Le pouvoir algérien est un régime dangereusement accro à la dépense et l'argent public ainsi qu'à son dilapidation. Preuve en est, en 2024, les premières et plus importantes dépenses de l'Etat algérien n'ont aucun lien avec le développement ou le redressement du pays. En 2024, la première dépense de l'Etat algérien sera les dépenses du personnel, à savoir le financement des salaires, agents et travailleurs des administrations étatiques, membres des services de sécurité, personnel militaire et les fonctionnaires mis à la disposition du gouvernement ou les institutions étatiques.
Ces dépenses vont coûter à l'Etat algérien plus de 38 milliards de dollars USD. La deuxième dépense de l'Etat algérien concerne les transferts sociaux et les subventions sociales des produits de base ainsi que les services publics. Ces dépenses vont nécessiter un budget de 31,7 milliards de dollars US.
Les dépenses d'investissement pour construire des infrastructures publiques et développer le pays sont reléguées par les dirigeants algériens au dernier rang des priorités de l'Etat.
En 2024, les investissements publics financés par l'Etat algérien ne dépasseront pas les 20,8 milliards de dollars US. Ce mode de dépenses publiques dévoilent les véritables intentions des dirigeants algériens qui sont préoccupés uniquement par leur train de vie, le renforcement de l'autorité de l'Etat au détriment des besoins du développement du pays.
Il convient de signaler à ce sujet que l'éducation ne représente que 9 % des dépenses de l'Etat alors que la santé représente seulement 6 % des dépenses totales de l'Etat algérien.
La construction des infrastructures de base représente à peine 5 % des dépenses totales de l'Etat algérien. En revanche, l'armée représente 19 % des dépenses totales de l'Etat algérien et les administrations étatiques ainsi que la Police et les wilayas représentent 9 % des dépenses de l'Etat pour cette année 2024. 21 % des dépenses de l'Etat sont monopolisées par le ministère des Finances.
Cette répartition des budgets en dit long sur la profonde déconnexion des dirigeants algériens avec les vrais besoins de développement de leur pays.
Ces dépenses vont coûter à l'Etat algérien plus de 38 milliards de dollars USD. La deuxième dépense de l'Etat algérien concerne les transferts sociaux et les subventions sociales des produits de base ainsi que les services publics. Ces dépenses vont nécessiter un budget de 31,7 milliards de dollars US.
Les dépenses d'investissement pour construire des infrastructures publiques et développer le pays sont reléguées par les dirigeants algériens au dernier rang des priorités de l'Etat.
En 2024, les investissements publics financés par l'Etat algérien ne dépasseront pas les 20,8 milliards de dollars US. Ce mode de dépenses publiques dévoilent les véritables intentions des dirigeants algériens qui sont préoccupés uniquement par leur train de vie, le renforcement de l'autorité de l'Etat au détriment des besoins du développement du pays.
Il convient de signaler à ce sujet que l'éducation ne représente que 9 % des dépenses de l'Etat alors que la santé représente seulement 6 % des dépenses totales de l'Etat algérien.
La construction des infrastructures de base représente à peine 5 % des dépenses totales de l'Etat algérien. En revanche, l'armée représente 19 % des dépenses totales de l'Etat algérien et les administrations étatiques ainsi que la Police et les wilayas représentent 9 % des dépenses de l'Etat pour cette année 2024. 21 % des dépenses de l'Etat sont monopolisées par le ministère des Finances.
Cette répartition des budgets en dit long sur la profonde déconnexion des dirigeants algériens avec les vrais besoins de développement de leur pays.
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