu nous aurais encore une fois menti ?

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        • #5
          Mais ça concerne notre pays cher ami, parait que nous sommes "ennemis classiques", non?

          En plus, il parait que ce chef de police entretenait etait une taupe pour Israel et entretenait d'excellentes relations avec son homologue Marocain


          https://www.algerie-dz.com/forums/al...ets-israeliens

          "Tout ce qui te dérange chez les autres, c'est seulement une projection de ce que tu n'as pas résolu en toi-même" - Bouddha

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          • #6
            Pire qu'un cancéreux celui qui a cancer et qui ne sait pas tant que le maroc et Israël ne découvrent nos taupes..

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