La nouvelle Algérie ressemble à l'ancienne Algérie, c'est juste les noms qui changent
Docteur en pharmacie et ancien membre du FCE version Ali Haddad, Abdelhamid Cherfaoui, un proche de l'ancien Ministre de l’Industrie Pharmaceutique Lotfi Benbahmed, est le PDG des Laboratoires Frater-Razes qu’il fonda avec sa famille au mois de Février 1992, est devenu aujourd'hui le nouveau visage de cette "petite oligarchie", certes beaucoup moins riche, mais tout aussi ambitieuse politiquement que l'ancienne "grande oligarchie" de l'ère Bouteflika.
Proche allié de Kamel Moula, le nouveau Ali Haddad de la Nouvelle Algérie, président du Conseil du renouveau économique algérien (CREA), l'actuel patronat choyé et bichonné par le régime Tebboune, Abdelhamid Cherfaoui utilise l'argent que lui procure son Groupe Frater-Razes, l'un des leader de l’industrie pharmaceutique en Algérie dégageant selon nos informations un chiffre d’affaires qui dépasse les 50 Milliards de Dinars soit l'équivalent de près de 40 millions d'euros par an, pour financer des activités politiques liées à la promotion du 2e mandat que devra briguer le Président actuel Abdelmadjid Tebboune.
Ce dernier avait, pourtant, prétendu que les mœurs politiques avaient totalement changé sous son égide puisque les relations entre l'argent et le monde politique sont totalement interdites ou criminalisées. Cette annonce ne colle pas visiblement à la réalité puisque le milliardaire Abdelhamid Cherfaoui, l'oligarque junior, se permet d'offrir une villa et pas moins de 29 millions de Da à un lobbyiste controversé, appelé Amine Belazzoug, qui se fait passer pour "un chroniqueur politique" sur les plateaux des télévisions algériennes.
Un financement et des cadeaux destinés, a-t-on pu confirmer au cours de nos investigations, à soutenir une pré-campagne de soutien et de promotion du futur 2e mandat de Tebboune.
Un curieux mélange des gens qui nous rappellent précisément les pratiques de cette époque du régime Bouteflika tant vilipendée et diabolisée par l'actuel pouvoir Tebboune. Nos révélations
Docteur en pharmacie et ancien membre du FCE version Ali Haddad, Abdelhamid Cherfaoui, un proche de l'ancien Ministre de l’Industrie Pharmaceutique Lotfi Benbahmed, est le PDG des Laboratoires Frater-Razes qu’il fonda avec sa famille au mois de Février 1992, est devenu aujourd'hui le nouveau visage de cette "petite oligarchie", certes beaucoup moins riche, mais tout aussi ambitieuse politiquement que l'ancienne "grande oligarchie" de l'ère Bouteflika.
Proche allié de Kamel Moula, le nouveau Ali Haddad de la Nouvelle Algérie, président du Conseil du renouveau économique algérien (CREA), l'actuel patronat choyé et bichonné par le régime Tebboune, Abdelhamid Cherfaoui utilise l'argent que lui procure son Groupe Frater-Razes, l'un des leader de l’industrie pharmaceutique en Algérie dégageant selon nos informations un chiffre d’affaires qui dépasse les 50 Milliards de Dinars soit l'équivalent de près de 40 millions d'euros par an, pour financer des activités politiques liées à la promotion du 2e mandat que devra briguer le Président actuel Abdelmadjid Tebboune.
Ce dernier avait, pourtant, prétendu que les mœurs politiques avaient totalement changé sous son égide puisque les relations entre l'argent et le monde politique sont totalement interdites ou criminalisées. Cette annonce ne colle pas visiblement à la réalité puisque le milliardaire Abdelhamid Cherfaoui, l'oligarque junior, se permet d'offrir une villa et pas moins de 29 millions de Da à un lobbyiste controversé, appelé Amine Belazzoug, qui se fait passer pour "un chroniqueur politique" sur les plateaux des télévisions algériennes.
Un financement et des cadeaux destinés, a-t-on pu confirmer au cours de nos investigations, à soutenir une pré-campagne de soutien et de promotion du futur 2e mandat de Tebboune.
Un curieux mélange des gens qui nous rappellent précisément les pratiques de cette époque du régime Bouteflika tant vilipendée et diabolisée par l'actuel pouvoir Tebboune. Nos révélations
Commentaire